Né à La Chaux-de-Fonds (Suisse) le 1er septembre 1887, Blaise Cendrars, de son vrai nom Frédéric Louis Sauser parcourt le monde avant de s'installer à Paris. Mobilisé, il est grièvement blessé pendant l'offensive de Champagne. Reprenant sa vie errante, il se passionne pour le cinéma. Il continue à publier régulièrement jusqu'à sa mort à Paris le 21 janvier 1961.
Hollywood, La Mecque du cinéma. Suivi de L'ABC du cinéma ; Une nuit dans la forêt
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages258
- FormatPDF
- ISBN978-2-207-10661-7
- EAN9782207106617
- Date de parution23/05/2012
- Protection num.Adobe DRM
- Taille9 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurDenoël
Résumé
Le cinéma tient une grande place dans la vie, dans l'ouvre et dans l'imaginaire de Blaise Cendrars, du moins de 1917 à 1936, puisque ensuite c'est le « divorce » pour « incompatibilité d'humeur ». En fait ses rapports avec le septième art passent par trois étapes : d'abord la découverte, donnant lieu à des textes plus qu'enthousiastes, suivie d'un réel engagement dans la pratique du cinéma (écriture de scénarios, assistanat, réalisation de films), puis du désenchantement.
Cendrars est peut-être venu trop tôt. Il pouvait difficilement s'accomoder de la lourdeur des appareillages techniques et financiers de l'époque. L'invention de la caméra légère avec son synchrone lui aurait peut-être permis de s'inscrire parmi les cinéastes voyageurs, éternels itinérants.
Cendrars est peut-être venu trop tôt. Il pouvait difficilement s'accomoder de la lourdeur des appareillages techniques et financiers de l'époque. L'invention de la caméra légère avec son synchrone lui aurait peut-être permis de s'inscrire parmi les cinéastes voyageurs, éternels itinérants.
Le cinéma tient une grande place dans la vie, dans l'ouvre et dans l'imaginaire de Blaise Cendrars, du moins de 1917 à 1936, puisque ensuite c'est le « divorce » pour « incompatibilité d'humeur ». En fait ses rapports avec le septième art passent par trois étapes : d'abord la découverte, donnant lieu à des textes plus qu'enthousiastes, suivie d'un réel engagement dans la pratique du cinéma (écriture de scénarios, assistanat, réalisation de films), puis du désenchantement.
Cendrars est peut-être venu trop tôt. Il pouvait difficilement s'accomoder de la lourdeur des appareillages techniques et financiers de l'époque. L'invention de la caméra légère avec son synchrone lui aurait peut-être permis de s'inscrire parmi les cinéastes voyageurs, éternels itinérants.
Cendrars est peut-être venu trop tôt. Il pouvait difficilement s'accomoder de la lourdeur des appareillages techniques et financiers de l'époque. L'invention de la caméra légère avec son synchrone lui aurait peut-être permis de s'inscrire parmi les cinéastes voyageurs, éternels itinérants.