Frontenac t 02 l'embellie

Par : Micheline Bail
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages486
  • FormatePub
  • ISBN978-2-89647-829-3
  • EAN9782896478293
  • Date de parution29/09/2011
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille809 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurHurtubise Editions HMH

Résumé

Le deuxième tome de Frontenac relate la suite et la fin de la lutte sans merci menée par les Canadiens et leurs alliés autochtones pour échapper aux menées anglo-iroquoises destinées à bouter la Nouvelle-France à la mer et à prendre le contrôle de son réseau commercial. Pour forcer ses ennemis à accepter une paix générale, le comte de Frontenac n'hésitera pas à envahir par deux fois les territoires iroquois et, à plus de 76 ans, il aura l'audace de conduire lui-même, à l'autre bout du pays, une armée de 2500 hommes pour assiéger Onontagué, la capitale iroquoise.
Malgré l'âpreté de cette lutte, le gouverneur Frontenac tiendra résolument l'improbable pari de la paix en poursuivant auprès des Iroquois d'inlassables négociations, qui mèneront éventuellement à la Grande Paix de Montréal de 1701: une alliance exceptionnelle entre 40 nations indiennes et la Nouvelle-France. Ce récit met en lumière le côté opiniâtre et original d'un gouverneur qui, malgré les injonctions contraires de la cour, poussera les Canadiens à déborder leurs frontières pour rayonner sur un territoire grand comme un continent, et à tisser avec les autochtones un vaste réseau d'alliances politiques, commerciales et militaires.
Nous y découvrons aussi un homme haut en couleur par son côté excessif et fantasque, ses manies d'aristocrate et de courtisan lettré, son amour de la vie, du théâtre et des femmes, son tempérament passionné, son ambition et son orgueil démesurés, ainsi que par son souci constant de redorer son image auprès du roi.
Le deuxième tome de Frontenac relate la suite et la fin de la lutte sans merci menée par les Canadiens et leurs alliés autochtones pour échapper aux menées anglo-iroquoises destinées à bouter la Nouvelle-France à la mer et à prendre le contrôle de son réseau commercial. Pour forcer ses ennemis à accepter une paix générale, le comte de Frontenac n'hésitera pas à envahir par deux fois les territoires iroquois et, à plus de 76 ans, il aura l'audace de conduire lui-même, à l'autre bout du pays, une armée de 2500 hommes pour assiéger Onontagué, la capitale iroquoise.
Malgré l'âpreté de cette lutte, le gouverneur Frontenac tiendra résolument l'improbable pari de la paix en poursuivant auprès des Iroquois d'inlassables négociations, qui mèneront éventuellement à la Grande Paix de Montréal de 1701: une alliance exceptionnelle entre 40 nations indiennes et la Nouvelle-France. Ce récit met en lumière le côté opiniâtre et original d'un gouverneur qui, malgré les injonctions contraires de la cour, poussera les Canadiens à déborder leurs frontières pour rayonner sur un territoire grand comme un continent, et à tisser avec les autochtones un vaste réseau d'alliances politiques, commerciales et militaires.
Nous y découvrons aussi un homme haut en couleur par son côté excessif et fantasque, ses manies d'aristocrate et de courtisan lettré, son amour de la vie, du théâtre et des femmes, son tempérament passionné, son ambition et son orgueil démesurés, ainsi que par son souci constant de redorer son image auprès du roi.