Fitzgerald. Le désenchanté

Par :

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
  • Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages320
  • FormatePub
  • ISBN978-2-226-28914-8
  • EAN9782226289148
  • Date de parution02/05/2013
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille588 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurAlbin Michel

Résumé

D'un côté un jeune écrivain marié à une femme excentrique, beau, talentueux, icône de l'Ère du Jazz, et qui, dès son premier roman, L'Envers du paradis, connaît un succès foudroyant. De l'autre, la chute vertigineuse d'un couple qui sombre dans l'alcool, la pauvreté et la folie. Celui que Philippe Sollers appelle le « vaincu exemplaire » et Eric Neuhoff le « romantique absolu » est avant tout un écrivain qui, toute sa vie, tente de régler le conflit entre son besoin irrésistible d'écrire et « un concours de circonstances acharnées à l'en empêcher ».
Fitzgerald ne ment jamais ni quand il se saoule, ni quand il se bat, ni quand il fait face aux humiliations, ni quand il revendique son goût du travail bien fait, ni quand il erre de casinos en hôtels. On le découvre ici dans son intimité, en père attentif qui s'occupe de sa fille Scottie, ne délaisse jamais Zelda, et qui se ruine la santé pour gagner l'argent nécessaire à l'entretien de son petit monde.
Quand il meurt en 1940, il n'a que 44 ans, plus un sou en poche, et ses livres ont déserté les rayons des librairies. Il venait de se remettre au travail et avait entrepris l'écriture du Dernier Nabab.
D'un côté un jeune écrivain marié à une femme excentrique, beau, talentueux, icône de l'Ère du Jazz, et qui, dès son premier roman, L'Envers du paradis, connaît un succès foudroyant. De l'autre, la chute vertigineuse d'un couple qui sombre dans l'alcool, la pauvreté et la folie. Celui que Philippe Sollers appelle le « vaincu exemplaire » et Eric Neuhoff le « romantique absolu » est avant tout un écrivain qui, toute sa vie, tente de régler le conflit entre son besoin irrésistible d'écrire et « un concours de circonstances acharnées à l'en empêcher ».
Fitzgerald ne ment jamais ni quand il se saoule, ni quand il se bat, ni quand il fait face aux humiliations, ni quand il revendique son goût du travail bien fait, ni quand il erre de casinos en hôtels. On le découvre ici dans son intimité, en père attentif qui s'occupe de sa fille Scottie, ne délaisse jamais Zelda, et qui se ruine la santé pour gagner l'argent nécessaire à l'entretien de son petit monde.
Quand il meurt en 1940, il n'a que 44 ans, plus un sou en poche, et ses livres ont déserté les rayons des librairies. Il venait de se remettre au travail et avait entrepris l'écriture du Dernier Nabab.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Intéressant
Ayant redécouvert Gatsby peu de temps avant cette lecture, j'ai trouvé les pages consacrées au roman, dans lesquelles on sent toute l'admiration de l'auteure pour ce roman, très intéressantes. Jacques Tournier, traducteur, explique la difficulté de traduire les expressions présentes dans ce roman. J'ai aussi trouvé que l'auteur était à la fois l'inverse et le double de Gatsby, l'un et l'autre donnant de grandes fêtes mais Gatsby ayant trouvé l'argent mais pas l'amour alors que Scott avait trouvé Zelda mais passait son temps à courir après l'argent. De plus, Daisy et Zelda m'ont paru aussi superficielles et antipathiques l'une que l'autre.
Ayant redécouvert Gatsby peu de temps avant cette lecture, j'ai trouvé les pages consacrées au roman, dans lesquelles on sent toute l'admiration de l'auteure pour ce roman, très intéressantes. Jacques Tournier, traducteur, explique la difficulté de traduire les expressions présentes dans ce roman. J'ai aussi trouvé que l'auteur était à la fois l'inverse et le double de Gatsby, l'un et l'autre donnant de grandes fêtes mais Gatsby ayant trouvé l'argent mais pas l'amour alors que Scott avait trouvé Zelda mais passait son temps à courir après l'argent. De plus, Daisy et Zelda m'ont paru aussi superficielles et antipathiques l'une que l'autre.