Histoire de l'écriture typographique. Le XXe siècle Tome 1, de 1900 à 1950
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- Nombre de pages264
- FormatPDF
- ISBN978-2-36765-007-4
- EAN9782367650074
- Date de parution10/10/2016
- Protection num.Adobe DRM
- Taille152 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurAtelier Perrousseaux
- PréfacierAlan Marshall
Résumé
Cette Histoire de l'écriture typographique - Le xxe siècle, tome 1 : de 1900 à 1950 vient compléter les quatre volumes précédents de la collection créée par Yves Perrousseaux qui retrace l'histoire des caractères d'imprimerie, de leur fabrication, de leurs usages et de leur implication dans la culture écrite occidentale.
De 1900 à 1950, les caractères en plomb voient leur fabrication atteindre des sommets en matière de qualité, avant de disparaître définitivement dans la seconde moitié du siècle.
C'est donc l'occasion de faire le point sur la gravure de poinçons et la frappe de matrices. À côté de cette tradition, la typographie se modernise grâce aux machines à composer, Linotype et Monotype. Il faut produire des caractères pour ces machines ; les fonderies du monde entier vont s'y employer. D'abord par un retour aux sources (Garamond, Cochin et autres Baskerville qui vont être souvent modernisés) tout en voyant la création de nouveaux caractères pour le plomb perdurer jusque dans les années 1970 (avec les caractères des Mendoza, Excoffon, et même les premiers de Frutiger).
Un maître mot durant tout ce demi-siècle : lisibilité ; un chapitre entier est donc consacré aux avancées de cette discipline pratiquement née en France avec Javal vers 1900. Mais en parallèle, durant la période 1890-1950, la lettre s'ouvre au public. Elle n'est plus uniquement gravée par des typographes, elle est aussi dessinée par des graphistes. Elle n'est plus uniquement l'objet à lire de l'imprimerie, elle devient objet à voir.
On ne la trouve plus seulement dans le livre ou la presse, elle se voit dans la rue, sur les affiches, les enseignes de magasins, dans la publicité, les magazines, etc. La lettre devient objet d'étude grâce aux mouvements artistiques tels que Arts Nouveaux, Bauhaus, Art Déco. Les typographes s'appellent alors Auriol, Renner, Tschichold ou Cassandre. Une nouvelle typographie est née. Ce cinquième volume de l'Histoire de l'écriture typographique a été rédigé par une dizaine de spécialistes, chacun montrant à sa façon la diversité typographique de ce demi-siècle.
Selon la tradition de cette collection, des pauses sont proposées hors chronologie, consacrées ici aux lettres à pochoirs, à l'imprimeur Louis Jou et aux historiens de la typographie. Par son iconographie très riche (plus de six cents illustrations, presque toutes en couleurs), ses index et sa bibliographie de plusieurs centaines de titres, cette Histoire s'adresse aussi bien à un large public qu'aux étudiants des beaux-arts ou des écoles de communication, aux amoureux, spécialistes ou professionnels de la typographie, de l'édition et des arts graphiques.
C'est donc l'occasion de faire le point sur la gravure de poinçons et la frappe de matrices. À côté de cette tradition, la typographie se modernise grâce aux machines à composer, Linotype et Monotype. Il faut produire des caractères pour ces machines ; les fonderies du monde entier vont s'y employer. D'abord par un retour aux sources (Garamond, Cochin et autres Baskerville qui vont être souvent modernisés) tout en voyant la création de nouveaux caractères pour le plomb perdurer jusque dans les années 1970 (avec les caractères des Mendoza, Excoffon, et même les premiers de Frutiger).
Un maître mot durant tout ce demi-siècle : lisibilité ; un chapitre entier est donc consacré aux avancées de cette discipline pratiquement née en France avec Javal vers 1900. Mais en parallèle, durant la période 1890-1950, la lettre s'ouvre au public. Elle n'est plus uniquement gravée par des typographes, elle est aussi dessinée par des graphistes. Elle n'est plus uniquement l'objet à lire de l'imprimerie, elle devient objet à voir.
On ne la trouve plus seulement dans le livre ou la presse, elle se voit dans la rue, sur les affiches, les enseignes de magasins, dans la publicité, les magazines, etc. La lettre devient objet d'étude grâce aux mouvements artistiques tels que Arts Nouveaux, Bauhaus, Art Déco. Les typographes s'appellent alors Auriol, Renner, Tschichold ou Cassandre. Une nouvelle typographie est née. Ce cinquième volume de l'Histoire de l'écriture typographique a été rédigé par une dizaine de spécialistes, chacun montrant à sa façon la diversité typographique de ce demi-siècle.
Selon la tradition de cette collection, des pauses sont proposées hors chronologie, consacrées ici aux lettres à pochoirs, à l'imprimeur Louis Jou et aux historiens de la typographie. Par son iconographie très riche (plus de six cents illustrations, presque toutes en couleurs), ses index et sa bibliographie de plusieurs centaines de titres, cette Histoire s'adresse aussi bien à un large public qu'aux étudiants des beaux-arts ou des écoles de communication, aux amoureux, spécialistes ou professionnels de la typographie, de l'édition et des arts graphiques.
