Gide Familier
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- Nombre de pages214
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7297-1310-2
- EAN9782729713102
- Date de parution29/08/2022
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPresses universitaires de Lyon
Résumé
Voici un livre de bonne foi, témoignage d'une lucidité et d'une franchise sans équivalent sur les dernières années d'André Gide. Un Gide père, beau-père et grand-père, - et l'auteur de Thésée, l'écrivain qui n'était plus tout à fait le « contemporain capital » de l'entre-deux-guerres, mais demeurait une « référence » considérable et suscitait encore, jusqu'à sa mort et par-delà, autant d'amours fascinés que de haines sans merci.
Jean Lambert (1914-1999) ne cache rien de ce que son intimité avec Gide lui a fait connaître ou permis de deviner. « Une fois de plus, mon cher Jean, lui écrivit Jean Schlumberger, je retrouve cette netteté d'écriture, cette aisance soignée et cet humour de bon ton qui apparaît dans tout ce que vous écrivez. Vous aviez cette fois à cheminer entre des buissons riches en roses et en épines, où il fallait beaucoup de tact pour ne jamais s'accrocher ».
Et Marcel Jouhandeau : « J'admire comme vous avez su rendre toutes les nuances du sentiment que vous a inspiré cet homme extraordinaire. Pas une seconde vous n'avez cessé d'être juste. On ne sent dans vos propos ni complaisance ni flatterie, pas plus envers celui dont vous parlez qu'envers vous-même. Il fallait avoir le cour bien placé pour se maintenir dans la ligne que vous avez suivie. Elle vous fait honneur autant qu'à celui que vous faites revivre à nos yeux...
»
Jean Lambert (1914-1999) ne cache rien de ce que son intimité avec Gide lui a fait connaître ou permis de deviner. « Une fois de plus, mon cher Jean, lui écrivit Jean Schlumberger, je retrouve cette netteté d'écriture, cette aisance soignée et cet humour de bon ton qui apparaît dans tout ce que vous écrivez. Vous aviez cette fois à cheminer entre des buissons riches en roses et en épines, où il fallait beaucoup de tact pour ne jamais s'accrocher ».
Et Marcel Jouhandeau : « J'admire comme vous avez su rendre toutes les nuances du sentiment que vous a inspiré cet homme extraordinaire. Pas une seconde vous n'avez cessé d'être juste. On ne sent dans vos propos ni complaisance ni flatterie, pas plus envers celui dont vous parlez qu'envers vous-même. Il fallait avoir le cour bien placé pour se maintenir dans la ligne que vous avez suivie. Elle vous fait honneur autant qu'à celui que vous faites revivre à nos yeux...
»
Voici un livre de bonne foi, témoignage d'une lucidité et d'une franchise sans équivalent sur les dernières années d'André Gide. Un Gide père, beau-père et grand-père, - et l'auteur de Thésée, l'écrivain qui n'était plus tout à fait le « contemporain capital » de l'entre-deux-guerres, mais demeurait une « référence » considérable et suscitait encore, jusqu'à sa mort et par-delà, autant d'amours fascinés que de haines sans merci.
Jean Lambert (1914-1999) ne cache rien de ce que son intimité avec Gide lui a fait connaître ou permis de deviner. « Une fois de plus, mon cher Jean, lui écrivit Jean Schlumberger, je retrouve cette netteté d'écriture, cette aisance soignée et cet humour de bon ton qui apparaît dans tout ce que vous écrivez. Vous aviez cette fois à cheminer entre des buissons riches en roses et en épines, où il fallait beaucoup de tact pour ne jamais s'accrocher ».
Et Marcel Jouhandeau : « J'admire comme vous avez su rendre toutes les nuances du sentiment que vous a inspiré cet homme extraordinaire. Pas une seconde vous n'avez cessé d'être juste. On ne sent dans vos propos ni complaisance ni flatterie, pas plus envers celui dont vous parlez qu'envers vous-même. Il fallait avoir le cour bien placé pour se maintenir dans la ligne que vous avez suivie. Elle vous fait honneur autant qu'à celui que vous faites revivre à nos yeux...
»
Jean Lambert (1914-1999) ne cache rien de ce que son intimité avec Gide lui a fait connaître ou permis de deviner. « Une fois de plus, mon cher Jean, lui écrivit Jean Schlumberger, je retrouve cette netteté d'écriture, cette aisance soignée et cet humour de bon ton qui apparaît dans tout ce que vous écrivez. Vous aviez cette fois à cheminer entre des buissons riches en roses et en épines, où il fallait beaucoup de tact pour ne jamais s'accrocher ».
Et Marcel Jouhandeau : « J'admire comme vous avez su rendre toutes les nuances du sentiment que vous a inspiré cet homme extraordinaire. Pas une seconde vous n'avez cessé d'être juste. On ne sent dans vos propos ni complaisance ni flatterie, pas plus envers celui dont vous parlez qu'envers vous-même. Il fallait avoir le cour bien placé pour se maintenir dans la ligne que vous avez suivie. Elle vous fait honneur autant qu'à celui que vous faites revivre à nos yeux...
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