Géographie et Cultures N° 69
Protéger la nature, est-ce protéger la société ?
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- Nombre de pages146
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-23606-6
- EAN9782296236066
- Date de parution01/10/2009
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille5 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Pourquoi s'intéresser à cette question "Protéger la nature, est-ce protéger la société ?" alors que l'idée de protection de la nature semble faire l'objet d'une approbation largement consensuelle ? Nos sociétés semblent s'être habituées d'une part à ces aires protégées aux statuts très variés et d'autre part à une nature du quotidien sans cesse aménagée par l'homme. Bien qu'il suscite d'importants conflits d'usage, ce schéma ne s'intègre-t-il pas dans un ordre social parce qu'il lui convient ? Autrement dit, protéger la nature, n'est-ce pas aussi protéger des intérêts en place, un ou des ordres établis ? N'y a-t-il pas des initiatives de préservation qui s'inscrivent en contrepoint du schéma traditionnel ? Au moment où l'avenir de la biosphère fait l'objet de nombreux débats, les changements intervenus ces dernières années dans les politiques de protection de la nature n'invalident pas l'intérêt de ces questions, bien au contraire.
Pourquoi s'intéresser à cette question "Protéger la nature, est-ce protéger la société ?" alors que l'idée de protection de la nature semble faire l'objet d'une approbation largement consensuelle ? Nos sociétés semblent s'être habituées d'une part à ces aires protégées aux statuts très variés et d'autre part à une nature du quotidien sans cesse aménagée par l'homme. Bien qu'il suscite d'importants conflits d'usage, ce schéma ne s'intègre-t-il pas dans un ordre social parce qu'il lui convient ? Autrement dit, protéger la nature, n'est-ce pas aussi protéger des intérêts en place, un ou des ordres établis ? N'y a-t-il pas des initiatives de préservation qui s'inscrivent en contrepoint du schéma traditionnel ? Au moment où l'avenir de la biosphère fait l'objet de nombreux débats, les changements intervenus ces dernières années dans les politiques de protection de la nature n'invalident pas l'intérêt de ces questions, bien au contraire.