Henri Rochefort : déportation et évasion d'un polémiste
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- Nombre de pages342
- FormatPDF
- ISBN2-296-37035-7
- EAN9782296370357
- Date de parution01/10/2004
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille11 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Opposant résolu à Napoléon III et à son régime, Henri de Rochefort fut le " gamin sublime qui osa le premier jeter des pierres dans les carreaux de l'Empire ". Considéré comme " son autre fils " par Victor Hugo dont il fut l'intime, il paya très cher ses impertinences. " La France contient, dit l'Almanach impérial, trente-six millions de sujets, sans compter les sujets de mécontentements ". L'auteur de cette phrase passée à la postérité est ainsi Rochefort, ce polémiste talentueux devenu subitement à la fin du Second Empire l'écrivain le plus populaire de France avec le premier numéro du journal satirique La Lanterne.
Emprisonné à Sainte-Pélagie, libéré le 4 septembre 1870, il participe au gouvernement de la Défense nationale, aux côtés de Gambetta et de Jules Ferry. Hostile aux Versaillais, sans épouser complètement la cause de la Commune, il est néanmoins arrêté, jugé et condamné à la déportation en enceinte fortifiée. Une sentence exécutée deux ans plus tard à l'initiative de Mac Mahon et de son gouvernement d'ordre moral.
Après un voyage exténuant de quatre mois, en compagnie notamment de Louise Michel, Rochefort est transporté en Nouvelle-Calédonie, d'où il parvient à s'échapper avec cinq autres compagnons d'infortune, après trois mois seulement de séjour. Une évasion spectaculaire et sensationnelle, immortalisée par deux tableaux de Manet. A travers le destin d'un homme qui confia un jour avoir " traversé la vie, frôlé par tous les hommes célèbres, mêlé à presque toutes les catastrophes ", cet ouvrage exceptionnellement documenté constitue un apport remarquable à l'histoire du Second Empire, de la Commune et de la IIIe République naissante.
Emprisonné à Sainte-Pélagie, libéré le 4 septembre 1870, il participe au gouvernement de la Défense nationale, aux côtés de Gambetta et de Jules Ferry. Hostile aux Versaillais, sans épouser complètement la cause de la Commune, il est néanmoins arrêté, jugé et condamné à la déportation en enceinte fortifiée. Une sentence exécutée deux ans plus tard à l'initiative de Mac Mahon et de son gouvernement d'ordre moral.
Après un voyage exténuant de quatre mois, en compagnie notamment de Louise Michel, Rochefort est transporté en Nouvelle-Calédonie, d'où il parvient à s'échapper avec cinq autres compagnons d'infortune, après trois mois seulement de séjour. Une évasion spectaculaire et sensationnelle, immortalisée par deux tableaux de Manet. A travers le destin d'un homme qui confia un jour avoir " traversé la vie, frôlé par tous les hommes célèbres, mêlé à presque toutes les catastrophes ", cet ouvrage exceptionnellement documenté constitue un apport remarquable à l'histoire du Second Empire, de la Commune et de la IIIe République naissante.
Opposant résolu à Napoléon III et à son régime, Henri de Rochefort fut le " gamin sublime qui osa le premier jeter des pierres dans les carreaux de l'Empire ". Considéré comme " son autre fils " par Victor Hugo dont il fut l'intime, il paya très cher ses impertinences. " La France contient, dit l'Almanach impérial, trente-six millions de sujets, sans compter les sujets de mécontentements ". L'auteur de cette phrase passée à la postérité est ainsi Rochefort, ce polémiste talentueux devenu subitement à la fin du Second Empire l'écrivain le plus populaire de France avec le premier numéro du journal satirique La Lanterne.
Emprisonné à Sainte-Pélagie, libéré le 4 septembre 1870, il participe au gouvernement de la Défense nationale, aux côtés de Gambetta et de Jules Ferry. Hostile aux Versaillais, sans épouser complètement la cause de la Commune, il est néanmoins arrêté, jugé et condamné à la déportation en enceinte fortifiée. Une sentence exécutée deux ans plus tard à l'initiative de Mac Mahon et de son gouvernement d'ordre moral.
Après un voyage exténuant de quatre mois, en compagnie notamment de Louise Michel, Rochefort est transporté en Nouvelle-Calédonie, d'où il parvient à s'échapper avec cinq autres compagnons d'infortune, après trois mois seulement de séjour. Une évasion spectaculaire et sensationnelle, immortalisée par deux tableaux de Manet. A travers le destin d'un homme qui confia un jour avoir " traversé la vie, frôlé par tous les hommes célèbres, mêlé à presque toutes les catastrophes ", cet ouvrage exceptionnellement documenté constitue un apport remarquable à l'histoire du Second Empire, de la Commune et de la IIIe République naissante.
Emprisonné à Sainte-Pélagie, libéré le 4 septembre 1870, il participe au gouvernement de la Défense nationale, aux côtés de Gambetta et de Jules Ferry. Hostile aux Versaillais, sans épouser complètement la cause de la Commune, il est néanmoins arrêté, jugé et condamné à la déportation en enceinte fortifiée. Une sentence exécutée deux ans plus tard à l'initiative de Mac Mahon et de son gouvernement d'ordre moral.
Après un voyage exténuant de quatre mois, en compagnie notamment de Louise Michel, Rochefort est transporté en Nouvelle-Calédonie, d'où il parvient à s'échapper avec cinq autres compagnons d'infortune, après trois mois seulement de séjour. Une évasion spectaculaire et sensationnelle, immortalisée par deux tableaux de Manet. A travers le destin d'un homme qui confia un jour avoir " traversé la vie, frôlé par tous les hommes célèbres, mêlé à presque toutes les catastrophes ", cet ouvrage exceptionnellement documenté constitue un apport remarquable à l'histoire du Second Empire, de la Commune et de la IIIe République naissante.