Gaufres au chocolat
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- FormatePub
- ISBN978-2-89709-453-9
- EAN9782897094539
- Date de parution27/05/2020
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille13 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurBoomerang éditeur jeunesse
Résumé
Moi (en changeant mes sacs d'épicerie de main, car je commençais à avoir mal aux paumes) : P'pa. Tu vas y retourner quand, chez le concessionnaire, pour choisir une autre auto ?
Mon père (en fixant le bout de la rue et en gardant le silence) : .
Moi (sans lâcher prise) : Ce serait bien si tu y allais aujourd'hui. Ou demain. C'est ouvert, demain ? Parce que là, on va pas faire ça toutes les fins de semaine, quand même !
Mon père (toujours aussi silencieux) : .
Moi (en roulant les épaules, vu la lourdeur des sacs) : Papa ! Je te parle ! Mon père (en réagissant enfin) : Oui, je t'entends ! Mais je n'ai. je n'ai pas prévu y retourner. Pas pour le moment, en tout cas. Moi (en fronçant les sourcils) : Pas pour le moment. Dans le genre « pas cette semaine » ou plutôt. « pas pantoute » ? Mon père (en daignant enfin me jeter un coup d'oeil) : La deuxième option, Dylane.
J'étais tellement sous le choc que j'ai laissé tomber les sacs par terre. Je me suis ensuite penchée pour saisir le paquet de biscuits, avant de foncer vers la maison (qui était tout près). Je sais, ce n'était pas très gentil. Surtout que papa (qui était vraiment lourdement chargé) a dû aller porter ses sacs, pour ensuite revenir chercher les miens demeurés sur le trottoir.
Moi (en roulant les épaules, vu la lourdeur des sacs) : Papa ! Je te parle ! Mon père (en réagissant enfin) : Oui, je t'entends ! Mais je n'ai. je n'ai pas prévu y retourner. Pas pour le moment, en tout cas. Moi (en fronçant les sourcils) : Pas pour le moment. Dans le genre « pas cette semaine » ou plutôt. « pas pantoute » ? Mon père (en daignant enfin me jeter un coup d'oeil) : La deuxième option, Dylane.
J'étais tellement sous le choc que j'ai laissé tomber les sacs par terre. Je me suis ensuite penchée pour saisir le paquet de biscuits, avant de foncer vers la maison (qui était tout près). Je sais, ce n'était pas très gentil. Surtout que papa (qui était vraiment lourdement chargé) a dû aller porter ses sacs, pour ensuite revenir chercher les miens demeurés sur le trottoir.
Moi (en changeant mes sacs d'épicerie de main, car je commençais à avoir mal aux paumes) : P'pa. Tu vas y retourner quand, chez le concessionnaire, pour choisir une autre auto ?
Mon père (en fixant le bout de la rue et en gardant le silence) : .
Moi (sans lâcher prise) : Ce serait bien si tu y allais aujourd'hui. Ou demain. C'est ouvert, demain ? Parce que là, on va pas faire ça toutes les fins de semaine, quand même !
Mon père (toujours aussi silencieux) : .
Moi (en roulant les épaules, vu la lourdeur des sacs) : Papa ! Je te parle ! Mon père (en réagissant enfin) : Oui, je t'entends ! Mais je n'ai. je n'ai pas prévu y retourner. Pas pour le moment, en tout cas. Moi (en fronçant les sourcils) : Pas pour le moment. Dans le genre « pas cette semaine » ou plutôt. « pas pantoute » ? Mon père (en daignant enfin me jeter un coup d'oeil) : La deuxième option, Dylane.
J'étais tellement sous le choc que j'ai laissé tomber les sacs par terre. Je me suis ensuite penchée pour saisir le paquet de biscuits, avant de foncer vers la maison (qui était tout près). Je sais, ce n'était pas très gentil. Surtout que papa (qui était vraiment lourdement chargé) a dû aller porter ses sacs, pour ensuite revenir chercher les miens demeurés sur le trottoir.
Moi (en roulant les épaules, vu la lourdeur des sacs) : Papa ! Je te parle ! Mon père (en réagissant enfin) : Oui, je t'entends ! Mais je n'ai. je n'ai pas prévu y retourner. Pas pour le moment, en tout cas. Moi (en fronçant les sourcils) : Pas pour le moment. Dans le genre « pas cette semaine » ou plutôt. « pas pantoute » ? Mon père (en daignant enfin me jeter un coup d'oeil) : La deuxième option, Dylane.
J'étais tellement sous le choc que j'ai laissé tomber les sacs par terre. Je me suis ensuite penchée pour saisir le paquet de biscuits, avant de foncer vers la maison (qui était tout près). Je sais, ce n'était pas très gentil. Surtout que papa (qui était vraiment lourdement chargé) a dû aller porter ses sacs, pour ensuite revenir chercher les miens demeurés sur le trottoir.