Gouverneurs de la rosée de Jacques Roumain. La pérennité d'un chef-d'oeuvre
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- Nombre de pages142
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-44734-9
- EAN9782296447349
- Date de parution01/11/2010
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Beaucoup a été écrit sur Gouverneurs de la rosée de Jacques Roumain : à sa gloire et à sa charge. Cet ouvrage, le traitant comme un " classique ", souhaite le faire lire en tant que tel puisque ses effets de lecture continuent à produire rêve, inquiétude et questionnement sur Haïti. En essayant de pister le pourquoi de la magie qu'a exercée et qu'exerce ce roman de lutte et d'espoir, il souhaite donner quelques clefs pour décupler le plaisir que donne le texte, une oeuvre littéraire ayant les moyens de faire advenir dans notre imaginaire des figures et des voix inaudibles jusque-là.
Admirateurs ou détracteurs de Gouverneurs de la rosée peuvent s'accorder sur ce point : le roman a été et reste l'un de ceux qui inscrit durablement dans la sensibilité du lecteur la terre d'Haïti, la symbolique de l'eau et la paysannerie haïtienne, ces " habitants, les nègres-pieds-à-terre, méprisés et maltraités " selon les mots de Laurélien Laurore. On peut avancer, à la suite de ce qu'affirmait Dany Laferrière en juin 2007 : " Chaque pays a son Roumain, c'est-à-dire un écrivain qui résume en quelque sorte les rêves, les élans et les échecs de sa société.
Ce n'est pas forcément le meilleur écrivain du pays, mais c'est celui en qui tout le monde se reconnaît, (...) quelqu'un qui n'hésite pas à asséner ses quatre vérités à ses compatriotes. Pour le Québec, je pense à Miron. Pour Haïti, c'est Roumain ".
Admirateurs ou détracteurs de Gouverneurs de la rosée peuvent s'accorder sur ce point : le roman a été et reste l'un de ceux qui inscrit durablement dans la sensibilité du lecteur la terre d'Haïti, la symbolique de l'eau et la paysannerie haïtienne, ces " habitants, les nègres-pieds-à-terre, méprisés et maltraités " selon les mots de Laurélien Laurore. On peut avancer, à la suite de ce qu'affirmait Dany Laferrière en juin 2007 : " Chaque pays a son Roumain, c'est-à-dire un écrivain qui résume en quelque sorte les rêves, les élans et les échecs de sa société.
Ce n'est pas forcément le meilleur écrivain du pays, mais c'est celui en qui tout le monde se reconnaît, (...) quelqu'un qui n'hésite pas à asséner ses quatre vérités à ses compatriotes. Pour le Québec, je pense à Miron. Pour Haïti, c'est Roumain ".
Beaucoup a été écrit sur Gouverneurs de la rosée de Jacques Roumain : à sa gloire et à sa charge. Cet ouvrage, le traitant comme un " classique ", souhaite le faire lire en tant que tel puisque ses effets de lecture continuent à produire rêve, inquiétude et questionnement sur Haïti. En essayant de pister le pourquoi de la magie qu'a exercée et qu'exerce ce roman de lutte et d'espoir, il souhaite donner quelques clefs pour décupler le plaisir que donne le texte, une oeuvre littéraire ayant les moyens de faire advenir dans notre imaginaire des figures et des voix inaudibles jusque-là.
Admirateurs ou détracteurs de Gouverneurs de la rosée peuvent s'accorder sur ce point : le roman a été et reste l'un de ceux qui inscrit durablement dans la sensibilité du lecteur la terre d'Haïti, la symbolique de l'eau et la paysannerie haïtienne, ces " habitants, les nègres-pieds-à-terre, méprisés et maltraités " selon les mots de Laurélien Laurore. On peut avancer, à la suite de ce qu'affirmait Dany Laferrière en juin 2007 : " Chaque pays a son Roumain, c'est-à-dire un écrivain qui résume en quelque sorte les rêves, les élans et les échecs de sa société.
Ce n'est pas forcément le meilleur écrivain du pays, mais c'est celui en qui tout le monde se reconnaît, (...) quelqu'un qui n'hésite pas à asséner ses quatre vérités à ses compatriotes. Pour le Québec, je pense à Miron. Pour Haïti, c'est Roumain ".
Admirateurs ou détracteurs de Gouverneurs de la rosée peuvent s'accorder sur ce point : le roman a été et reste l'un de ceux qui inscrit durablement dans la sensibilité du lecteur la terre d'Haïti, la symbolique de l'eau et la paysannerie haïtienne, ces " habitants, les nègres-pieds-à-terre, méprisés et maltraités " selon les mots de Laurélien Laurore. On peut avancer, à la suite de ce qu'affirmait Dany Laferrière en juin 2007 : " Chaque pays a son Roumain, c'est-à-dire un écrivain qui résume en quelque sorte les rêves, les élans et les échecs de sa société.
Ce n'est pas forcément le meilleur écrivain du pays, mais c'est celui en qui tout le monde se reconnaît, (...) quelqu'un qui n'hésite pas à asséner ses quatre vérités à ses compatriotes. Pour le Québec, je pense à Miron. Pour Haïti, c'est Roumain ".