Faut bien qu'on croûte

Par : Eugène Moineau, Pierre Humbourg

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  • Nombre de pages330
  • FormatePub
  • ISBN2-307-26497-3
  • EAN9782307264972
  • Date de parution01/01/1951
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille799 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Arma...

Résumé

C'est parce qu'il faut bien qu'on croûte que, chassés par le progrès, après avoir été des héros, Dashiell et Allan deviendront des assassins. Doris Heat, la veuve au cour tendre - et que tuera Dashiell - c'était bien plus le pain quotidien pour les deux anciens GI's, que les plaisirs d'amour pour Dashiell. La chaise électrique mettra un terme à l'idylle tragique et Allan, avant cette évasion qui fera fatalement de lui un réprouvé, puis un gangster, connaîtra la cruauté des gardes-chiourmes et les atroces confidences des bagnards, ses irrémédiables compagnons.
Faut bien qu'on croûte, mais il faut aussi qu'on rêve. Et c'est parce qu'il rêve de Ruth Didio - une chanteuse entendue un soir avec Dashiell - dont l'image le poursuit au bagne, parmi les gangsters de Los Angeles, ses nouveaux complices, et dont le sourire vient toujours en surimpression sur le masque volontaire de Barbara, que l'implacable fatum antique le pousse vers l'imprudence qui mettra, sous les yeux de Linda et de son burlesque père, un terme à son existence de bête traquée, amoureuse d'un fantôme.
Un résumé aussi bref, ne peut donner une image de ce roman où la vie grouille à chaque ligne, et que vous lirez d'un trait comme se voient, sans que le temps passe, certains films célèbres où le regard n'a pas le loisir d'une seconde de repos. J'écrivais déjà de « Débrouillez-vous avec la morte » : « On file vers un but incertain, comme envoûté... Mais il faut avoir lu ce livre, pour y découvrir tout son humour, sa sensibilité, toutes ces qualités qui font d'Eugène Moineau, un des compagnons élus de la jeune génération... » Je ne crois pas devoir changer aujourd'hui un mot à ces lignes, vieilles de quinze mois.
Eugène Moineau est un poète qui a le sens du réel : « Aimez-vous l'aventure ? Il en a mis partout. »
C'est parce qu'il faut bien qu'on croûte que, chassés par le progrès, après avoir été des héros, Dashiell et Allan deviendront des assassins. Doris Heat, la veuve au cour tendre - et que tuera Dashiell - c'était bien plus le pain quotidien pour les deux anciens GI's, que les plaisirs d'amour pour Dashiell. La chaise électrique mettra un terme à l'idylle tragique et Allan, avant cette évasion qui fera fatalement de lui un réprouvé, puis un gangster, connaîtra la cruauté des gardes-chiourmes et les atroces confidences des bagnards, ses irrémédiables compagnons.
Faut bien qu'on croûte, mais il faut aussi qu'on rêve. Et c'est parce qu'il rêve de Ruth Didio - une chanteuse entendue un soir avec Dashiell - dont l'image le poursuit au bagne, parmi les gangsters de Los Angeles, ses nouveaux complices, et dont le sourire vient toujours en surimpression sur le masque volontaire de Barbara, que l'implacable fatum antique le pousse vers l'imprudence qui mettra, sous les yeux de Linda et de son burlesque père, un terme à son existence de bête traquée, amoureuse d'un fantôme.
Un résumé aussi bref, ne peut donner une image de ce roman où la vie grouille à chaque ligne, et que vous lirez d'un trait comme se voient, sans que le temps passe, certains films célèbres où le regard n'a pas le loisir d'une seconde de repos. J'écrivais déjà de « Débrouillez-vous avec la morte » : « On file vers un but incertain, comme envoûté... Mais il faut avoir lu ce livre, pour y découvrir tout son humour, sa sensibilité, toutes ces qualités qui font d'Eugène Moineau, un des compagnons élus de la jeune génération... » Je ne crois pas devoir changer aujourd'hui un mot à ces lignes, vieilles de quinze mois.
Eugène Moineau est un poète qui a le sens du réel : « Aimez-vous l'aventure ? Il en a mis partout. »
Faut bien qu'on croûte
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