François Dagognet. Médecin et philosophe
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- Nombre de pages290
- FormatPDF
- ISBN2-296-14345-8
- EAN9782296143456
- Date de parution01/03/2006
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille137 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Philosophes et médecins ont arpenté tout au long de l'histoire des terres communes : l'homme pris dans un milieu qui le nourrit et le blesse, le normal, si ce n'est la norme, et le pathologique, le pouvoir d'intervenir sur le corps, son destin et aujourd'hui sa reproduction. Après Georges Canguilhem dont il fut l'élève, François DAGOGNET, philosophe (agrégation de philosophie en 1949) et médecin
(docteur en médecine en 1958) a écrit une œuvre importante où les réflexions sur le corps, la médecine, le remède tiennent une place importante.
Refusant le rejet des techniques de mise chez de nombreux contemporains, François Dagognet, tout en mesurant leurs limites et leurs dangers, a su y voir ce qui sauve les corps autant que l'esprit. Agrégé de philosophie François Dagognet voulut une philosophie en contact avec la vie. C'est à Dijon qu'il entreprit alors des études de médecine, médecine qu'il exerça dans le cadre de l'hôpital, forgeant sa pensée au contact de la douleur, de la maladie.
Du corps souffrant au Corps réfléchis (1990), la philosophie de François Dagognet se présente comme une vigoureuse pensée de l'homme concret en prise avec son destin d'être biologique et moral. Les textes réunis ici constituent les actes du colloque qui s'est tenu les 25 et 26 juin 2004 à Dijon, organisé conjointement par le Centre Gaston Bachelard, le laboratoire d'anatomie de l'UFR de médecine (associé à l'unité INSERM ERIT-M 0207) et l'adrm (Association pour le Développement de la Recherche en Morphologie).
Refusant le rejet des techniques de mise chez de nombreux contemporains, François Dagognet, tout en mesurant leurs limites et leurs dangers, a su y voir ce qui sauve les corps autant que l'esprit. Agrégé de philosophie François Dagognet voulut une philosophie en contact avec la vie. C'est à Dijon qu'il entreprit alors des études de médecine, médecine qu'il exerça dans le cadre de l'hôpital, forgeant sa pensée au contact de la douleur, de la maladie.
Du corps souffrant au Corps réfléchis (1990), la philosophie de François Dagognet se présente comme une vigoureuse pensée de l'homme concret en prise avec son destin d'être biologique et moral. Les textes réunis ici constituent les actes du colloque qui s'est tenu les 25 et 26 juin 2004 à Dijon, organisé conjointement par le Centre Gaston Bachelard, le laboratoire d'anatomie de l'UFR de médecine (associé à l'unité INSERM ERIT-M 0207) et l'adrm (Association pour le Développement de la Recherche en Morphologie).
Philosophes et médecins ont arpenté tout au long de l'histoire des terres communes : l'homme pris dans un milieu qui le nourrit et le blesse, le normal, si ce n'est la norme, et le pathologique, le pouvoir d'intervenir sur le corps, son destin et aujourd'hui sa reproduction. Après Georges Canguilhem dont il fut l'élève, François DAGOGNET, philosophe (agrégation de philosophie en 1949) et médecin
(docteur en médecine en 1958) a écrit une œuvre importante où les réflexions sur le corps, la médecine, le remède tiennent une place importante.
Refusant le rejet des techniques de mise chez de nombreux contemporains, François Dagognet, tout en mesurant leurs limites et leurs dangers, a su y voir ce qui sauve les corps autant que l'esprit. Agrégé de philosophie François Dagognet voulut une philosophie en contact avec la vie. C'est à Dijon qu'il entreprit alors des études de médecine, médecine qu'il exerça dans le cadre de l'hôpital, forgeant sa pensée au contact de la douleur, de la maladie.
Du corps souffrant au Corps réfléchis (1990), la philosophie de François Dagognet se présente comme une vigoureuse pensée de l'homme concret en prise avec son destin d'être biologique et moral. Les textes réunis ici constituent les actes du colloque qui s'est tenu les 25 et 26 juin 2004 à Dijon, organisé conjointement par le Centre Gaston Bachelard, le laboratoire d'anatomie de l'UFR de médecine (associé à l'unité INSERM ERIT-M 0207) et l'adrm (Association pour le Développement de la Recherche en Morphologie).
Refusant le rejet des techniques de mise chez de nombreux contemporains, François Dagognet, tout en mesurant leurs limites et leurs dangers, a su y voir ce qui sauve les corps autant que l'esprit. Agrégé de philosophie François Dagognet voulut une philosophie en contact avec la vie. C'est à Dijon qu'il entreprit alors des études de médecine, médecine qu'il exerça dans le cadre de l'hôpital, forgeant sa pensée au contact de la douleur, de la maladie.
Du corps souffrant au Corps réfléchis (1990), la philosophie de François Dagognet se présente comme une vigoureuse pensée de l'homme concret en prise avec son destin d'être biologique et moral. Les textes réunis ici constituent les actes du colloque qui s'est tenu les 25 et 26 juin 2004 à Dijon, organisé conjointement par le Centre Gaston Bachelard, le laboratoire d'anatomie de l'UFR de médecine (associé à l'unité INSERM ERIT-M 0207) et l'adrm (Association pour le Développement de la Recherche en Morphologie).