Fondements de la psychopathologie. Folie, maladie mentale et psychiatrie, selon une ontologie psychanalytique
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- Nombre de pages350
- FormatePub
- ISBN2-7059-1187-1
- EAN9782705911874
- Date de parution01/01/1982
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille90 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPresses universitaires de France...
Résumé
La folie (la maladie mentale) est contestée aujourd'hui dans son existence même, alors que la psychiatrie étend son influence jusque dans la vie courante. Pour comprendre cette contradiction, il faut s'interroger sur les fondements. Il apparaît ainsi que, modalité de l'être-pour-la-mort, la folie est universelle pour l'être humain. A l'ère médicale, elle est objectivée comme maladie mentale. A l'ère psychologique, on la décrit comme psychopathologie.
La psychanalyse, qui envisage le mental actif et soumis aux deux principes des pulsions de vie et de mort, fournit le meilleur abord psychopathologique. Le plus fou devient compréhensible comme vivant la réalité sous les formes que son être peut adopter, et qu'il y a lieu de reconnaître comme ontologiquement équivalentes à toutes autres, quoique psychologiquement et sociologiquement inférieures. Bien des psychiatres et des analystes comprennent aujourd'hui la possibilité de concomitance entre folie et raison, créativité, génie.
La psychanalyse, qui envisage le mental actif et soumis aux deux principes des pulsions de vie et de mort, fournit le meilleur abord psychopathologique. Le plus fou devient compréhensible comme vivant la réalité sous les formes que son être peut adopter, et qu'il y a lieu de reconnaître comme ontologiquement équivalentes à toutes autres, quoique psychologiquement et sociologiquement inférieures. Bien des psychiatres et des analystes comprennent aujourd'hui la possibilité de concomitance entre folie et raison, créativité, génie.
La folie (la maladie mentale) est contestée aujourd'hui dans son existence même, alors que la psychiatrie étend son influence jusque dans la vie courante. Pour comprendre cette contradiction, il faut s'interroger sur les fondements. Il apparaît ainsi que, modalité de l'être-pour-la-mort, la folie est universelle pour l'être humain. A l'ère médicale, elle est objectivée comme maladie mentale. A l'ère psychologique, on la décrit comme psychopathologie.
La psychanalyse, qui envisage le mental actif et soumis aux deux principes des pulsions de vie et de mort, fournit le meilleur abord psychopathologique. Le plus fou devient compréhensible comme vivant la réalité sous les formes que son être peut adopter, et qu'il y a lieu de reconnaître comme ontologiquement équivalentes à toutes autres, quoique psychologiquement et sociologiquement inférieures. Bien des psychiatres et des analystes comprennent aujourd'hui la possibilité de concomitance entre folie et raison, créativité, génie.
La psychanalyse, qui envisage le mental actif et soumis aux deux principes des pulsions de vie et de mort, fournit le meilleur abord psychopathologique. Le plus fou devient compréhensible comme vivant la réalité sous les formes que son être peut adopter, et qu'il y a lieu de reconnaître comme ontologiquement équivalentes à toutes autres, quoique psychologiquement et sociologiquement inférieures. Bien des psychiatres et des analystes comprennent aujourd'hui la possibilité de concomitance entre folie et raison, créativité, génie.