Fénelon évêque et pasteur en son temps 1695 - 1715
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- Nombre de pages370
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-905637-97-0
- EAN9782905637970
- Date de parution02/05/2018
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPublications de l’Institut de re...
Résumé
François de Salignac de la Mothe-Fénelon naquit à Sainte-Mondane, en Périgord, au début de 1651. Son père, Pons de Salignac, d'ancienne gentilhommerie périgourdine, se débattait dans une gêne relative, comme bon nombre de représentants de la noblesse provinciale à la mi- xviie siècle, mais demeurait fort d'un efficace réseau de relations. L'oncle, François de Salignac, n'était-il pas évêque de Sarlat, un évêché sans doute un peu « crotté » (dès lors que l'on considère la munificence de l'évêché de Cambrai qui, plus tard, devait revenir au neveu), mais qui situait son titulaire au sein d'une nébuleuse influente ? Un autre oncle, le marquis de Fénelon-Magnac, était membre éminent de l'occulte mais active compagnie du Saint-Sacrement, fer de lance du militantisme dévot des élites, et très lié avec Saint-Sulpice, matrice du clergé français depuis les année 1640.
Autant de tremplins précieux pour une carrière cléricale programmée et réussie, éclatante affirmation sociale en ce siècle qui était encore le « siècle des saints » : sans préjuger de son génie propre, Fénelon fut précocement destiné à devenir évêque.
Autant de tremplins précieux pour une carrière cléricale programmée et réussie, éclatante affirmation sociale en ce siècle qui était encore le « siècle des saints » : sans préjuger de son génie propre, Fénelon fut précocement destiné à devenir évêque.
François de Salignac de la Mothe-Fénelon naquit à Sainte-Mondane, en Périgord, au début de 1651. Son père, Pons de Salignac, d'ancienne gentilhommerie périgourdine, se débattait dans une gêne relative, comme bon nombre de représentants de la noblesse provinciale à la mi- xviie siècle, mais demeurait fort d'un efficace réseau de relations. L'oncle, François de Salignac, n'était-il pas évêque de Sarlat, un évêché sans doute un peu « crotté » (dès lors que l'on considère la munificence de l'évêché de Cambrai qui, plus tard, devait revenir au neveu), mais qui situait son titulaire au sein d'une nébuleuse influente ? Un autre oncle, le marquis de Fénelon-Magnac, était membre éminent de l'occulte mais active compagnie du Saint-Sacrement, fer de lance du militantisme dévot des élites, et très lié avec Saint-Sulpice, matrice du clergé français depuis les année 1640.
Autant de tremplins précieux pour une carrière cléricale programmée et réussie, éclatante affirmation sociale en ce siècle qui était encore le « siècle des saints » : sans préjuger de son génie propre, Fénelon fut précocement destiné à devenir évêque.
Autant de tremplins précieux pour une carrière cléricale programmée et réussie, éclatante affirmation sociale en ce siècle qui était encore le « siècle des saints » : sans préjuger de son génie propre, Fénelon fut précocement destiné à devenir évêque.







