Fondements culturels de l'arriération de l'Afrique Noire
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- Nombre de pages160
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-21966-3
- EAN9782296219663
- Date de parution01/09/2009
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
C'est donc quoi, ces africains qui donnent des noms de Mitterrand, Giscard, Churchill, Jean Claude à leurs enfants ? Derrière des apparences anodines, c'est un vrai drame, un échec anthropologique et une catastrophe culturelle qui se manifestent dans cette décision d'importation de nom. D'où vient le problème en réalité, sinon d'une insuffisante affirmation culturelle et d'une dépersonnalisation identitaire ? Il faut aujourd'hui avoir le courage de se désolidariser fermement des discours sans contenu pragmatique et sans emprise sur les problèmes dont les africains se sont habitués.
Il faut chasser la culture du fétichisme obscurantiste, du masque symbole et de la dignité gratuite. Nous devons siffler la fin de la société de récréation éternelle et des apparences trompeuses, celle qui a plongé certains dans la léthargie et condamné d'autres à la paresse, la tricherie et le tribalisme, puis le retard chronique. Le diagnostic du mal n'a besoin ni du FMI ni des experts de l'Union européenne.
Les peuples affamés qui entendent bien les bruits de leurs ventres vides et les cris de détresse de leurs enfants mal nourris et mal soignés, doivent rechercher d'abord dans les profondeurs de leur personnalité culturelle, les causes et les remèdes de leur retard immense par rapport au reste du monde. Aucune société effectivement développante, ne peut se construire sur des bases culturelles moulées dans des contradictions insoutenables qui ne privilégient pas la liberté de l'individu et sa participation à la formulation et à la gestion transparente de son destin.
Il faut chasser la culture du fétichisme obscurantiste, du masque symbole et de la dignité gratuite. Nous devons siffler la fin de la société de récréation éternelle et des apparences trompeuses, celle qui a plongé certains dans la léthargie et condamné d'autres à la paresse, la tricherie et le tribalisme, puis le retard chronique. Le diagnostic du mal n'a besoin ni du FMI ni des experts de l'Union européenne.
Les peuples affamés qui entendent bien les bruits de leurs ventres vides et les cris de détresse de leurs enfants mal nourris et mal soignés, doivent rechercher d'abord dans les profondeurs de leur personnalité culturelle, les causes et les remèdes de leur retard immense par rapport au reste du monde. Aucune société effectivement développante, ne peut se construire sur des bases culturelles moulées dans des contradictions insoutenables qui ne privilégient pas la liberté de l'individu et sa participation à la formulation et à la gestion transparente de son destin.
C'est donc quoi, ces africains qui donnent des noms de Mitterrand, Giscard, Churchill, Jean Claude à leurs enfants ? Derrière des apparences anodines, c'est un vrai drame, un échec anthropologique et une catastrophe culturelle qui se manifestent dans cette décision d'importation de nom. D'où vient le problème en réalité, sinon d'une insuffisante affirmation culturelle et d'une dépersonnalisation identitaire ? Il faut aujourd'hui avoir le courage de se désolidariser fermement des discours sans contenu pragmatique et sans emprise sur les problèmes dont les africains se sont habitués.
Il faut chasser la culture du fétichisme obscurantiste, du masque symbole et de la dignité gratuite. Nous devons siffler la fin de la société de récréation éternelle et des apparences trompeuses, celle qui a plongé certains dans la léthargie et condamné d'autres à la paresse, la tricherie et le tribalisme, puis le retard chronique. Le diagnostic du mal n'a besoin ni du FMI ni des experts de l'Union européenne.
Les peuples affamés qui entendent bien les bruits de leurs ventres vides et les cris de détresse de leurs enfants mal nourris et mal soignés, doivent rechercher d'abord dans les profondeurs de leur personnalité culturelle, les causes et les remèdes de leur retard immense par rapport au reste du monde. Aucune société effectivement développante, ne peut se construire sur des bases culturelles moulées dans des contradictions insoutenables qui ne privilégient pas la liberté de l'individu et sa participation à la formulation et à la gestion transparente de son destin.
Il faut chasser la culture du fétichisme obscurantiste, du masque symbole et de la dignité gratuite. Nous devons siffler la fin de la société de récréation éternelle et des apparences trompeuses, celle qui a plongé certains dans la léthargie et condamné d'autres à la paresse, la tricherie et le tribalisme, puis le retard chronique. Le diagnostic du mal n'a besoin ni du FMI ni des experts de l'Union européenne.
Les peuples affamés qui entendent bien les bruits de leurs ventres vides et les cris de détresse de leurs enfants mal nourris et mal soignés, doivent rechercher d'abord dans les profondeurs de leur personnalité culturelle, les causes et les remèdes de leur retard immense par rapport au reste du monde. Aucune société effectivement développante, ne peut se construire sur des bases culturelles moulées dans des contradictions insoutenables qui ne privilégient pas la liberté de l'individu et sa participation à la formulation et à la gestion transparente de son destin.