Grand traité des cucurbitacées. Melon, concombre, gourde, courge et cie, du petit cucamelon au gros potiron - avec 124 recettes
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- Nombre de pages212
- FormatPDF
- ISBN978-2-36402-211-9
- EAN9782364022119
- Date de parution24/09/2024
- Protection num.Adobe DRM
- Taille31 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurSureau (Editions Le)
Résumé
Cu-cur-bi-ta-cées, mot complexe qui fait rire les enfants, bien souvent assimilé trop simplement à. courges, potirons, citrouille, quand il n'est pas limité aux seuls premiers éléments de cette trilogie. Pourtant, la famille des cucurbitacées est bien plus riche que cela : certes, les anciens fruits consommés chez nous depuis des siècles - concombres, melons, pastèques, courgettes, gourdes, calebasses et coloquintes - sont bien connus, ceux arrivés plus récemment sur nos étals le sont beaucoup moins - christophine, courge cireuse, pâtisson, kiwano, etc.
- la liste des noms vernaculaires est longue !Devant l'impossibilité de présenter toutes les cucurbitacées (plus de 10 000 variétés !), ce Grand traité aborde essentiellement celles qui sont utilisées à des fins culinaires ou artistiques. Il retrace leur incroyable diversité, leur histoire, parfois très ancienne, depuis leur pays d'origine (souvent oublié) jusqu'à nos assiettes où goût et santé ne se font aucune concurrence, au contraire.
Ainsi familiarisé avec les cucurbitacées, le lecteur ne confondra plus concombres et cornichons, gourdes et courges, citrouilles et potirons. et découvrira sans doute les deux seules cucurbitacées anciennes de chez nous, le « navet du diable » et le « concombre d'âne », toxiques mais communes dans nos sous-bois. Certaines cucurbitacées - les gourdes à coque dure - sont souvent devenues des récipients culinaires, des éléments de décoration ou des instruments de musique, des plus simples aux plus sophistiqués.
D'autres sont l'objet de véritables chefs-d'ouvre éphémères, où le sculpteur joue avec l'étonnante palette de formes et de couleurs de leur peau et de leur chair, une utilisation moins connue qui enrichit elle aussi l'univers inattendu des cucurbitacées. Un univers haut en couleurs que les aquarelles de Mireille Gayet reflètent à merveille, avec beaucoup de subtilité. L'auteure, dont plusieurs ouvrages ont été primés, met ici, au service des cucurbitacées, ses compétences en recherche scientifique et dans le domaine culinaire.
- la liste des noms vernaculaires est longue !Devant l'impossibilité de présenter toutes les cucurbitacées (plus de 10 000 variétés !), ce Grand traité aborde essentiellement celles qui sont utilisées à des fins culinaires ou artistiques. Il retrace leur incroyable diversité, leur histoire, parfois très ancienne, depuis leur pays d'origine (souvent oublié) jusqu'à nos assiettes où goût et santé ne se font aucune concurrence, au contraire.
Ainsi familiarisé avec les cucurbitacées, le lecteur ne confondra plus concombres et cornichons, gourdes et courges, citrouilles et potirons. et découvrira sans doute les deux seules cucurbitacées anciennes de chez nous, le « navet du diable » et le « concombre d'âne », toxiques mais communes dans nos sous-bois. Certaines cucurbitacées - les gourdes à coque dure - sont souvent devenues des récipients culinaires, des éléments de décoration ou des instruments de musique, des plus simples aux plus sophistiqués.
D'autres sont l'objet de véritables chefs-d'ouvre éphémères, où le sculpteur joue avec l'étonnante palette de formes et de couleurs de leur peau et de leur chair, une utilisation moins connue qui enrichit elle aussi l'univers inattendu des cucurbitacées. Un univers haut en couleurs que les aquarelles de Mireille Gayet reflètent à merveille, avec beaucoup de subtilité. L'auteure, dont plusieurs ouvrages ont été primés, met ici, au service des cucurbitacées, ses compétences en recherche scientifique et dans le domaine culinaire.
Cu-cur-bi-ta-cées, mot complexe qui fait rire les enfants, bien souvent assimilé trop simplement à. courges, potirons, citrouille, quand il n'est pas limité aux seuls premiers éléments de cette trilogie. Pourtant, la famille des cucurbitacées est bien plus riche que cela : certes, les anciens fruits consommés chez nous depuis des siècles - concombres, melons, pastèques, courgettes, gourdes, calebasses et coloquintes - sont bien connus, ceux arrivés plus récemment sur nos étals le sont beaucoup moins - christophine, courge cireuse, pâtisson, kiwano, etc.
- la liste des noms vernaculaires est longue !Devant l'impossibilité de présenter toutes les cucurbitacées (plus de 10 000 variétés !), ce Grand traité aborde essentiellement celles qui sont utilisées à des fins culinaires ou artistiques. Il retrace leur incroyable diversité, leur histoire, parfois très ancienne, depuis leur pays d'origine (souvent oublié) jusqu'à nos assiettes où goût et santé ne se font aucune concurrence, au contraire.
Ainsi familiarisé avec les cucurbitacées, le lecteur ne confondra plus concombres et cornichons, gourdes et courges, citrouilles et potirons. et découvrira sans doute les deux seules cucurbitacées anciennes de chez nous, le « navet du diable » et le « concombre d'âne », toxiques mais communes dans nos sous-bois. Certaines cucurbitacées - les gourdes à coque dure - sont souvent devenues des récipients culinaires, des éléments de décoration ou des instruments de musique, des plus simples aux plus sophistiqués.
D'autres sont l'objet de véritables chefs-d'ouvre éphémères, où le sculpteur joue avec l'étonnante palette de formes et de couleurs de leur peau et de leur chair, une utilisation moins connue qui enrichit elle aussi l'univers inattendu des cucurbitacées. Un univers haut en couleurs que les aquarelles de Mireille Gayet reflètent à merveille, avec beaucoup de subtilité. L'auteure, dont plusieurs ouvrages ont été primés, met ici, au service des cucurbitacées, ses compétences en recherche scientifique et dans le domaine culinaire.
- la liste des noms vernaculaires est longue !Devant l'impossibilité de présenter toutes les cucurbitacées (plus de 10 000 variétés !), ce Grand traité aborde essentiellement celles qui sont utilisées à des fins culinaires ou artistiques. Il retrace leur incroyable diversité, leur histoire, parfois très ancienne, depuis leur pays d'origine (souvent oublié) jusqu'à nos assiettes où goût et santé ne se font aucune concurrence, au contraire.
Ainsi familiarisé avec les cucurbitacées, le lecteur ne confondra plus concombres et cornichons, gourdes et courges, citrouilles et potirons. et découvrira sans doute les deux seules cucurbitacées anciennes de chez nous, le « navet du diable » et le « concombre d'âne », toxiques mais communes dans nos sous-bois. Certaines cucurbitacées - les gourdes à coque dure - sont souvent devenues des récipients culinaires, des éléments de décoration ou des instruments de musique, des plus simples aux plus sophistiqués.
D'autres sont l'objet de véritables chefs-d'ouvre éphémères, où le sculpteur joue avec l'étonnante palette de formes et de couleurs de leur peau et de leur chair, une utilisation moins connue qui enrichit elle aussi l'univers inattendu des cucurbitacées. Un univers haut en couleurs que les aquarelles de Mireille Gayet reflètent à merveille, avec beaucoup de subtilité. L'auteure, dont plusieurs ouvrages ont été primés, met ici, au service des cucurbitacées, ses compétences en recherche scientifique et dans le domaine culinaire.