Henry de Monfreid et Rémy Lavigne. Rencontre en Abyssinie
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- Nombre de pages128
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-18237-0
- EAN9782296182370
- Date de parution01/10/2007
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierMarc Gentilini
Résumé
Henry de Monfreid avait trente-deux ans au moment de sa rencontre avec Rémy Lavigne. Il n'était pas encore ce personnage hors du commun, souvent considéré, avec le recul du temps, comme un aventurier sulfureux " racheté " par l'écriture. Arrivés tous deux en Abyssinie en 1911, à trois mois d'intervalle, ils étaient employés chez des négociants dans des maisons de commerce concurrentes, l'un dans le Tchertcher, l'autre à Addis Abeba.
Comme Arthur Rimbaud, vingt-cinq ans plus tôt, Henry de Monfreid et Rémy Lavigne ont peiné à dos de cheval ou de mulet sur les mêmes routes de désert ou de montagnes, supporté les caprices d'un climat éprouvant, bravé des risques identiques tous les jours : attaques de pillards, guérillas entre ethnies... sans oublier les fièvres et les animaux sauvages ! En 1914, au moment où la guerre éclate en Europe, Rémy Lavigne et Henry de Monfreid étaient devenus des amis et même des associés dans des entreprises quelque peu hasardeuses en mer Rouge.
Henry de Monfreid a évoqué brièvement le sujet dans Les Secrets de la mer Rouge. Un témoignage manquait : celui de Rémy, son seul ami européen. Comment se sont-ils rencontrés ? Pourquoi sont-ils devenus ensemble des aventuriers " en herbe " ? On le découvre dans la correspondance (une soixantaine de lettres, un carnet de voyage, quelques photographies), récemment retrouvée, de celui que, dans ses écrits, Henry de Monfreid appelait " mon ami Lavigne ".
Comme Arthur Rimbaud, vingt-cinq ans plus tôt, Henry de Monfreid et Rémy Lavigne ont peiné à dos de cheval ou de mulet sur les mêmes routes de désert ou de montagnes, supporté les caprices d'un climat éprouvant, bravé des risques identiques tous les jours : attaques de pillards, guérillas entre ethnies... sans oublier les fièvres et les animaux sauvages ! En 1914, au moment où la guerre éclate en Europe, Rémy Lavigne et Henry de Monfreid étaient devenus des amis et même des associés dans des entreprises quelque peu hasardeuses en mer Rouge.
Henry de Monfreid a évoqué brièvement le sujet dans Les Secrets de la mer Rouge. Un témoignage manquait : celui de Rémy, son seul ami européen. Comment se sont-ils rencontrés ? Pourquoi sont-ils devenus ensemble des aventuriers " en herbe " ? On le découvre dans la correspondance (une soixantaine de lettres, un carnet de voyage, quelques photographies), récemment retrouvée, de celui que, dans ses écrits, Henry de Monfreid appelait " mon ami Lavigne ".
Henry de Monfreid avait trente-deux ans au moment de sa rencontre avec Rémy Lavigne. Il n'était pas encore ce personnage hors du commun, souvent considéré, avec le recul du temps, comme un aventurier sulfureux " racheté " par l'écriture. Arrivés tous deux en Abyssinie en 1911, à trois mois d'intervalle, ils étaient employés chez des négociants dans des maisons de commerce concurrentes, l'un dans le Tchertcher, l'autre à Addis Abeba.
Comme Arthur Rimbaud, vingt-cinq ans plus tôt, Henry de Monfreid et Rémy Lavigne ont peiné à dos de cheval ou de mulet sur les mêmes routes de désert ou de montagnes, supporté les caprices d'un climat éprouvant, bravé des risques identiques tous les jours : attaques de pillards, guérillas entre ethnies... sans oublier les fièvres et les animaux sauvages ! En 1914, au moment où la guerre éclate en Europe, Rémy Lavigne et Henry de Monfreid étaient devenus des amis et même des associés dans des entreprises quelque peu hasardeuses en mer Rouge.
Henry de Monfreid a évoqué brièvement le sujet dans Les Secrets de la mer Rouge. Un témoignage manquait : celui de Rémy, son seul ami européen. Comment se sont-ils rencontrés ? Pourquoi sont-ils devenus ensemble des aventuriers " en herbe " ? On le découvre dans la correspondance (une soixantaine de lettres, un carnet de voyage, quelques photographies), récemment retrouvée, de celui que, dans ses écrits, Henry de Monfreid appelait " mon ami Lavigne ".
Comme Arthur Rimbaud, vingt-cinq ans plus tôt, Henry de Monfreid et Rémy Lavigne ont peiné à dos de cheval ou de mulet sur les mêmes routes de désert ou de montagnes, supporté les caprices d'un climat éprouvant, bravé des risques identiques tous les jours : attaques de pillards, guérillas entre ethnies... sans oublier les fièvres et les animaux sauvages ! En 1914, au moment où la guerre éclate en Europe, Rémy Lavigne et Henry de Monfreid étaient devenus des amis et même des associés dans des entreprises quelque peu hasardeuses en mer Rouge.
Henry de Monfreid a évoqué brièvement le sujet dans Les Secrets de la mer Rouge. Un témoignage manquait : celui de Rémy, son seul ami européen. Comment se sont-ils rencontrés ? Pourquoi sont-ils devenus ensemble des aventuriers " en herbe " ? On le découvre dans la correspondance (une soixantaine de lettres, un carnet de voyage, quelques photographies), récemment retrouvée, de celui que, dans ses écrits, Henry de Monfreid appelait " mon ami Lavigne ".