Géopolitique de la violence des jeunes dans la ville de Kisangani

Par : Théophile Yuma Kalulu

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages100
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-46312-7
  • EAN9782296463127
  • Date de parution01/05/2011
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille6 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierJean Otemikongo Mandefu
  • PostfacierMwayila Tshiyembe

Résumé

La violence urbaine des jeunes n'est plus une exception occidentale. Dorénavant, expression de la dégradation générale des conditions de l'Etat providence dans les villes, elle est devenue structurelle dans des métropoles régionales africaines, notamment dans deux communes de Kabondo et de Mangobo, à Kisangani, chef-lieu de la Province Orientale (RDC). Aggravée par des spécificités locales, à savoir le chômage de masse, l'illettrisme, l'embrigadement par les rébellions successives depuis 1960, l'exode rural, la régulation déficiente de l'Etat et du pouvoir local ravagés par la paupérisation, l'effondrement de l'appareil administratif et judiciaire, la violence urbaine des jeunes débouche sur des expédients tels que la consommation des stupéfiants, des drogues diverses, la criminalité, zones de non-droit, etc., où règne la loi de Talion " Oeil pour oeil, dent pour dent ", au grand dam du pouvoir municipal et des habitants pris en otage.
Tels sont les ingrédients de la sociologie de la violence urbaine, ici et ailleurs.
La violence urbaine des jeunes n'est plus une exception occidentale. Dorénavant, expression de la dégradation générale des conditions de l'Etat providence dans les villes, elle est devenue structurelle dans des métropoles régionales africaines, notamment dans deux communes de Kabondo et de Mangobo, à Kisangani, chef-lieu de la Province Orientale (RDC). Aggravée par des spécificités locales, à savoir le chômage de masse, l'illettrisme, l'embrigadement par les rébellions successives depuis 1960, l'exode rural, la régulation déficiente de l'Etat et du pouvoir local ravagés par la paupérisation, l'effondrement de l'appareil administratif et judiciaire, la violence urbaine des jeunes débouche sur des expédients tels que la consommation des stupéfiants, des drogues diverses, la criminalité, zones de non-droit, etc., où règne la loi de Talion " Oeil pour oeil, dent pour dent ", au grand dam du pouvoir municipal et des habitants pris en otage.
Tels sont les ingrédients de la sociologie de la violence urbaine, ici et ailleurs.