Guerre d'Algérie. L'impossible commémoration
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- Nombre de pages256
- FormatePub
- ISBN978-2-200-62051-6
- EAN9782200620516
- Date de parution10/01/2018
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurArmand Colin
Résumé
Cet ouvrage revient non pas sur la guerre d'Algérie (qu'on appelait pudiquement à l'époque "les événements"), il existe sur ce sujet une abondante littérature, mais bien sur la mémoire et les commémorations liés à ce conflit. Pourquoi cette mémoire reste-t-elle controversée jusqu'à nos jours? En raison des liens particuliers unissant la France à ce pays, département français depuis 1830? Peut-on et doit-on commémorer cette guerre?L'auteur apporte son éclairage sur la question en s'interrogeant et en nous interrogeant sur cette "impossible commémoration".
Preuve en est, le choix par le président Hollande du 19 mars, date des accords d'Evian et du cessez-le-feu, qui a fait polémique (la guerre a continué malgré ces accords et ce pendant deux ans encore). La date du 5 décembre avait aussi été avancée, celle du 25 septembre concernant aussi les Harkis. Ces commémorations officielles de la guerre d'Algérie sont selon l'auteur un excellent moyen pour comprendre le traumatisme que furent ces combats, sa mémoire enfouie et ses non-dits dans un pays aujourd'hui en quête identitaire.
Elles permettent de revenir sur le rapport entre histoire et mémoire et de mieux comprendre comment une nation se construit à travers les lectures et les perceptions de son histoire, mais aussi ses rituels commémoratifs. Tour à tour instrumentalisée ou mal perçue de la part des Français, cette mémoire est au coeur des débats actuels, comme le rappelle cet essai.
Preuve en est, le choix par le président Hollande du 19 mars, date des accords d'Evian et du cessez-le-feu, qui a fait polémique (la guerre a continué malgré ces accords et ce pendant deux ans encore). La date du 5 décembre avait aussi été avancée, celle du 25 septembre concernant aussi les Harkis. Ces commémorations officielles de la guerre d'Algérie sont selon l'auteur un excellent moyen pour comprendre le traumatisme que furent ces combats, sa mémoire enfouie et ses non-dits dans un pays aujourd'hui en quête identitaire.
Elles permettent de revenir sur le rapport entre histoire et mémoire et de mieux comprendre comment une nation se construit à travers les lectures et les perceptions de son histoire, mais aussi ses rituels commémoratifs. Tour à tour instrumentalisée ou mal perçue de la part des Français, cette mémoire est au coeur des débats actuels, comme le rappelle cet essai.
Cet ouvrage revient non pas sur la guerre d'Algérie (qu'on appelait pudiquement à l'époque "les événements"), il existe sur ce sujet une abondante littérature, mais bien sur la mémoire et les commémorations liés à ce conflit. Pourquoi cette mémoire reste-t-elle controversée jusqu'à nos jours? En raison des liens particuliers unissant la France à ce pays, département français depuis 1830? Peut-on et doit-on commémorer cette guerre?L'auteur apporte son éclairage sur la question en s'interrogeant et en nous interrogeant sur cette "impossible commémoration".
Preuve en est, le choix par le président Hollande du 19 mars, date des accords d'Evian et du cessez-le-feu, qui a fait polémique (la guerre a continué malgré ces accords et ce pendant deux ans encore). La date du 5 décembre avait aussi été avancée, celle du 25 septembre concernant aussi les Harkis. Ces commémorations officielles de la guerre d'Algérie sont selon l'auteur un excellent moyen pour comprendre le traumatisme que furent ces combats, sa mémoire enfouie et ses non-dits dans un pays aujourd'hui en quête identitaire.
Elles permettent de revenir sur le rapport entre histoire et mémoire et de mieux comprendre comment une nation se construit à travers les lectures et les perceptions de son histoire, mais aussi ses rituels commémoratifs. Tour à tour instrumentalisée ou mal perçue de la part des Français, cette mémoire est au coeur des débats actuels, comme le rappelle cet essai.
Preuve en est, le choix par le président Hollande du 19 mars, date des accords d'Evian et du cessez-le-feu, qui a fait polémique (la guerre a continué malgré ces accords et ce pendant deux ans encore). La date du 5 décembre avait aussi été avancée, celle du 25 septembre concernant aussi les Harkis. Ces commémorations officielles de la guerre d'Algérie sont selon l'auteur un excellent moyen pour comprendre le traumatisme que furent ces combats, sa mémoire enfouie et ses non-dits dans un pays aujourd'hui en quête identitaire.
Elles permettent de revenir sur le rapport entre histoire et mémoire et de mieux comprendre comment une nation se construit à travers les lectures et les perceptions de son histoire, mais aussi ses rituels commémoratifs. Tour à tour instrumentalisée ou mal perçue de la part des Français, cette mémoire est au coeur des débats actuels, comme le rappelle cet essai.