Histoire de Lyon en BD - Tome 03. De la Révolution à nos Jours
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- Nombre de pages48
- FormatEpub fixed layout
- ISBN978-2-331-02683-6
- EAN9782331026836
- Date de parution14/12/2016
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille56 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurGlénat Livres
Résumé
Les dessins aussi érudits et non moins humoristiques de Gilbert Bouchard proposent une promenade d'agrément à travers les épisodes de l'histoire et les lieux les plus fameux de la capitale des Gaules : Lyon. À Lyon comme ailleurs en France, les insurrections marquent la fin du XVIIIe siècle et le XIXe siècle. Pendant la Révolution française, les Lyonnais se lèvent contre la menace jacobine. En représailles, en 1793, la ville subit un terrible siège et est menacée d'être rasée.
En 1831 et 1834, ce sont les canuts, las d'être exploités au nom du libéralisme économique, qui se révoltent, sans succès. En 1848, lorsque la Deuxième République est proclamée, les ouvriers s'emparent des casernes, sans plus de réussite. Les communes indépendantes de la Croix-Rousse et de la Guillotière, foyers de ces révoltes, sont rattachées à Lyon sous Napoléon III. La ville connaît ensuite de profondes transformations, notamment sous l'impulsion du préfet Vaïsse, et de maires comme Jean-François Terme (à qui la France doit le « trottoir »), Édouard Herriot et Louis Pradel.
Les romains ne s'étaient pas trompés en choisissant le site stratégique où ils avaient implanté Lugdunum : deux mille ans plus tard, la ville de Lyon continue de faire fructifier son héritage, fière d'être reconnue en tant que cité internationale.
En 1831 et 1834, ce sont les canuts, las d'être exploités au nom du libéralisme économique, qui se révoltent, sans succès. En 1848, lorsque la Deuxième République est proclamée, les ouvriers s'emparent des casernes, sans plus de réussite. Les communes indépendantes de la Croix-Rousse et de la Guillotière, foyers de ces révoltes, sont rattachées à Lyon sous Napoléon III. La ville connaît ensuite de profondes transformations, notamment sous l'impulsion du préfet Vaïsse, et de maires comme Jean-François Terme (à qui la France doit le « trottoir »), Édouard Herriot et Louis Pradel.
Les romains ne s'étaient pas trompés en choisissant le site stratégique où ils avaient implanté Lugdunum : deux mille ans plus tard, la ville de Lyon continue de faire fructifier son héritage, fière d'être reconnue en tant que cité internationale.
Les dessins aussi érudits et non moins humoristiques de Gilbert Bouchard proposent une promenade d'agrément à travers les épisodes de l'histoire et les lieux les plus fameux de la capitale des Gaules : Lyon. À Lyon comme ailleurs en France, les insurrections marquent la fin du XVIIIe siècle et le XIXe siècle. Pendant la Révolution française, les Lyonnais se lèvent contre la menace jacobine. En représailles, en 1793, la ville subit un terrible siège et est menacée d'être rasée.
En 1831 et 1834, ce sont les canuts, las d'être exploités au nom du libéralisme économique, qui se révoltent, sans succès. En 1848, lorsque la Deuxième République est proclamée, les ouvriers s'emparent des casernes, sans plus de réussite. Les communes indépendantes de la Croix-Rousse et de la Guillotière, foyers de ces révoltes, sont rattachées à Lyon sous Napoléon III. La ville connaît ensuite de profondes transformations, notamment sous l'impulsion du préfet Vaïsse, et de maires comme Jean-François Terme (à qui la France doit le « trottoir »), Édouard Herriot et Louis Pradel.
Les romains ne s'étaient pas trompés en choisissant le site stratégique où ils avaient implanté Lugdunum : deux mille ans plus tard, la ville de Lyon continue de faire fructifier son héritage, fière d'être reconnue en tant que cité internationale.
En 1831 et 1834, ce sont les canuts, las d'être exploités au nom du libéralisme économique, qui se révoltent, sans succès. En 1848, lorsque la Deuxième République est proclamée, les ouvriers s'emparent des casernes, sans plus de réussite. Les communes indépendantes de la Croix-Rousse et de la Guillotière, foyers de ces révoltes, sont rattachées à Lyon sous Napoléon III. La ville connaît ensuite de profondes transformations, notamment sous l'impulsion du préfet Vaïsse, et de maires comme Jean-François Terme (à qui la France doit le « trottoir »), Édouard Herriot et Louis Pradel.
Les romains ne s'étaient pas trompés en choisissant le site stratégique où ils avaient implanté Lugdunum : deux mille ans plus tard, la ville de Lyon continue de faire fructifier son héritage, fière d'être reconnue en tant que cité internationale.