Histoire de la violence

Par : Edouard Louis

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  • Nombre de pages240
  • FormatePub
  • ISBN978-2-02-117780-0
  • EAN9782021177800
  • Date de parution07/01/2016
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille205 Ko
  • Transferts max.6 copie(s) autorisée(s)
  • ÉditeurLe Seuil

Résumé

J'ai rencontré Reda un soir de Noël. Je rentrais chez moi après un repas avec des amis, vers quatre heures du matin. Il m'a abordé dans la rue et j'ai fini par lui proposer de monter dans mon studio. Ensuite, il m'a raconté l'histoire de son enfance et celle de l'arrivée en France de son père, qui avait fui l'Algérie. Nous avons passé le reste de la nuit ensemble, on discutait, on riait. Vers six heures du matin, il a sorti un revolver et il a dit qu'il allait me tuer.
Il m'a insulté, étranglé, violé. Le lendemain, les démarches médicales et judiciaires ont commencé. Plus tard, je me suis confié à ma sour. Je l'ai entendue raconter à sa manière ces événements. En revenant sur mon enfance, mais aussi sur la vie de Reda et celle de son père, en réfléchissant à l'émigration, au racisme, à la misère, au désir ou aux effets du traumatisme, je voudrais à mon tour comprendre ce qui s'est passé cette nuit-là.
Et par là, esquisser une histoire de la violence. E. L. Édouard Louis a publié En finir avec Eddy Bellegueule (Seuil, 2014) et, sous sa direction, Pierre Bourdieu. L'insoumission en héritage (PUF, 2013). Il a créé la collection " Des mots " aux Presses universitaires de France.
J'ai rencontré Reda un soir de Noël. Je rentrais chez moi après un repas avec des amis, vers quatre heures du matin. Il m'a abordé dans la rue et j'ai fini par lui proposer de monter dans mon studio. Ensuite, il m'a raconté l'histoire de son enfance et celle de l'arrivée en France de son père, qui avait fui l'Algérie. Nous avons passé le reste de la nuit ensemble, on discutait, on riait. Vers six heures du matin, il a sorti un revolver et il a dit qu'il allait me tuer.
Il m'a insulté, étranglé, violé. Le lendemain, les démarches médicales et judiciaires ont commencé. Plus tard, je me suis confié à ma sour. Je l'ai entendue raconter à sa manière ces événements. En revenant sur mon enfance, mais aussi sur la vie de Reda et celle de son père, en réfléchissant à l'émigration, au racisme, à la misère, au désir ou aux effets du traumatisme, je voudrais à mon tour comprendre ce qui s'est passé cette nuit-là.
Et par là, esquisser une histoire de la violence. E. L. Édouard Louis a publié En finir avec Eddy Bellegueule (Seuil, 2014) et, sous sa direction, Pierre Bourdieu. L'insoumission en héritage (PUF, 2013). Il a créé la collection " Des mots " aux Presses universitaires de France.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3/5
sur 4 notes dont 3 avis lecteurs
Mauvais tout simplement
Indigeste, aussi bien en ce qui concerne l'histoire que le style. Il faut que l'imagination reprenne le pouvoir dans la littérature française. Le pendant masculin de Christine Angot. C'est mauvais tout simplement et sans aucune originalité.
Indigeste, aussi bien en ce qui concerne l'histoire que le style. Il faut que l'imagination reprenne le pouvoir dans la littérature française. Le pendant masculin de Christine Angot. C'est mauvais tout simplement et sans aucune originalité.
Histoire de la violence
