Genèse de l'Occident chrétien
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- Nombre de pages426
- FormatPDF
- ISBN2-296-27606-7
- EAN9782296276062
- Date de parution01/01/2002
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille16 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Dès le IIe siècle avant notre ère, la doctrine hébraïque des Deux Voies est constituée. Le premier christianisme apparaît sur ce terrain quand la biographie de Jésus s'ajoute à la doctrine. A la fin du IIe siècle de notre ère, le christianisme des Deux Voies est contesté dans l'évêché de Rome par un néochristianisme que l'Etat non chrétien puis chrétien contrôle au point d'en faire au IVe siècle l'idéologie de l'empire totalitaire.
Les répressions conduites sporadiquement par les autorités neutralisent les factions chrétiennes marginales en épargnant les communautés dociles. L'administration impériale, infiltrée d'éléments orientaux et chrétiens dès l'époque des Sévères, permet au néochristianisme, assise des grandes Eglises modernes, de s'imposer. La rivalité du catholicisme nord-africain persécuté et du catholicisme romain promu est à l'image du heurt de ces deux christianismes, l'un issu du midrash hébreu, l'autre coupé de ces racines.
Au Ve siècle enfin, les grands propriétaires de l'Occident européen prennent en main les évêchés et le pouvoir effectif : la nouvelle société néochrétienne soumet les populations occidentales à l'aristocratie terrienne. L'étude de ces faits, appuyée sur de nombreuses analyses textuelles, révèle une image inédite des premiers siècles chrétiens, très différente de celle que la relation historique a toujours voulu présenter.
Les répressions conduites sporadiquement par les autorités neutralisent les factions chrétiennes marginales en épargnant les communautés dociles. L'administration impériale, infiltrée d'éléments orientaux et chrétiens dès l'époque des Sévères, permet au néochristianisme, assise des grandes Eglises modernes, de s'imposer. La rivalité du catholicisme nord-africain persécuté et du catholicisme romain promu est à l'image du heurt de ces deux christianismes, l'un issu du midrash hébreu, l'autre coupé de ces racines.
Au Ve siècle enfin, les grands propriétaires de l'Occident européen prennent en main les évêchés et le pouvoir effectif : la nouvelle société néochrétienne soumet les populations occidentales à l'aristocratie terrienne. L'étude de ces faits, appuyée sur de nombreuses analyses textuelles, révèle une image inédite des premiers siècles chrétiens, très différente de celle que la relation historique a toujours voulu présenter.
Dès le IIe siècle avant notre ère, la doctrine hébraïque des Deux Voies est constituée. Le premier christianisme apparaît sur ce terrain quand la biographie de Jésus s'ajoute à la doctrine. A la fin du IIe siècle de notre ère, le christianisme des Deux Voies est contesté dans l'évêché de Rome par un néochristianisme que l'Etat non chrétien puis chrétien contrôle au point d'en faire au IVe siècle l'idéologie de l'empire totalitaire.
Les répressions conduites sporadiquement par les autorités neutralisent les factions chrétiennes marginales en épargnant les communautés dociles. L'administration impériale, infiltrée d'éléments orientaux et chrétiens dès l'époque des Sévères, permet au néochristianisme, assise des grandes Eglises modernes, de s'imposer. La rivalité du catholicisme nord-africain persécuté et du catholicisme romain promu est à l'image du heurt de ces deux christianismes, l'un issu du midrash hébreu, l'autre coupé de ces racines.
Au Ve siècle enfin, les grands propriétaires de l'Occident européen prennent en main les évêchés et le pouvoir effectif : la nouvelle société néochrétienne soumet les populations occidentales à l'aristocratie terrienne. L'étude de ces faits, appuyée sur de nombreuses analyses textuelles, révèle une image inédite des premiers siècles chrétiens, très différente de celle que la relation historique a toujours voulu présenter.
Les répressions conduites sporadiquement par les autorités neutralisent les factions chrétiennes marginales en épargnant les communautés dociles. L'administration impériale, infiltrée d'éléments orientaux et chrétiens dès l'époque des Sévères, permet au néochristianisme, assise des grandes Eglises modernes, de s'imposer. La rivalité du catholicisme nord-africain persécuté et du catholicisme romain promu est à l'image du heurt de ces deux christianismes, l'un issu du midrash hébreu, l'autre coupé de ces racines.
Au Ve siècle enfin, les grands propriétaires de l'Occident européen prennent en main les évêchés et le pouvoir effectif : la nouvelle société néochrétienne soumet les populations occidentales à l'aristocratie terrienne. L'étude de ces faits, appuyée sur de nombreuses analyses textuelles, révèle une image inédite des premiers siècles chrétiens, très différente de celle que la relation historique a toujours voulu présenter.