Femmes sur le pied de guerre. Chronique d'une famille bourgeoise 1914-1918
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- Nombre de pages470
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7574-2764-4
- EAN9782757427644
- Date de parution15/01/2020
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPU du Septentrion
- PréfacierBrigitte Krulic
Résumé
Alors que les hommes mobilisés en 1914 sont loin des leurs demeurés à l'arrière, la correspondance devient essentielle pour ces Femmes sur le pied de guerre de la famille Resal. Pendant toute la Grande Guerre, leurs lettres maintiennent les liens entre les membres de cette famille d'ingénieurs très républicaine, proche de certains généraux et de l'entourage immédiat de Clemenceau. La correspondance polyphonique de ces quatre femmes circule, en un flux continu, vers les champs de bataille, de Charleroi au Chemin des Dames en passant par Verdun : Berthe, la grand-mère, est menacée de revivre en Seine-et-Marne l'occupation de 1870.
Sa fille Julie organise un ouvroir et participe aux actions de la Croix-Rouge, quand son mari, directeur des tramways de Bordeaux, emploie des « femmes cochères ». Tout comme les deux petites-filles - l'une infirmière, l'autre professeur de piano - elles adressent chaque jour à leur petit-fils, fils et frères des lettres qui, par l'ensemble qu'elles forment, présentent plusieurs angles de vue sur l'épreuve de la séparation, de l'angoisse et du deuil.
Ces écrits intimes révèlent un patriotisme sans faille, que les pertes subies par les Resal - sur quatre hommes mobilisés, un mort et deux blessés- ne remettent jamais en cause. Ils présentent aussi, toutes générations confondues, un tableau très éloigné du lieu commun de femmes qui seraient par nature éplorées et pacifistes.
Sa fille Julie organise un ouvroir et participe aux actions de la Croix-Rouge, quand son mari, directeur des tramways de Bordeaux, emploie des « femmes cochères ». Tout comme les deux petites-filles - l'une infirmière, l'autre professeur de piano - elles adressent chaque jour à leur petit-fils, fils et frères des lettres qui, par l'ensemble qu'elles forment, présentent plusieurs angles de vue sur l'épreuve de la séparation, de l'angoisse et du deuil.
Ces écrits intimes révèlent un patriotisme sans faille, que les pertes subies par les Resal - sur quatre hommes mobilisés, un mort et deux blessés- ne remettent jamais en cause. Ils présentent aussi, toutes générations confondues, un tableau très éloigné du lieu commun de femmes qui seraient par nature éplorées et pacifistes.
Alors que les hommes mobilisés en 1914 sont loin des leurs demeurés à l'arrière, la correspondance devient essentielle pour ces Femmes sur le pied de guerre de la famille Resal. Pendant toute la Grande Guerre, leurs lettres maintiennent les liens entre les membres de cette famille d'ingénieurs très républicaine, proche de certains généraux et de l'entourage immédiat de Clemenceau. La correspondance polyphonique de ces quatre femmes circule, en un flux continu, vers les champs de bataille, de Charleroi au Chemin des Dames en passant par Verdun : Berthe, la grand-mère, est menacée de revivre en Seine-et-Marne l'occupation de 1870.
Sa fille Julie organise un ouvroir et participe aux actions de la Croix-Rouge, quand son mari, directeur des tramways de Bordeaux, emploie des « femmes cochères ». Tout comme les deux petites-filles - l'une infirmière, l'autre professeur de piano - elles adressent chaque jour à leur petit-fils, fils et frères des lettres qui, par l'ensemble qu'elles forment, présentent plusieurs angles de vue sur l'épreuve de la séparation, de l'angoisse et du deuil.
Ces écrits intimes révèlent un patriotisme sans faille, que les pertes subies par les Resal - sur quatre hommes mobilisés, un mort et deux blessés- ne remettent jamais en cause. Ils présentent aussi, toutes générations confondues, un tableau très éloigné du lieu commun de femmes qui seraient par nature éplorées et pacifistes.
Sa fille Julie organise un ouvroir et participe aux actions de la Croix-Rouge, quand son mari, directeur des tramways de Bordeaux, emploie des « femmes cochères ». Tout comme les deux petites-filles - l'une infirmière, l'autre professeur de piano - elles adressent chaque jour à leur petit-fils, fils et frères des lettres qui, par l'ensemble qu'elles forment, présentent plusieurs angles de vue sur l'épreuve de la séparation, de l'angoisse et du deuil.
Ces écrits intimes révèlent un patriotisme sans faille, que les pertes subies par les Resal - sur quatre hommes mobilisés, un mort et deux blessés- ne remettent jamais en cause. Ils présentent aussi, toutes générations confondues, un tableau très éloigné du lieu commun de femmes qui seraient par nature éplorées et pacifistes.