Histoire de la décadence et de la chute de l'Empire romain
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- Nombre de pages5410
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-8249-0705-5
- EAN9782824907055
- Date de parution28/09/2022
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurRépublique des Lettres
Résumé
Texte intégral revu et corrigé. Ouvrage ambitieux et grandiose publié à Londres entre 1776 et 1788, l'"Histoire de la décadence et de la chute de l'Empire romain" d'Edward Gibbon relate en quelque 5000 pages la vaste période de plus de 13 siècles qui s'étend de l'an 180 à la chute de l'Empire byzantin. Cette étude du régime constitutionnel de l'Empire romain et des vicissitudes politiques de Rome puis de Byzance depuis la période des Antonins jusqu'à la prise de Constantinople reste fondamentale encore aujourd'hui.
Les débuts et les progrès du christianisme, avec la décadence du paganisme qui en résulte, la vie monastique, les institutions juridiques romaines, les mouvements spirituels et sociaux des peuples en relation avec l'Empire, enfin les schismes religieux, sont particulièrement analysés. À la différence de ses prédécesseurs, Gibbon, esprit éminemment réaliste, parfois quelque peu cynique, en bref voltairien, unit à la recherche scrupuleuse des sources un sens critique aigu et un vif talent d'évocation grâce auquel les hommes et les événements reprennent vie sous sa plume.
Parmi les plus belles pages de son chef-d'ouvre, il convient de citer celles qui sont consacrées aux portraits de Marc Aurèle, de Justinien, de Constantin et d'Attila. Les passages relatifs à la législation romaine, à la naissance de l'islamisme, aux invasions barbares, au règne de Julien ainsi qu'aux Croisades, sont également dignes de mention.
Les débuts et les progrès du christianisme, avec la décadence du paganisme qui en résulte, la vie monastique, les institutions juridiques romaines, les mouvements spirituels et sociaux des peuples en relation avec l'Empire, enfin les schismes religieux, sont particulièrement analysés. À la différence de ses prédécesseurs, Gibbon, esprit éminemment réaliste, parfois quelque peu cynique, en bref voltairien, unit à la recherche scrupuleuse des sources un sens critique aigu et un vif talent d'évocation grâce auquel les hommes et les événements reprennent vie sous sa plume.
Parmi les plus belles pages de son chef-d'ouvre, il convient de citer celles qui sont consacrées aux portraits de Marc Aurèle, de Justinien, de Constantin et d'Attila. Les passages relatifs à la législation romaine, à la naissance de l'islamisme, aux invasions barbares, au règne de Julien ainsi qu'aux Croisades, sont également dignes de mention.
Texte intégral revu et corrigé. Ouvrage ambitieux et grandiose publié à Londres entre 1776 et 1788, l'"Histoire de la décadence et de la chute de l'Empire romain" d'Edward Gibbon relate en quelque 5000 pages la vaste période de plus de 13 siècles qui s'étend de l'an 180 à la chute de l'Empire byzantin. Cette étude du régime constitutionnel de l'Empire romain et des vicissitudes politiques de Rome puis de Byzance depuis la période des Antonins jusqu'à la prise de Constantinople reste fondamentale encore aujourd'hui.
Les débuts et les progrès du christianisme, avec la décadence du paganisme qui en résulte, la vie monastique, les institutions juridiques romaines, les mouvements spirituels et sociaux des peuples en relation avec l'Empire, enfin les schismes religieux, sont particulièrement analysés. À la différence de ses prédécesseurs, Gibbon, esprit éminemment réaliste, parfois quelque peu cynique, en bref voltairien, unit à la recherche scrupuleuse des sources un sens critique aigu et un vif talent d'évocation grâce auquel les hommes et les événements reprennent vie sous sa plume.
Parmi les plus belles pages de son chef-d'ouvre, il convient de citer celles qui sont consacrées aux portraits de Marc Aurèle, de Justinien, de Constantin et d'Attila. Les passages relatifs à la législation romaine, à la naissance de l'islamisme, aux invasions barbares, au règne de Julien ainsi qu'aux Croisades, sont également dignes de mention.
Les débuts et les progrès du christianisme, avec la décadence du paganisme qui en résulte, la vie monastique, les institutions juridiques romaines, les mouvements spirituels et sociaux des peuples en relation avec l'Empire, enfin les schismes religieux, sont particulièrement analysés. À la différence de ses prédécesseurs, Gibbon, esprit éminemment réaliste, parfois quelque peu cynique, en bref voltairien, unit à la recherche scrupuleuse des sources un sens critique aigu et un vif talent d'évocation grâce auquel les hommes et les événements reprennent vie sous sa plume.
Parmi les plus belles pages de son chef-d'ouvre, il convient de citer celles qui sont consacrées aux portraits de Marc Aurèle, de Justinien, de Constantin et d'Attila. Les passages relatifs à la législation romaine, à la naissance de l'islamisme, aux invasions barbares, au règne de Julien ainsi qu'aux Croisades, sont également dignes de mention.