Haïti terre cassée.... Quinze ans dans la campagne haïtienne
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- Nombre de pages302
- FormatPDF
- ISBN2-296-31715-4
- EAN9782296317154
- Date de parution01/01/1996
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille10 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierGaston Pineau
Résumé
Une plongée dans l'Haïti des tontons macoutes, une Haïti brisée, cassée... Trois tentatives différentes d'aide au développement se soldent par un échec auquel, semble-t-il, il n'y a pas d'issue. Mais au fil des jours, au fil des pages se construit progressivement une analyse originale de l'une des brisures qui empêchent ce pays, et tant d'autres comme lui, de sortir de leur ornière, tandis que parallèlement se tissent des liens de tendresse avec un peuple de paysans pleins d'une extraordinaire vitalité.
Claire Sugier, à pied ou à mulet sur les sentiers poussiéreux, accroupie devant son brasero, assise sur des sacs de maïs au sommet des camions, au chevet des malades au fond de cases sombres, vit avec son mari et ses enfants l'absence d'eau, de médecin, de téléphone. Elle sait faire partager ici le bonheur des échanges, la saveur de la vie villageoise, la douleur des drames de la misère. Elle n'esquive pas pour autant les multiples interrogations qu'elle partage avec Jean-Bernard son mari : Pourquoi l'artisan haïtien coupe-t-il le manche de son marteau ? Pourquoi dit-il que "l'argent c'est le diable" ? Pourquoi la violence prend-elle sans cesse le pas sur la solidarité nationale tant chantée ? Les ébauches de réponse apportées ici ouvrent sur la terre haïtienne un regard nouveau, des perspectives qui peuvent aider le "volontaire" dans les contradictions de son action, mais aussi tous ceux qui s'interrogent sur l'avenir des laissés pour compte du développement.
Claire Sugier, à pied ou à mulet sur les sentiers poussiéreux, accroupie devant son brasero, assise sur des sacs de maïs au sommet des camions, au chevet des malades au fond de cases sombres, vit avec son mari et ses enfants l'absence d'eau, de médecin, de téléphone. Elle sait faire partager ici le bonheur des échanges, la saveur de la vie villageoise, la douleur des drames de la misère. Elle n'esquive pas pour autant les multiples interrogations qu'elle partage avec Jean-Bernard son mari : Pourquoi l'artisan haïtien coupe-t-il le manche de son marteau ? Pourquoi dit-il que "l'argent c'est le diable" ? Pourquoi la violence prend-elle sans cesse le pas sur la solidarité nationale tant chantée ? Les ébauches de réponse apportées ici ouvrent sur la terre haïtienne un regard nouveau, des perspectives qui peuvent aider le "volontaire" dans les contradictions de son action, mais aussi tous ceux qui s'interrogent sur l'avenir des laissés pour compte du développement.
Une plongée dans l'Haïti des tontons macoutes, une Haïti brisée, cassée... Trois tentatives différentes d'aide au développement se soldent par un échec auquel, semble-t-il, il n'y a pas d'issue. Mais au fil des jours, au fil des pages se construit progressivement une analyse originale de l'une des brisures qui empêchent ce pays, et tant d'autres comme lui, de sortir de leur ornière, tandis que parallèlement se tissent des liens de tendresse avec un peuple de paysans pleins d'une extraordinaire vitalité.
Claire Sugier, à pied ou à mulet sur les sentiers poussiéreux, accroupie devant son brasero, assise sur des sacs de maïs au sommet des camions, au chevet des malades au fond de cases sombres, vit avec son mari et ses enfants l'absence d'eau, de médecin, de téléphone. Elle sait faire partager ici le bonheur des échanges, la saveur de la vie villageoise, la douleur des drames de la misère. Elle n'esquive pas pour autant les multiples interrogations qu'elle partage avec Jean-Bernard son mari : Pourquoi l'artisan haïtien coupe-t-il le manche de son marteau ? Pourquoi dit-il que "l'argent c'est le diable" ? Pourquoi la violence prend-elle sans cesse le pas sur la solidarité nationale tant chantée ? Les ébauches de réponse apportées ici ouvrent sur la terre haïtienne un regard nouveau, des perspectives qui peuvent aider le "volontaire" dans les contradictions de son action, mais aussi tous ceux qui s'interrogent sur l'avenir des laissés pour compte du développement.
Claire Sugier, à pied ou à mulet sur les sentiers poussiéreux, accroupie devant son brasero, assise sur des sacs de maïs au sommet des camions, au chevet des malades au fond de cases sombres, vit avec son mari et ses enfants l'absence d'eau, de médecin, de téléphone. Elle sait faire partager ici le bonheur des échanges, la saveur de la vie villageoise, la douleur des drames de la misère. Elle n'esquive pas pour autant les multiples interrogations qu'elle partage avec Jean-Bernard son mari : Pourquoi l'artisan haïtien coupe-t-il le manche de son marteau ? Pourquoi dit-il que "l'argent c'est le diable" ? Pourquoi la violence prend-elle sans cesse le pas sur la solidarité nationale tant chantée ? Les ébauches de réponse apportées ici ouvrent sur la terre haïtienne un regard nouveau, des perspectives qui peuvent aider le "volontaire" dans les contradictions de son action, mais aussi tous ceux qui s'interrogent sur l'avenir des laissés pour compte du développement.