Foch, chef de guerre

Par : Elizabeth Greenhalgh

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  • Nombre de pages688
  • FormatePub
  • ISBN979-10-210-0304-0
  • EAN9791021003040
  • Date de parution26/09/2013
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille5 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurTallandier
  • TraducteurSimon Duran

Résumé

Dans Les Grands Contemporains (1937), Winston Churchill écrivait au sujet du maréchal Foch : « Avec le recul, je crois que l'on comprendra mieux combien sa valeur spirituelle et la sagacité pénétrante de son jugement étaient de l'ordre le plus élevé. » Élevé à la dignité de maréchal de France en août 1918, Ferdinand Foch n'a pourtant jamais commandé de troupes au combat avant la guerre. Entre 1914 et 1916, il livre des batailles, notamment devant Ypres à la fin de 1914, en Artois en 1915 jusqu'à l'échec dans la Somme l'année suivante.
Nommé chef d'état-major général en 1917, il devient commandant suprême des forces alliées au cours des derniers mois qui précédèrent la victoire. À l'inverse d'un Pétain plus prudent, Foch se révèle un homme énergique, volontaire et tenace, d'un optimisme inaltérable. Et il obtient alors des résultats décisifs ; c'est bien lui qui met en place les stratégies victorieuses, avant que les réalités politiques contribuent ensuite à le faire échouer dans la paix.
À l'appui d'une masse documentaire (carnets de notes, lettres) jusqu'ici sous-exploitée, Elizabeth Greenhalgh propose une étude novatrice de la contribution de Foch à la victoire des Alliés. Elle nous invite à comprendre comment cet officier d'artillerie apprit à combattre l'ennemi, à négocier avec des alliés difficiles à manouvrer et à se frayer un chemin à travers le véritable champ de mine formé par l'écheveau des relations politico-militaires.
En un mot, comment Ferdinand Foch façonna la Grande Guerre. « Avec ce livre, Elizabeth Greenhalgh nous offre un portrait fascinant de l'improbable commandant en chef. Cet homme impétueux, qui ne cessa d'exaspérer les chefs militaires des armées nationales, poursuivait ses propres objectifs fondés sur des convictions nationales profondes, et fermement attaché à l'idée que la détermination est la clé permettant de maîtriser la réalité.
» Général André Bach.
Dans Les Grands Contemporains (1937), Winston Churchill écrivait au sujet du maréchal Foch : « Avec le recul, je crois que l'on comprendra mieux combien sa valeur spirituelle et la sagacité pénétrante de son jugement étaient de l'ordre le plus élevé. » Élevé à la dignité de maréchal de France en août 1918, Ferdinand Foch n'a pourtant jamais commandé de troupes au combat avant la guerre. Entre 1914 et 1916, il livre des batailles, notamment devant Ypres à la fin de 1914, en Artois en 1915 jusqu'à l'échec dans la Somme l'année suivante.
Nommé chef d'état-major général en 1917, il devient commandant suprême des forces alliées au cours des derniers mois qui précédèrent la victoire. À l'inverse d'un Pétain plus prudent, Foch se révèle un homme énergique, volontaire et tenace, d'un optimisme inaltérable. Et il obtient alors des résultats décisifs ; c'est bien lui qui met en place les stratégies victorieuses, avant que les réalités politiques contribuent ensuite à le faire échouer dans la paix.
À l'appui d'une masse documentaire (carnets de notes, lettres) jusqu'ici sous-exploitée, Elizabeth Greenhalgh propose une étude novatrice de la contribution de Foch à la victoire des Alliés. Elle nous invite à comprendre comment cet officier d'artillerie apprit à combattre l'ennemi, à négocier avec des alliés difficiles à manouvrer et à se frayer un chemin à travers le véritable champ de mine formé par l'écheveau des relations politico-militaires.
En un mot, comment Ferdinand Foch façonna la Grande Guerre. « Avec ce livre, Elizabeth Greenhalgh nous offre un portrait fascinant de l'improbable commandant en chef. Cet homme impétueux, qui ne cessa d'exaspérer les chefs militaires des armées nationales, poursuivait ses propres objectifs fondés sur des convictions nationales profondes, et fermement attaché à l'idée que la détermination est la clé permettant de maîtriser la réalité.
» Général André Bach.