Heurs et malheurs du trou du cul. suivi de Poèmes satiriques et burlesques
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- Nombre de pages80
- FormatePub
- ISBN2-7555-0181-2
- EAN9782755501810
- Date de parution13/10/2004
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille421 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFayard/Mille et une nuits
Résumé
« Le trou du cul est plus nécessaire que les yeux ; car sans les yeux on peut vivre, mais sans trou au cul, ni vivre ni mourir. »Le plus grand poète espagnol du Siècle d'or, Francisco de Quevedo (1580-1645), est un satiriste de génie. Homme de cour sous Philippe II, il multiplie les provocations et tourne en dérision les travers de ses contemporains. Tombé en disgrâce, il profite sans doute de l'exil qui lui est imposé pour écrire ces Heurs et malheurs du trou du cul (1622-1623) d'inspiration rabelaisienne, dans une langue inventive.
Jamais publié de son vivant, ce texte blasphématoire et scatologique circulait longtemps sous le manteau sans nom d'auteur.
Jamais publié de son vivant, ce texte blasphématoire et scatologique circulait longtemps sous le manteau sans nom d'auteur.
« Le trou du cul est plus nécessaire que les yeux ; car sans les yeux on peut vivre, mais sans trou au cul, ni vivre ni mourir. »Le plus grand poète espagnol du Siècle d'or, Francisco de Quevedo (1580-1645), est un satiriste de génie. Homme de cour sous Philippe II, il multiplie les provocations et tourne en dérision les travers de ses contemporains. Tombé en disgrâce, il profite sans doute de l'exil qui lui est imposé pour écrire ces Heurs et malheurs du trou du cul (1622-1623) d'inspiration rabelaisienne, dans une langue inventive.
Jamais publié de son vivant, ce texte blasphématoire et scatologique circulait longtemps sous le manteau sans nom d'auteur.
Jamais publié de son vivant, ce texte blasphématoire et scatologique circulait longtemps sous le manteau sans nom d'auteur.