Guadeloupe. Les propriétaires d'esclaves en 1848

Par : Oruno D. Lara, Inez Lara

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  • Nombre de pages270
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-25745-0
  • EAN9782296257450
  • Date de parution01/06/2010
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille6 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Le 25 février 1848, les onze membres du Gouvernement provisoire prennent la décision, à l'Hotel de Ville de Paris, d'abolir l'esclavage. Le décret, finalement signé le 27 avril, libère 87 000 esclaves en Guadeloupe. Les maîtres, eux, que deviennent-ils et, surtout, qui sont-ils ? Une loi - des 19 janvier, 23 et 30 avril 1849 - a alloué aux " colons dépossédés " une indemnité pour compenser l'affranchissement des esclaves.
Une histoire connue, direz-vous. Sauf qu'on passe trop souvent sous silence que ces colons, propriétaires d'hommes, de femmes et d'enfants, ont continué à vivre confortablement en Guadeloupe. Ils maintiennent et renforcent leur domination économique en bénéficiant des avantages octroyés par la création des banques coloniales. Certains d'entre eux quittent l'archipel pour vivre de leurs rentes, la majorité investit dans les usines centrales et la production sucrière, plus tard dans la banane et les grandes surfaces commerciales.
Le 25 février 1848, les onze membres du Gouvernement provisoire prennent la décision, à l'Hotel de Ville de Paris, d'abolir l'esclavage. Le décret, finalement signé le 27 avril, libère 87 000 esclaves en Guadeloupe. Les maîtres, eux, que deviennent-ils et, surtout, qui sont-ils ? Une loi - des 19 janvier, 23 et 30 avril 1849 - a alloué aux " colons dépossédés " une indemnité pour compenser l'affranchissement des esclaves.
Une histoire connue, direz-vous. Sauf qu'on passe trop souvent sous silence que ces colons, propriétaires d'hommes, de femmes et d'enfants, ont continué à vivre confortablement en Guadeloupe. Ils maintiennent et renforcent leur domination économique en bénéficiant des avantages octroyés par la création des banques coloniales. Certains d'entre eux quittent l'archipel pour vivre de leurs rentes, la majorité investit dans les usines centrales et la production sucrière, plus tard dans la banane et les grandes surfaces commerciales.