Hors les liens sacrés du mariage

Par : Vincent Dubary

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages170
  • FormatePub
  • ISBN2-403-00639-4
  • EAN9782403006391
  • Date de parution01/01/1999
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille563 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurClimats (réédition numérique Fen...

Résumé

Sur le premier cliché, elle posait debout devant sa coiffeuse, les chevilles liées aux pieds du meuble. Des cordelettes enroulées autour de ses cuisses, et fixées aux poignées des tiroirs, l'obligeaient à maintenir les jambes très écartées, et légèrement pliées. Elle avait les bras relevés au-dessus de la tête, mais on n'apercevait pas ses mains que Jerry avaient croisées, ligotées ensemble, et qu'un bracelet fixé autour du cou, lui maintenait derrière la nuque.
Une corde, longue et épaisse, passée autour du torse, juste au-dessus de ses seins, et tendue jusqu'à la base du miroir, la contraignait à se tenir très cambrée. C'était une position difficile à soutenir, indécente à l'extrême avec ce ventre jeté en avant, arrogant comme une figure de proue. Pourtant, elle souriait, les yeux mi-clos.
Sur le premier cliché, elle posait debout devant sa coiffeuse, les chevilles liées aux pieds du meuble. Des cordelettes enroulées autour de ses cuisses, et fixées aux poignées des tiroirs, l'obligeaient à maintenir les jambes très écartées, et légèrement pliées. Elle avait les bras relevés au-dessus de la tête, mais on n'apercevait pas ses mains que Jerry avaient croisées, ligotées ensemble, et qu'un bracelet fixé autour du cou, lui maintenait derrière la nuque.
Une corde, longue et épaisse, passée autour du torse, juste au-dessus de ses seins, et tendue jusqu'à la base du miroir, la contraignait à se tenir très cambrée. C'était une position difficile à soutenir, indécente à l'extrême avec ce ventre jeté en avant, arrogant comme une figure de proue. Pourtant, elle souriait, les yeux mi-clos.