Mort heureuse des gens de bien, mort funeste des pécheurs. Nul n'échappe à son destin, ni le roi ni l'usurier, ni l'abbesse ni la bergère. C'est la leçon imagée de La Grande Danse macabre. C'est le propos des préparations à la mort, moment fatal auquel il faut sa vie durant penser, comme si l'art de vivre bien trouvait son plus grand accomplissement dans celui de bien mourir.
Robert Favre, professeur de littérature à l'université de Lyon 2, est l'auteur de La Mort au siècle des Lumières et de divers travaux sur le journalisme d'Ancien Régime.
Mort heureuse des gens de bien, mort funeste des pécheurs. Nul n'échappe à son destin, ni le roi ni l'usurier, ni l'abbesse ni la bergère. C'est la leçon imagée de La Grande Danse macabre. C'est le propos des préparations à la mort, moment fatal auquel il faut sa vie durant penser, comme si l'art de vivre bien trouvait son plus grand accomplissement dans celui de bien mourir.
Robert Favre, professeur de littérature à l'université de Lyon 2, est l'auteur de La Mort au siècle des Lumières et de divers travaux sur le journalisme d'Ancien Régime.