Faire des sciences sociales. Comparer
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- Nombre de pages317
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7132-2589-5
- EAN9782713225895
- Date de parution03/09/2015
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurÉditions de l’École des hautes é...
Résumé
Que signifie l'acte de comparer pour les sciences sociales ? Dans ce volume, la démarche comparative est vue comme un éloge de la pluralité : aucune science sociale ne peut se borner à l'étude d'un seul cas. Dès lors, chaque nouveau savoir, chaque nouvel échange entre disciplines se trouvent confrontés aux fausses évidences de leur irréflexion. On tend à décréter le comparable, à stipuler l'incomparable.
Comparer en sciences sociales, c'est répondre aux défis du découpage et de l'asymétrie des objets. C'est également forger les outils d'une méthode qui s'ajuste à des écarts. Cet ouvrage reflète les approches très différenciées dans lesquelles s'inscrit la comparaison. Pour les uns, celle-ci est une ressource de l'analyse ; pour les autres, elle constitue la matière d'un programme de recherche. Pour tous, l'acte de comparer pose le cadre théorique de leur réflexivité scientifique.
Il définit aussi l'horizon d'un langage commun. Il désigne enfin l'objet observé : des sociétés composées d'acteurs qui ne cessent de qualifier leur situation par comparaison.
Comparer en sciences sociales, c'est répondre aux défis du découpage et de l'asymétrie des objets. C'est également forger les outils d'une méthode qui s'ajuste à des écarts. Cet ouvrage reflète les approches très différenciées dans lesquelles s'inscrit la comparaison. Pour les uns, celle-ci est une ressource de l'analyse ; pour les autres, elle constitue la matière d'un programme de recherche. Pour tous, l'acte de comparer pose le cadre théorique de leur réflexivité scientifique.
Il définit aussi l'horizon d'un langage commun. Il désigne enfin l'objet observé : des sociétés composées d'acteurs qui ne cessent de qualifier leur situation par comparaison.
Que signifie l'acte de comparer pour les sciences sociales ? Dans ce volume, la démarche comparative est vue comme un éloge de la pluralité : aucune science sociale ne peut se borner à l'étude d'un seul cas. Dès lors, chaque nouveau savoir, chaque nouvel échange entre disciplines se trouvent confrontés aux fausses évidences de leur irréflexion. On tend à décréter le comparable, à stipuler l'incomparable.
Comparer en sciences sociales, c'est répondre aux défis du découpage et de l'asymétrie des objets. C'est également forger les outils d'une méthode qui s'ajuste à des écarts. Cet ouvrage reflète les approches très différenciées dans lesquelles s'inscrit la comparaison. Pour les uns, celle-ci est une ressource de l'analyse ; pour les autres, elle constitue la matière d'un programme de recherche. Pour tous, l'acte de comparer pose le cadre théorique de leur réflexivité scientifique.
Il définit aussi l'horizon d'un langage commun. Il désigne enfin l'objet observé : des sociétés composées d'acteurs qui ne cessent de qualifier leur situation par comparaison.
Comparer en sciences sociales, c'est répondre aux défis du découpage et de l'asymétrie des objets. C'est également forger les outils d'une méthode qui s'ajuste à des écarts. Cet ouvrage reflète les approches très différenciées dans lesquelles s'inscrit la comparaison. Pour les uns, celle-ci est une ressource de l'analyse ; pour les autres, elle constitue la matière d'un programme de recherche. Pour tous, l'acte de comparer pose le cadre théorique de leur réflexivité scientifique.
Il définit aussi l'horizon d'un langage commun. Il désigne enfin l'objet observé : des sociétés composées d'acteurs qui ne cessent de qualifier leur situation par comparaison.