Frontières
Frontières. Vol. 34 No. 1, 2023. Fin de vie et mort en contexte de diversités
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- FormatePub
- ISBN978-2-924954-24-9
- EAN9782924954249
- Date de parution13/12/2023
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurUniversité du Québec à Montréal ...
Résumé
Qu'est-ce qu'une bonne mort ? Qu'est-ce que bien mourir ? Comment accompagner les mourants? Ce sont là autant de questions auxquelles les sociétés humaines sont confrontées depuis la nuit des temps. Les réponses s'ajustent aux cultures en mouvement, toujours en devenir dans l'espace-temps. En effet, on ne meurt pas et on n'est pas accompagné dans le mourir de la même façon dans les sociétés des chasseurs-cueilleurs que dans les sociétés de culte monothéiste ou encore dans les sociétés hypermodernes et médicalisées.
Historiens et ethnologues tentent de documenter ces réalités à partir des traces les plus anciennes, remontant même à la préhistoire et à l'Antiquité, pour rendre compte des attitudes sociales très diverses, antagonistes souvent, convergentes parfois, ayant façonné les moeurs à travers les temps, montrant que rien n'est définitivement acquis en ces matières, que la « morale » gouvernant les façons de faire est fluctuante.
Mais encore là, les sociétés ont toujours considéré la mort avec une géométrie variable, suivant que les mourants étaient des enfants, des adultes ou des aînés et selon leur statut social.
Historiens et ethnologues tentent de documenter ces réalités à partir des traces les plus anciennes, remontant même à la préhistoire et à l'Antiquité, pour rendre compte des attitudes sociales très diverses, antagonistes souvent, convergentes parfois, ayant façonné les moeurs à travers les temps, montrant que rien n'est définitivement acquis en ces matières, que la « morale » gouvernant les façons de faire est fluctuante.
Mais encore là, les sociétés ont toujours considéré la mort avec une géométrie variable, suivant que les mourants étaient des enfants, des adultes ou des aînés et selon leur statut social.
Qu'est-ce qu'une bonne mort ? Qu'est-ce que bien mourir ? Comment accompagner les mourants? Ce sont là autant de questions auxquelles les sociétés humaines sont confrontées depuis la nuit des temps. Les réponses s'ajustent aux cultures en mouvement, toujours en devenir dans l'espace-temps. En effet, on ne meurt pas et on n'est pas accompagné dans le mourir de la même façon dans les sociétés des chasseurs-cueilleurs que dans les sociétés de culte monothéiste ou encore dans les sociétés hypermodernes et médicalisées.
Historiens et ethnologues tentent de documenter ces réalités à partir des traces les plus anciennes, remontant même à la préhistoire et à l'Antiquité, pour rendre compte des attitudes sociales très diverses, antagonistes souvent, convergentes parfois, ayant façonné les moeurs à travers les temps, montrant que rien n'est définitivement acquis en ces matières, que la « morale » gouvernant les façons de faire est fluctuante.
Mais encore là, les sociétés ont toujours considéré la mort avec une géométrie variable, suivant que les mourants étaient des enfants, des adultes ou des aînés et selon leur statut social.
Historiens et ethnologues tentent de documenter ces réalités à partir des traces les plus anciennes, remontant même à la préhistoire et à l'Antiquité, pour rendre compte des attitudes sociales très diverses, antagonistes souvent, convergentes parfois, ayant façonné les moeurs à travers les temps, montrant que rien n'est définitivement acquis en ces matières, que la « morale » gouvernant les façons de faire est fluctuante.
Mais encore là, les sociétés ont toujours considéré la mort avec une géométrie variable, suivant que les mourants étaient des enfants, des adultes ou des aînés et selon leur statut social.