Georges Brown. La confédération et la dualité nationale
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- Nombre de pages130
- FormatPDF
- ISBN978-2-7637-3127-8
- EAN9782763731278
- Date de parution02/08/2017
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille727 Ko
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurPUL Diffusion
Résumé
Les fondements du fédéralisme canadien font habituellement référence à John A. Macdonald et à George-Etienne Cartier. Le nom de George Brown est pour sa part inconnu. Cet oubli est injuste dans la mesure où ce fut grâce à George Brown que le processus qui a finalement mené à la Confédération a pu être enclenché officiellement le 19 mai 1864. Grâce à son initiative, une grande « coalition nationale » qui venait de voir le jour constitua le point de départ de changements politiques considérables qui accouchèrent d'une solution fédérale trois ans plus tard.
Le rôle joué par George Brown au moment de la fondation du Canada va toutefois bien au-delà de son initiative qui a permis à des ennemis politiques de s'unir.
En fait, les idées qui façonnèrent l'ordre politique canadien sont grandement tributaires de ce dernier, à savoir l'établissement d'un ordre politique fondé sur la volonté de préserver l'autonomie politique des anglophones et des francophones du pays. Sans son initiative, le Canada aurait pu prendre une forme bien différente de celle que l'on connaît aujourd'hui. Cette biographie intellectuelle de George Brown permet de remettre en question l'idée selon laquelle les pères de la Confédération n'étaient pas, à l'instar de leurs prédécesseurs américains de 1787, de profonds penseurs citant Locke, Hobbes ou Montesquieu, mais plutôt de simples avocats et des hommes d'affaires sans envergure.
Au contraire, l'analyse de la pensée de ce père fondateur qui avait une vision bien particulière du bien commun et de l'organisation de la société politique canadienne démontre qu'il n'en est rien.
En fait, les idées qui façonnèrent l'ordre politique canadien sont grandement tributaires de ce dernier, à savoir l'établissement d'un ordre politique fondé sur la volonté de préserver l'autonomie politique des anglophones et des francophones du pays. Sans son initiative, le Canada aurait pu prendre une forme bien différente de celle que l'on connaît aujourd'hui. Cette biographie intellectuelle de George Brown permet de remettre en question l'idée selon laquelle les pères de la Confédération n'étaient pas, à l'instar de leurs prédécesseurs américains de 1787, de profonds penseurs citant Locke, Hobbes ou Montesquieu, mais plutôt de simples avocats et des hommes d'affaires sans envergure.
Au contraire, l'analyse de la pensée de ce père fondateur qui avait une vision bien particulière du bien commun et de l'organisation de la société politique canadienne démontre qu'il n'en est rien.
Les fondements du fédéralisme canadien font habituellement référence à John A. Macdonald et à George-Etienne Cartier. Le nom de George Brown est pour sa part inconnu. Cet oubli est injuste dans la mesure où ce fut grâce à George Brown que le processus qui a finalement mené à la Confédération a pu être enclenché officiellement le 19 mai 1864. Grâce à son initiative, une grande « coalition nationale » qui venait de voir le jour constitua le point de départ de changements politiques considérables qui accouchèrent d'une solution fédérale trois ans plus tard.
Le rôle joué par George Brown au moment de la fondation du Canada va toutefois bien au-delà de son initiative qui a permis à des ennemis politiques de s'unir.
En fait, les idées qui façonnèrent l'ordre politique canadien sont grandement tributaires de ce dernier, à savoir l'établissement d'un ordre politique fondé sur la volonté de préserver l'autonomie politique des anglophones et des francophones du pays. Sans son initiative, le Canada aurait pu prendre une forme bien différente de celle que l'on connaît aujourd'hui. Cette biographie intellectuelle de George Brown permet de remettre en question l'idée selon laquelle les pères de la Confédération n'étaient pas, à l'instar de leurs prédécesseurs américains de 1787, de profonds penseurs citant Locke, Hobbes ou Montesquieu, mais plutôt de simples avocats et des hommes d'affaires sans envergure.
Au contraire, l'analyse de la pensée de ce père fondateur qui avait une vision bien particulière du bien commun et de l'organisation de la société politique canadienne démontre qu'il n'en est rien.
En fait, les idées qui façonnèrent l'ordre politique canadien sont grandement tributaires de ce dernier, à savoir l'établissement d'un ordre politique fondé sur la volonté de préserver l'autonomie politique des anglophones et des francophones du pays. Sans son initiative, le Canada aurait pu prendre une forme bien différente de celle que l'on connaît aujourd'hui. Cette biographie intellectuelle de George Brown permet de remettre en question l'idée selon laquelle les pères de la Confédération n'étaient pas, à l'instar de leurs prédécesseurs américains de 1787, de profonds penseurs citant Locke, Hobbes ou Montesquieu, mais plutôt de simples avocats et des hommes d'affaires sans envergure.
Au contraire, l'analyse de la pensée de ce père fondateur qui avait une vision bien particulière du bien commun et de l'organisation de la société politique canadienne démontre qu'il n'en est rien.