Faire Charlemagne
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- Nombre de pages197
- FormatePub
- ISBN978-2-7491-5066-6
- EAN9782749150666
- Date de parution25/08/2016
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille561 Ko
- ÉditeurCherche Midi
Résumé
Lorsqu'un professeur capitulard et timoré cède à ses pulsions séditieuses...
Un homme chargé d'hivers marche dans les ruelles de son enfance. Antonin Chapuisat enseigne la littérature dans un vieux lycée de renom. Sous ses pas, le pavé de Saint-Antoine, près de la Bastille, ne ressemble plus à celui de naguère. Ses effectifs scolaires non plus. Ses classes d'élèves bigarrés et insolents l'insupportent.
La capuche fait mauvais ménage avec le feutre taupé. Insensiblement, il glisse du mauvais côté du balcon. Chez lui, toute espérance est devenue bonsaï. En catimini, il subvertit l'emploi du temps éducatif, permute les auteurs du programme. Ainsi Saint-Exupéry par Henri Béraud, Malraux par Albert Paraz... Son enseignement commence à sentir le soufre. La tête dans le sac, capitulard, munichois des sentiments, insensible aux sensibilités culturelles et religieuses de son auditoire, Chapuisat radicalise ses interventions réactionnaires, culbute le vieil humanisme progressiste.
Ça jase dans les couloirs. Les parents d'élèves se plaignent. Les altercations se multiplient dans les rangs, jusqu'à ce que le drame survienne entre deux collégiens à l'ombre des murailles de Philippe Auguste... Un roman cynique, désabusé, d'un pessimisme ravageur.
La capuche fait mauvais ménage avec le feutre taupé. Insensiblement, il glisse du mauvais côté du balcon. Chez lui, toute espérance est devenue bonsaï. En catimini, il subvertit l'emploi du temps éducatif, permute les auteurs du programme. Ainsi Saint-Exupéry par Henri Béraud, Malraux par Albert Paraz... Son enseignement commence à sentir le soufre. La tête dans le sac, capitulard, munichois des sentiments, insensible aux sensibilités culturelles et religieuses de son auditoire, Chapuisat radicalise ses interventions réactionnaires, culbute le vieil humanisme progressiste.
Ça jase dans les couloirs. Les parents d'élèves se plaignent. Les altercations se multiplient dans les rangs, jusqu'à ce que le drame survienne entre deux collégiens à l'ombre des murailles de Philippe Auguste... Un roman cynique, désabusé, d'un pessimisme ravageur.
Lorsqu'un professeur capitulard et timoré cède à ses pulsions séditieuses...
Un homme chargé d'hivers marche dans les ruelles de son enfance. Antonin Chapuisat enseigne la littérature dans un vieux lycée de renom. Sous ses pas, le pavé de Saint-Antoine, près de la Bastille, ne ressemble plus à celui de naguère. Ses effectifs scolaires non plus. Ses classes d'élèves bigarrés et insolents l'insupportent.
La capuche fait mauvais ménage avec le feutre taupé. Insensiblement, il glisse du mauvais côté du balcon. Chez lui, toute espérance est devenue bonsaï. En catimini, il subvertit l'emploi du temps éducatif, permute les auteurs du programme. Ainsi Saint-Exupéry par Henri Béraud, Malraux par Albert Paraz... Son enseignement commence à sentir le soufre. La tête dans le sac, capitulard, munichois des sentiments, insensible aux sensibilités culturelles et religieuses de son auditoire, Chapuisat radicalise ses interventions réactionnaires, culbute le vieil humanisme progressiste.
Ça jase dans les couloirs. Les parents d'élèves se plaignent. Les altercations se multiplient dans les rangs, jusqu'à ce que le drame survienne entre deux collégiens à l'ombre des murailles de Philippe Auguste... Un roman cynique, désabusé, d'un pessimisme ravageur.
La capuche fait mauvais ménage avec le feutre taupé. Insensiblement, il glisse du mauvais côté du balcon. Chez lui, toute espérance est devenue bonsaï. En catimini, il subvertit l'emploi du temps éducatif, permute les auteurs du programme. Ainsi Saint-Exupéry par Henri Béraud, Malraux par Albert Paraz... Son enseignement commence à sentir le soufre. La tête dans le sac, capitulard, munichois des sentiments, insensible aux sensibilités culturelles et religieuses de son auditoire, Chapuisat radicalise ses interventions réactionnaires, culbute le vieil humanisme progressiste.
Ça jase dans les couloirs. Les parents d'élèves se plaignent. Les altercations se multiplient dans les rangs, jusqu'à ce que le drame survienne entre deux collégiens à l'ombre des murailles de Philippe Auguste... Un roman cynique, désabusé, d'un pessimisme ravageur.