Fred - un instituteur laïque sous la Troisième République
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- Nombre de pages276
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-36682-153-6
- EAN9782366821536
- Date de parution04/05/2017
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurEditions Gunten
Résumé
Jean-Paul Colin, auteur de nombreux ouvrages, nous propose de (re)découvrir un roman de Victor-Eugène Magdelaine, son grand-oncle né en 1876 à Chamblay dans le Jura.
On l'ouvre comme une porte derrière laquelle on sait que l'on va découvrir quelque chose de bien sinon de bienfaisant car déjà une musique nous parvient aux oreilles. Un ton d'autrefois vient se mesurer à celui d'aujourd'hui sans aucune honte ni discordance.
Puis on fait la connaissance de Fred, héros de ce roman, élève de l'École normale laïque d'instituteurs de Lons-le-Saulnier, sous la Troisième République. Avec lui, nous franchissons le seuil d'écoles dans lesquelles l'aspect éducatif revêtait un aspect religieux et militaire et où « labeur et vertu sont prônée » aux dépens de valeurs et d'enseignements réels. Fred, esprit talentueux et libre va se battre de toute sa jeunesse contre les pouvoirs oppressants de ceux qui les détiennent et dirigent.
Il ne peut se contenter d'être une petite lampe dans la rue du village, il veut aussi écrire et « peupler des désert », les siens en l'occurrence. Il subit des tempêtes dévastatrices apportées par le souffle d'un romantisme incorrigible et ravageur, qui, dépourvu de toute mièvrerie, lui fait vivre de vrais tourments, amoureux et professionnels. Au milieu « des fumées de cigarette qui traînent sur les moustaches comme le brouillard sur les bois », se sont déroulées, devant nous, les bobines d'un film, sépia un brin nostalgique mais manifestement lumineux.
Il nous provoque le même plaisir que celui ressenti par Jean-Paul Colin à renouer ce fil familial et (re)connaître ce grand-oncle, excellent écrivain, Victor-Eugène Magdelaine qui, comme nul autre, escalade le temps avec l'agilité d'un chat, les toits. Et ne jamais oublier qu'« un nouveau livre est toujours une nouvelle lumière ! »
Puis on fait la connaissance de Fred, héros de ce roman, élève de l'École normale laïque d'instituteurs de Lons-le-Saulnier, sous la Troisième République. Avec lui, nous franchissons le seuil d'écoles dans lesquelles l'aspect éducatif revêtait un aspect religieux et militaire et où « labeur et vertu sont prônée » aux dépens de valeurs et d'enseignements réels. Fred, esprit talentueux et libre va se battre de toute sa jeunesse contre les pouvoirs oppressants de ceux qui les détiennent et dirigent.
Il ne peut se contenter d'être une petite lampe dans la rue du village, il veut aussi écrire et « peupler des désert », les siens en l'occurrence. Il subit des tempêtes dévastatrices apportées par le souffle d'un romantisme incorrigible et ravageur, qui, dépourvu de toute mièvrerie, lui fait vivre de vrais tourments, amoureux et professionnels. Au milieu « des fumées de cigarette qui traînent sur les moustaches comme le brouillard sur les bois », se sont déroulées, devant nous, les bobines d'un film, sépia un brin nostalgique mais manifestement lumineux.
Il nous provoque le même plaisir que celui ressenti par Jean-Paul Colin à renouer ce fil familial et (re)connaître ce grand-oncle, excellent écrivain, Victor-Eugène Magdelaine qui, comme nul autre, escalade le temps avec l'agilité d'un chat, les toits. Et ne jamais oublier qu'« un nouveau livre est toujours une nouvelle lumière ! »
Jean-Paul Colin, auteur de nombreux ouvrages, nous propose de (re)découvrir un roman de Victor-Eugène Magdelaine, son grand-oncle né en 1876 à Chamblay dans le Jura.
On l'ouvre comme une porte derrière laquelle on sait que l'on va découvrir quelque chose de bien sinon de bienfaisant car déjà une musique nous parvient aux oreilles. Un ton d'autrefois vient se mesurer à celui d'aujourd'hui sans aucune honte ni discordance.
Puis on fait la connaissance de Fred, héros de ce roman, élève de l'École normale laïque d'instituteurs de Lons-le-Saulnier, sous la Troisième République. Avec lui, nous franchissons le seuil d'écoles dans lesquelles l'aspect éducatif revêtait un aspect religieux et militaire et où « labeur et vertu sont prônée » aux dépens de valeurs et d'enseignements réels. Fred, esprit talentueux et libre va se battre de toute sa jeunesse contre les pouvoirs oppressants de ceux qui les détiennent et dirigent.
Il ne peut se contenter d'être une petite lampe dans la rue du village, il veut aussi écrire et « peupler des désert », les siens en l'occurrence. Il subit des tempêtes dévastatrices apportées par le souffle d'un romantisme incorrigible et ravageur, qui, dépourvu de toute mièvrerie, lui fait vivre de vrais tourments, amoureux et professionnels. Au milieu « des fumées de cigarette qui traînent sur les moustaches comme le brouillard sur les bois », se sont déroulées, devant nous, les bobines d'un film, sépia un brin nostalgique mais manifestement lumineux.
Il nous provoque le même plaisir que celui ressenti par Jean-Paul Colin à renouer ce fil familial et (re)connaître ce grand-oncle, excellent écrivain, Victor-Eugène Magdelaine qui, comme nul autre, escalade le temps avec l'agilité d'un chat, les toits. Et ne jamais oublier qu'« un nouveau livre est toujours une nouvelle lumière ! »
Puis on fait la connaissance de Fred, héros de ce roman, élève de l'École normale laïque d'instituteurs de Lons-le-Saulnier, sous la Troisième République. Avec lui, nous franchissons le seuil d'écoles dans lesquelles l'aspect éducatif revêtait un aspect religieux et militaire et où « labeur et vertu sont prônée » aux dépens de valeurs et d'enseignements réels. Fred, esprit talentueux et libre va se battre de toute sa jeunesse contre les pouvoirs oppressants de ceux qui les détiennent et dirigent.
Il ne peut se contenter d'être une petite lampe dans la rue du village, il veut aussi écrire et « peupler des désert », les siens en l'occurrence. Il subit des tempêtes dévastatrices apportées par le souffle d'un romantisme incorrigible et ravageur, qui, dépourvu de toute mièvrerie, lui fait vivre de vrais tourments, amoureux et professionnels. Au milieu « des fumées de cigarette qui traînent sur les moustaches comme le brouillard sur les bois », se sont déroulées, devant nous, les bobines d'un film, sépia un brin nostalgique mais manifestement lumineux.
Il nous provoque le même plaisir que celui ressenti par Jean-Paul Colin à renouer ce fil familial et (re)connaître ce grand-oncle, excellent écrivain, Victor-Eugène Magdelaine qui, comme nul autre, escalade le temps avec l'agilité d'un chat, les toits. Et ne jamais oublier qu'« un nouveau livre est toujours une nouvelle lumière ! »