Ma chronique: http://www.leslecturesdelily.com/2016/05/histoire-de-la-violence-ecrit-par.html Extrait de mon avis: Édouard Louis... cet écrivain est tellement particulier ! Plusieurs jours après la fin de mon écoute, je n'arrive toujours pas à savoir si j'ai aimé ou non ce livre, c'est incroyable ! Il est tellement spécial, tellement dérangeant que pendant quelques heures, j'ai eu l'impression d'être en apnée et d'être dans un monde à part. J'ai découvert la plume de ce jeune auteur avec son premier roman En finir avec Éddie Bellegueule. Déjà, ce titre m'avait chamboulée et ne m'avait pas laissée indifférente, je l'avais beaucoup aimé pour ça. Je m'étais promis de lire son second roman, mais je vous avoue que je l'attendais dans un autre registre, peut-être dans quelque chose de plus joyeux et de moins dramatique. Malheureusement, ce n'est pas le cas, mais Histoire de la violence est très bien écrit, si bien écrit qu'on ne peut le lâcher tellement nous sommes happés par ce récit violent, partagé avec tellement de pudeur. J'ai du mal à croire que ce roman soit en partie vrai, j'ai du mal à imaginer qu'un homme puisse vivre une enfance si difficile et avoir à l'âge adulte si peu de chance pour vivre une nuit comme celle-ci. C'est à croire que la vie s'acharne. Éddie revient sur la nuit qui suit le réveillon de Noël, lorsqu'en rentrant chez lui, il tombe par hasard en bas de son immeuble sur Reda, un garçon agréable à première vue. Le jeune homme arrive, en quelques mots, à amadouer Éddie et à se faire inviter chez lui. Quelle erreur ! Éddie va subir des violences physiques et sexuelles et passer la pire nuit de sa vie. Pour lire la suite rdv sur mon blog www.leslecturesdelily.com
Ma chronique: http://www.leslecturesdelily.com/2016/05/histoire-de-la-violence-ecrit-par.html Extrait de mon avis: Édouard Louis... cet écrivain est tellement particulier ! Plusieurs jours après la fin de mon écoute, je n'arrive toujours pas à savoir si j'ai aimé ou non ce livre, c'est incroyable ! Il est tellement spécial, tellement dérangeant que pendant quelques heures, j'ai eu l'impression d'être en apnée et d'être dans un monde à part. J'ai découvert la plume de ce jeune auteur avec son premier roman En finir avec Éddie Bellegueule. Déjà, ce titre m'avait chamboulée et ne m'avait pas laissée indifférente, je l'avais beaucoup aimé pour ça. Je m'étais promis de lire son second roman, mais je vous avoue que je l'attendais dans un autre registre, peut-être dans quelque chose de plus joyeux et de moins dramatique. Malheureusement, ce n'est pas le cas, mais Histoire de la violence est très bien écrit, si bien écrit qu'on ne peut le lâcher tellement nous sommes happés par ce récit violent, partagé avec tellement de pudeur. J'ai du mal à croire que ce roman soit en partie vrai, j'ai du mal à imaginer qu'un homme puisse vivre une enfance si difficile et avoir à l'âge adulte si peu de chance pour vivre une nuit comme celle-ci. C'est à croire que la vie s'acharne. Éddie revient sur la nuit qui suit le réveillon de Noël, lorsqu'en rentrant chez lui, il tombe par hasard en bas de son immeuble sur Reda, un garçon agréable à première vue. Le jeune homme arrive, en quelques mots, à amadouer Éddie et à se faire inviter chez lui. Quelle erreur ! Éddie va subir des violences physiques et sexuelles et passer la pire nuit de sa vie. Pour lire la suite rdv sur mon blog www.leslecturesdelily.com
RECOMMANDÉ PAR LE SITE CULTURE-CHRONIQUE
Cette "Histoire de la violence" , second roman d'Edouard Louis, parce qu'il est plus maitrisé, est supérieur à "Pour en finir avec Eddy Bellegueule". Cette plongée traumatisante dans la violence d'un soir de Noël interpelle la part la plus sombre de notre humanité. Louis démontre qu'il est un écrivain confirmé par les qualités littéraires de son écriture et la maitrise de son récit. Parfois dérangeant sans jamais sombrer dans le voyeurisme certaines scènes sont à glacer le sang. Louis sait guider ses personnages sur le fil ténu de la narration au dessus d'un vide abyssal. Il faut lire l'"Histoire de la violence" pour le plaisir de l'écriture et pour le traitement sans concession d'une thématique difficile. Dans le cas d'Edouard Louis le talent n'attend pas le nombre des années.... Profitons en... Archibald PLOOM (CULTURE-CHRONIQUE)
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