Hommage à Maurice Genevoix, 1890-1980. Une jeunesse éclatée : de La Vaux-Marie aux Éparges : août 1914 - avril 1915
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- Nombre de pages184
- FormatePub
- ISBN2-402-23138-6
- EAN9782402231381
- Date de parution01/01/1980
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille56 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Édit...
Résumé
Cet hommage consacré à Genevoix n'est pas une étude dans le sens où l'on l'entend habituellement. On trouvera surtout ici l'expression d'une profonde et affectueuse admiration et d'une déférente gratitude envers l'homme, l'ancien des Eparges dont toute l'existence, depuis les jours de feu d'août 1914, a été marquée de l'épreuve de la mort, de la souffrance et de la fraternité inachevée par l'hécatombe de ses jeunes camarades disparus alors qu'ils étaient débordants de vie et d'énergie.
« On vous a tués et c'est le plus grand des crimes » écrit-il dans Ceux de 14. De ces épreuves il a fait surgir ce qui précisément nous fait davantage homme : ce par quoi on échappe à la mort et on rejoint l'éternité de notre destin : l'ouvre d'art.
« On vous a tués et c'est le plus grand des crimes » écrit-il dans Ceux de 14. De ces épreuves il a fait surgir ce qui précisément nous fait davantage homme : ce par quoi on échappe à la mort et on rejoint l'éternité de notre destin : l'ouvre d'art.
Cet hommage consacré à Genevoix n'est pas une étude dans le sens où l'on l'entend habituellement. On trouvera surtout ici l'expression d'une profonde et affectueuse admiration et d'une déférente gratitude envers l'homme, l'ancien des Eparges dont toute l'existence, depuis les jours de feu d'août 1914, a été marquée de l'épreuve de la mort, de la souffrance et de la fraternité inachevée par l'hécatombe de ses jeunes camarades disparus alors qu'ils étaient débordants de vie et d'énergie.
« On vous a tués et c'est le plus grand des crimes » écrit-il dans Ceux de 14. De ces épreuves il a fait surgir ce qui précisément nous fait davantage homme : ce par quoi on échappe à la mort et on rejoint l'éternité de notre destin : l'ouvre d'art.
« On vous a tués et c'est le plus grand des crimes » écrit-il dans Ceux de 14. De ces épreuves il a fait surgir ce qui précisément nous fait davantage homme : ce par quoi on échappe à la mort et on rejoint l'éternité de notre destin : l'ouvre d'art.