Cette Histoire de l'écriture typographique - Le xxe siècle, tome 1 : de 1900 à 1950 vient compléter les quatre volumes précédents de la collection créée par Yves Perrousseaux qui retrace l'histoire des caractères d'imprimerie, de leur fabrication, de leurs usages et de leur implication dans la culture écrite occidentale.
De 1900 à 1950, les caractères en plomb voient leur fabrication atteindre des sommets en matière de qualité, avant de disparaître définitivement dans la seconde moitié du siècle.
C'est donc l'occasion de faire le point sur la gravure de poinçons et la frappe de matrices. À côté de cette tradition, la typographie se modernise grâce aux machines à composer, Linotype et Monotype. Il faut produire des caractères pour ces machines ; les fonderies du monde entier vont s'y employer. D'abord par un retour aux sources (Garamond, Cochin et autres Baskerville qui vont être souvent modernisés) tout en voyant la création de nouveaux caractères pour le plomb perdurer jusque dans les années 1970 (avec les caractères des Mendoza, Excoffon, et même les premiers de Frutiger).
Un maître mot durant tout ce demi-siècle : lisibilité ; un chapitre entier est donc consacré aux avancées de cette discipline pratiquement née en France avec Javal vers 1900. Mais en parallèle, durant la période 1890-1950, la lettre s'ouvre au public. Elle n'est plus uniquement gravée par des typographes, elle est aussi dessinée par des graphistes. Elle n'est plus uniquement l'objet à lire de l'imprimerie, elle devient objet à voir.
On ne la trouve plus seulement dans le livre ou la presse, elle se voit dans la rue, sur les affiches, les enseignes de magasins, dans la publicité, les magazines, etc. La lettre devient objet d'étude grâce aux mouvements artistiques tels que Arts Nouveaux, Bauhaus, Art Déco. Les typographes s'appellent alors Auriol, Renner, Tschichold ou Cassandre. Une nouvelle typographie est née. Ce cinquième volume de l'Histoire de l'écriture typographique a été rédigé par une dizaine de spécialistes, chacun montrant à sa façon la diversité typographique de ce demi-siècle.
Selon la tradition de cette collection, des pauses sont proposées hors chronologie, consacrées ici aux lettres à pochoirs, à l'imprimeur Louis Jou et aux historiens de la typographie. Par son iconographie très riche (plus de six cents illustrations, presque toutes en couleurs), ses index et sa bibliographie de plusieurs centaines de titres, cette Histoire s'adresse aussi bien à un large public qu'aux étudiants des beaux-arts ou des écoles de communication, aux amoureux, spécialistes ou professionnels de la typographie, de l'édition et des arts graphiques.
C'est donc l'occasion de faire le point sur la gravure de poinçons et la frappe de matrices. À côté de cette tradition, la typographie se modernise grâce aux machines à composer, Linotype et Monotype. Il faut produire des caractères pour ces machines ; les fonderies du monde entier vont s'y employer. D'abord par un retour aux sources (Garamond, Cochin et autres Baskerville qui vont être souvent modernisés) tout en voyant la création de nouveaux caractères pour le plomb perdurer jusque dans les années 1970 (avec les caractères des Mendoza, Excoffon, et même les premiers de Frutiger).
Un maître mot durant tout ce demi-siècle : lisibilité ; un chapitre entier est donc consacré aux avancées de cette discipline pratiquement née en France avec Javal vers 1900. Mais en parallèle, durant la période 1890-1950, la lettre s'ouvre au public. Elle n'est plus uniquement gravée par des typographes, elle est aussi dessinée par des graphistes. Elle n'est plus uniquement l'objet à lire de l'imprimerie, elle devient objet à voir.
On ne la trouve plus seulement dans le livre ou la presse, elle se voit dans la rue, sur les affiches, les enseignes de magasins, dans la publicité, les magazines, etc. La lettre devient objet d'étude grâce aux mouvements artistiques tels que Arts Nouveaux, Bauhaus, Art Déco. Les typographes s'appellent alors Auriol, Renner, Tschichold ou Cassandre. Une nouvelle typographie est née. Ce cinquième volume de l'Histoire de l'écriture typographique a été rédigé par une dizaine de spécialistes, chacun montrant à sa façon la diversité typographique de ce demi-siècle.
Selon la tradition de cette collection, des pauses sont proposées hors chronologie, consacrées ici aux lettres à pochoirs, à l'imprimeur Louis Jou et aux historiens de la typographie. Par son iconographie très riche (plus de six cents illustrations, presque toutes en couleurs), ses index et sa bibliographie de plusieurs centaines de titres, cette Histoire s'adresse aussi bien à un large public qu'aux étudiants des beaux-arts ou des écoles de communication, aux amoureux, spécialistes ou professionnels de la typographie, de l'édition et des arts graphiques.