Hannah Arendt, l'amour de la liberté.. Essai de pensée politique
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- Nombre de pages248
- FormatPDF
- ISBN2-7637-5069-9
- EAN9782763750699
- Date de parution27/11/2002
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille15 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurPRESSES DE L'UNIVERSITÉ LAVAL
Résumé
Qu'est-ce que la liberté ? Cet ouvrage propose de discuter précisément de cette question au cour de l'ouvre philosophique et politique de Hannah Arendt.
Contrairement à la philosophie politique contemporaine qui réduit la pensée de Hannah Arendt à une réflexion sur la théorie du jugement esthétique kantien ou la rattache au courant politique conservateur, l'auteur démontre que la fécondité de la pensée de la philosophe se trouve dans une réflexion originale sur le concept de liberté.
Il soutient la thèse selon laquelle H. Arendt développe une double théorie de la liberté : la liberté de penser et la liberté politique. Irréductible à une instrumentalisation de la pensée et à une identification de la liberté d'agir à la domination, la liberté arendtienne ne consiste pas seulement à penser en termes politiques et à fonder un corps politique ; elle poursuit aussi des objectifs plus « modestes » : résister à l'oppression, soulever l'opinion publique, etc. Le concept de la liberté est en quelque sorte la matrice du politique chez H.
Arendt. L'activité de penser est libre dans la mesure où elle se distingue du processus réflexif qui conduit à la connaissance, tandis que la liberté politique émerge des expériences anciennes et modernes dans lesquelles le pouvoir réfute la domination. De la théorie politique de H. Arendt se dégage en dernier ressort la question suivante : la liberté des Modernes est-elle politique ?
Il soutient la thèse selon laquelle H. Arendt développe une double théorie de la liberté : la liberté de penser et la liberté politique. Irréductible à une instrumentalisation de la pensée et à une identification de la liberté d'agir à la domination, la liberté arendtienne ne consiste pas seulement à penser en termes politiques et à fonder un corps politique ; elle poursuit aussi des objectifs plus « modestes » : résister à l'oppression, soulever l'opinion publique, etc. Le concept de la liberté est en quelque sorte la matrice du politique chez H.
Arendt. L'activité de penser est libre dans la mesure où elle se distingue du processus réflexif qui conduit à la connaissance, tandis que la liberté politique émerge des expériences anciennes et modernes dans lesquelles le pouvoir réfute la domination. De la théorie politique de H. Arendt se dégage en dernier ressort la question suivante : la liberté des Modernes est-elle politique ?
Qu'est-ce que la liberté ? Cet ouvrage propose de discuter précisément de cette question au cour de l'ouvre philosophique et politique de Hannah Arendt.
Contrairement à la philosophie politique contemporaine qui réduit la pensée de Hannah Arendt à une réflexion sur la théorie du jugement esthétique kantien ou la rattache au courant politique conservateur, l'auteur démontre que la fécondité de la pensée de la philosophe se trouve dans une réflexion originale sur le concept de liberté.
Il soutient la thèse selon laquelle H. Arendt développe une double théorie de la liberté : la liberté de penser et la liberté politique. Irréductible à une instrumentalisation de la pensée et à une identification de la liberté d'agir à la domination, la liberté arendtienne ne consiste pas seulement à penser en termes politiques et à fonder un corps politique ; elle poursuit aussi des objectifs plus « modestes » : résister à l'oppression, soulever l'opinion publique, etc. Le concept de la liberté est en quelque sorte la matrice du politique chez H.
Arendt. L'activité de penser est libre dans la mesure où elle se distingue du processus réflexif qui conduit à la connaissance, tandis que la liberté politique émerge des expériences anciennes et modernes dans lesquelles le pouvoir réfute la domination. De la théorie politique de H. Arendt se dégage en dernier ressort la question suivante : la liberté des Modernes est-elle politique ?
Il soutient la thèse selon laquelle H. Arendt développe une double théorie de la liberté : la liberté de penser et la liberté politique. Irréductible à une instrumentalisation de la pensée et à une identification de la liberté d'agir à la domination, la liberté arendtienne ne consiste pas seulement à penser en termes politiques et à fonder un corps politique ; elle poursuit aussi des objectifs plus « modestes » : résister à l'oppression, soulever l'opinion publique, etc. Le concept de la liberté est en quelque sorte la matrice du politique chez H.
Arendt. L'activité de penser est libre dans la mesure où elle se distingue du processus réflexif qui conduit à la connaissance, tandis que la liberté politique émerge des expériences anciennes et modernes dans lesquelles le pouvoir réfute la domination. De la théorie politique de H. Arendt se dégage en dernier ressort la question suivante : la liberté des Modernes est-elle politique ?