Hôtel des quatre chemins
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages121
- FormatePub
- ISBN978-2-89024-346-0
- EAN9782890243460
- Date de parution10/01/2012
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille307 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPleine Lune (Editions de la)
Résumé
Cette histoire d'oppression, au sein d'une famille catholique bien pensante, met en scène des interdits et des censures. Grandeurs et misères se succèdent. En échange de l'obéissance servile de ses filles, la mère promet de les soutenir contre le père tyrannique.
Alors que les ménages s'établissent à Montréal ou dans les banlieues, les parents s'installent dans un hôtel aux quatre chemins d'un village désert.
Une forêt impénétrable entoure le commerce où les clients habituels ressemblent aux personnages de Hugo et de Gorki. À l'arrivée, la mère jette aux ordures les livres destinés aux enfants. Le père multiplie ses discours d'arrière-garde condamnant la vie intellectuelle. Les deux sours rêvent très tôt d'une idylle, la seule réussite conséquente à Saint-Colomban. La cadette trouve un mari tandis qu'Évelyne, l'aînée, poursuit de longues études contre la volonté de ses parents.
« J'avais une obligation de déracinement. Mes interrogations dépassaient ma personne, j'avais à vaincre l'inertie ambiante, la somnolence collective, la pensée qui avait capitulé. »
Une forêt impénétrable entoure le commerce où les clients habituels ressemblent aux personnages de Hugo et de Gorki. À l'arrivée, la mère jette aux ordures les livres destinés aux enfants. Le père multiplie ses discours d'arrière-garde condamnant la vie intellectuelle. Les deux sours rêvent très tôt d'une idylle, la seule réussite conséquente à Saint-Colomban. La cadette trouve un mari tandis qu'Évelyne, l'aînée, poursuit de longues études contre la volonté de ses parents.
« J'avais une obligation de déracinement. Mes interrogations dépassaient ma personne, j'avais à vaincre l'inertie ambiante, la somnolence collective, la pensée qui avait capitulé. »
Cette histoire d'oppression, au sein d'une famille catholique bien pensante, met en scène des interdits et des censures. Grandeurs et misères se succèdent. En échange de l'obéissance servile de ses filles, la mère promet de les soutenir contre le père tyrannique.
Alors que les ménages s'établissent à Montréal ou dans les banlieues, les parents s'installent dans un hôtel aux quatre chemins d'un village désert.
Une forêt impénétrable entoure le commerce où les clients habituels ressemblent aux personnages de Hugo et de Gorki. À l'arrivée, la mère jette aux ordures les livres destinés aux enfants. Le père multiplie ses discours d'arrière-garde condamnant la vie intellectuelle. Les deux sours rêvent très tôt d'une idylle, la seule réussite conséquente à Saint-Colomban. La cadette trouve un mari tandis qu'Évelyne, l'aînée, poursuit de longues études contre la volonté de ses parents.
« J'avais une obligation de déracinement. Mes interrogations dépassaient ma personne, j'avais à vaincre l'inertie ambiante, la somnolence collective, la pensée qui avait capitulé. »
Une forêt impénétrable entoure le commerce où les clients habituels ressemblent aux personnages de Hugo et de Gorki. À l'arrivée, la mère jette aux ordures les livres destinés aux enfants. Le père multiplie ses discours d'arrière-garde condamnant la vie intellectuelle. Les deux sours rêvent très tôt d'une idylle, la seule réussite conséquente à Saint-Colomban. La cadette trouve un mari tandis qu'Évelyne, l'aînée, poursuit de longues études contre la volonté de ses parents.
« J'avais une obligation de déracinement. Mes interrogations dépassaient ma personne, j'avais à vaincre l'inertie ambiante, la somnolence collective, la pensée qui avait capitulé. »