Histoire d'Henriette d'Angleterre

Par : Madame De La Fayette

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages154
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-346-01010-3
  • EAN9782346010103
  • Date de parution24/11/2021
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
  • ÉditeurCollection XIX

Résumé

« Il semble, au premier abord, qu'on ne saurait prendre un vif intérêt à l'histoire d'une jeune princesse morte à vingt-six ans, dont l'enfance s'est passée dans l'exil, et qui n'a paru qu'un instant à la cour de Louis XIV. Mais il faut se rappeler que cette princesse est la fille de Charles Ier, et la sour de Charles II ; qu'elle a été l'idole des plus belles années de la plus brillante cour du monde, que c'est par elle que fut conclue l'alliance entre Charles II et Louis XIV, et qu'enfin elle mourut empoisonnée dans tout l'éclat de sa beauté et de ses succès. Son histoire, par Mme de La Fayette, renferme une vivante image des premières années du règne de Louis XIV ; il est piquant d'y retrouver, peints par la main d'une femme, et tels qu'ils étaient dans leur jeunesse, la plupart des personnages que le duc de Saint-Simon a connus et décrits trente ans plus tard. Mme de La Fayette est elle-même un écrivain très-distingué, et si ce petit livre perdait son intérêt historique, il mériterait d'être conservé uniquement pour sa valeur littéraire.
On y reconnaît partout l'auteur de Zaïde et de la Princesse de Clèvos, ces deux romans qu'on dédaigne de lire, et qui, pour la grâce et le sentiment, n'ont pas été surpassés. Mme de La Fayette était de cette société de l'hôtel de Rambouillet, dont Molière a immortalisé le mauvais goût, mais où il se trouvait bien quelques esprits excellents à côté des Bélise et des Trissotin, puisque Mme de La Fayette s'y rencontrait avec Mme de Sévigné.
Elle fut pendant vingt-cinq ans l'amie du duc de La Rochefoucauld, l'auteur des Maximes, et se jeta sur la fin dans la dévotion la plus austère, sous la direction du célèbre abbé Duguet, de Port-Royal. Elle mourut en 1693, âgée de soixante ans. » Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
« Il semble, au premier abord, qu'on ne saurait prendre un vif intérêt à l'histoire d'une jeune princesse morte à vingt-six ans, dont l'enfance s'est passée dans l'exil, et qui n'a paru qu'un instant à la cour de Louis XIV. Mais il faut se rappeler que cette princesse est la fille de Charles Ier, et la sour de Charles II ; qu'elle a été l'idole des plus belles années de la plus brillante cour du monde, que c'est par elle que fut conclue l'alliance entre Charles II et Louis XIV, et qu'enfin elle mourut empoisonnée dans tout l'éclat de sa beauté et de ses succès. Son histoire, par Mme de La Fayette, renferme une vivante image des premières années du règne de Louis XIV ; il est piquant d'y retrouver, peints par la main d'une femme, et tels qu'ils étaient dans leur jeunesse, la plupart des personnages que le duc de Saint-Simon a connus et décrits trente ans plus tard. Mme de La Fayette est elle-même un écrivain très-distingué, et si ce petit livre perdait son intérêt historique, il mériterait d'être conservé uniquement pour sa valeur littéraire.
On y reconnaît partout l'auteur de Zaïde et de la Princesse de Clèvos, ces deux romans qu'on dédaigne de lire, et qui, pour la grâce et le sentiment, n'ont pas été surpassés. Mme de La Fayette était de cette société de l'hôtel de Rambouillet, dont Molière a immortalisé le mauvais goût, mais où il se trouvait bien quelques esprits excellents à côté des Bélise et des Trissotin, puisque Mme de La Fayette s'y rencontrait avec Mme de Sévigné.
Elle fut pendant vingt-cinq ans l'amie du duc de La Rochefoucauld, l'auteur des Maximes, et se jeta sur la fin dans la dévotion la plus austère, sous la direction du célèbre abbé Duguet, de Port-Royal. Elle mourut en 1693, âgée de soixante ans. » Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
La Princesse de Clèves
Madame De La Fayette
E-book
1,99 €