Grand Quartier Général. Tome 2, Le quotidien d'un état-major de guerre

Par : Jean de Pierrefeu

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  • Nombre de pages264
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-17100-8
  • EAN9782296171008
  • Date de parution15/04/2007
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille122 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Dans ce récit, l'auteur, jeune officier, décrit et raconte le quotidien d'un état-major de guerre. Il défile devant notre imagination au point de nous les rendre présentes, la vie et les contraintes auxquelles font face ces professionnels de la guerre : les militaires. Ils sont confrontés à leur humanité faite de grandeur d'âme, de fragilité, de limites, de peur face à ce grand ogre qui broie, brise et anéantit des projets de toute une génération d'hommes et de femmes qui aspiraient eux aussi, et de tout leur être, à vivre pleinement le bonheur auquel chaque homme a droit.
Mais face à la guerre, le temps, les vies s'arrêtent, broyées qu'elles sont, voire foudroyées par la violence à nulle autre pareille de la guerre. Portées au récit, ces souffrances sont expliquées par un effort d'explicitation de l'auteur qui essaie de trouver un sens à ce qui, d'emblée, semble absurde. Le récit d'un jeune officier qui campe des personnalités, des portraits, des itinéraires de vie qui résistent à la bêtise humaine.
Même au cœur du non-sens, l'esprit humain fait œuvre d'humanisation pour ouvrir un horizon de sens pour ces lecteurs que nous sommes. Par ailleurs, indirectement, le narrateur nous fait percevoir la grandeur du métier des armes, la noblesse d'un engagement, celui de défendre la patrie, un patrimoine, une civilisation ; et par là mobiliser les forces de vie pour résister à la violence de la mort. En cela, Jean de Pierrefeu a jeté une bouteille à la mer pour nous transmettre un message d'espérance et de foi en l'être humain.
Dans ce récit, l'auteur, jeune officier, décrit et raconte le quotidien d'un état-major de guerre. Il défile devant notre imagination au point de nous les rendre présentes, la vie et les contraintes auxquelles font face ces professionnels de la guerre : les militaires. Ils sont confrontés à leur humanité faite de grandeur d'âme, de fragilité, de limites, de peur face à ce grand ogre qui broie, brise et anéantit des projets de toute une génération d'hommes et de femmes qui aspiraient eux aussi, et de tout leur être, à vivre pleinement le bonheur auquel chaque homme a droit.
Mais face à la guerre, le temps, les vies s'arrêtent, broyées qu'elles sont, voire foudroyées par la violence à nulle autre pareille de la guerre. Portées au récit, ces souffrances sont expliquées par un effort d'explicitation de l'auteur qui essaie de trouver un sens à ce qui, d'emblée, semble absurde. Le récit d'un jeune officier qui campe des personnalités, des portraits, des itinéraires de vie qui résistent à la bêtise humaine.
Même au cœur du non-sens, l'esprit humain fait œuvre d'humanisation pour ouvrir un horizon de sens pour ces lecteurs que nous sommes. Par ailleurs, indirectement, le narrateur nous fait percevoir la grandeur du métier des armes, la noblesse d'un engagement, celui de défendre la patrie, un patrimoine, une civilisation ; et par là mobiliser les forces de vie pour résister à la violence de la mort. En cela, Jean de Pierrefeu a jeté une bouteille à la mer pour nous transmettre un message d'espérance et de foi en l'être humain.