Glamour
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- Nombre de pages96
- FormatPDF
- ISBN2-402-36041-0
- EAN9782402360418
- Date de parution01/01/1978
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille13 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Chri...
Résumé
Séductions de l'enfant dans la campagne de Dordogne, misère des chiffonniers de la banlieue, la mort de la mère, le corps dont il faut sortir. Les mots arriveront-ils à en dire la souffrance inconnue et partagée, arriveront-ils à être une langue ? à force de respiration sur eux-mêmes, de percussions sur la matière brute des barrages... Si terrestre, si terrestre, ici !
Glamour commence, toujours, avec une chanson de charme, un refrain absurde, devient terrible malgré l'auteur, et se termine en cris, en éclats.
Tu avances à tâtons derrière toi. Quelque chose à dire sans les moyens adaptés. Alors il la met en veilleuse. La musique arrache encore des mots. Nommer c'est gommer pour les gueux. Il est question quelque part de l'amour. Mais le récit ne se termine pas. Une histoire s'enfonce jusqu'à ce que se joue une contre-histoire. Enterrer, déterrer. A quoi servirait une histoire qui n'essaierait pas de rencontrer ce qu'il y a d'horrible, et de savoir si la culture le connaît ? Le souffle qui cherche reprend les phrases, les chairs qui se détressent, selon les fastes rapides des rimes, exagérées, qui plient et déplient.
Les pages couvertes sont une longue, si longue explication. Une roulotte sur les chemins NASA de la lune, tirée entre chiens et loups... « J'aime que la langue soit magnifique, c'est ce qui me perdra. » C. M.
Tu avances à tâtons derrière toi. Quelque chose à dire sans les moyens adaptés. Alors il la met en veilleuse. La musique arrache encore des mots. Nommer c'est gommer pour les gueux. Il est question quelque part de l'amour. Mais le récit ne se termine pas. Une histoire s'enfonce jusqu'à ce que se joue une contre-histoire. Enterrer, déterrer. A quoi servirait une histoire qui n'essaierait pas de rencontrer ce qu'il y a d'horrible, et de savoir si la culture le connaît ? Le souffle qui cherche reprend les phrases, les chairs qui se détressent, selon les fastes rapides des rimes, exagérées, qui plient et déplient.
Les pages couvertes sont une longue, si longue explication. Une roulotte sur les chemins NASA de la lune, tirée entre chiens et loups... « J'aime que la langue soit magnifique, c'est ce qui me perdra. » C. M.
Séductions de l'enfant dans la campagne de Dordogne, misère des chiffonniers de la banlieue, la mort de la mère, le corps dont il faut sortir. Les mots arriveront-ils à en dire la souffrance inconnue et partagée, arriveront-ils à être une langue ? à force de respiration sur eux-mêmes, de percussions sur la matière brute des barrages... Si terrestre, si terrestre, ici !
Glamour commence, toujours, avec une chanson de charme, un refrain absurde, devient terrible malgré l'auteur, et se termine en cris, en éclats.
Tu avances à tâtons derrière toi. Quelque chose à dire sans les moyens adaptés. Alors il la met en veilleuse. La musique arrache encore des mots. Nommer c'est gommer pour les gueux. Il est question quelque part de l'amour. Mais le récit ne se termine pas. Une histoire s'enfonce jusqu'à ce que se joue une contre-histoire. Enterrer, déterrer. A quoi servirait une histoire qui n'essaierait pas de rencontrer ce qu'il y a d'horrible, et de savoir si la culture le connaît ? Le souffle qui cherche reprend les phrases, les chairs qui se détressent, selon les fastes rapides des rimes, exagérées, qui plient et déplient.
Les pages couvertes sont une longue, si longue explication. Une roulotte sur les chemins NASA de la lune, tirée entre chiens et loups... « J'aime que la langue soit magnifique, c'est ce qui me perdra. » C. M.
Tu avances à tâtons derrière toi. Quelque chose à dire sans les moyens adaptés. Alors il la met en veilleuse. La musique arrache encore des mots. Nommer c'est gommer pour les gueux. Il est question quelque part de l'amour. Mais le récit ne se termine pas. Une histoire s'enfonce jusqu'à ce que se joue une contre-histoire. Enterrer, déterrer. A quoi servirait une histoire qui n'essaierait pas de rencontrer ce qu'il y a d'horrible, et de savoir si la culture le connaît ? Le souffle qui cherche reprend les phrases, les chairs qui se détressent, selon les fastes rapides des rimes, exagérées, qui plient et déplient.
Les pages couvertes sont une longue, si longue explication. Une roulotte sur les chemins NASA de la lune, tirée entre chiens et loups... « J'aime que la langue soit magnifique, c'est ce qui me perdra. » C. M.