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- Nombre de pages256
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.21 kg
- Dimensions12,5 cm × 17,7 cm × 1,2 cm
- ISBN979-10-358-0182-3
- EAN9791035801823
- Date de parution22/08/2018
- CollectionClassicocollège
- ÉditeurCoédition Belin/Gallimard
- Commentateur (texte)Marie-Emilie Papet
- TraducteurJacques Chambon
- TraducteurHenri Robillot
Résumé
Dans une société futuriste cauchemardesque, les pompiers n'éteignent plus les incendies, mais sont chargés de brûler livres et bibliothèques. Un jour, l'un d'entre eux, Guy Montag, découvre le plaisir de la lecture, et entre ainsi en résistance... Une dystopie en forme d'hommage à la littérature, et un grand roman de science-fiction, qui amène à réfléchir sur le pouvoir des médias et les dangers de la censure.
Dans une société futuriste cauchemardesque, les pompiers n'éteignent plus les incendies, mais sont chargés de brûler livres et bibliothèques. Un jour, l'un d'entre eux, Guy Montag, découvre le plaisir de la lecture, et entre ainsi en résistance... Une dystopie en forme d'hommage à la littérature, et un grand roman de science-fiction, qui amène à réfléchir sur le pouvoir des médias et les dangers de la censure.
Avis librairesCommentaires laissés par les libraires
4 Coups de cœur
de nos libraires
Cynthia S.— Decitre Annecy
5/5
“ Flambante dystopie ”
Pourriez-vous imaginer un monde sans livres ?
Un monde où le simple fait d'en posséder un est criminel.
Un monde où les pompiers allument les feux.
Un monde où la population n'imagine plus.
Un monde où les intellectuels disparaissent.
Un monde aliénant, oppressant.
Montag, pompier pyromane, va un jour rencontrer Clarisse, bien moins endormie que tous les autres humains.
Et c'est le début d'une transgression.
Un chef d’œuvre d'anticipation, qui ne perdra jamais de sa puissance !
Pourriez-vous imaginer un monde sans livres ?
Un monde où le simple fait d'en posséder un est criminel.
Un monde où les pompiers allument les feux.
Un monde où la population n'imagine plus.
Un monde où les intellectuels disparaissent.
Un monde aliénant, oppressant.
Montag, pompier pyromane, va un jour rencontrer Clarisse, bien moins endormie que tous les autres humains.
Et c'est le début d'une transgression.
Un chef d’œuvre d'anticipation, qui ne perdra jamais de sa puissance !

Amaury Deshayes— Decitre Annemasse
5/5
“ Farenheit 451 ”
Guy Montag est un pompier, mais dans Farenheit 451(température à laquelle le papier s’enflamme et se consume), les pompiers ont pour mission de brûler les livres ainsi que les maisons de leurs détenteurs. En effet, dans cette société dystopique, la détention de livre est un délit. Il représente une arme dangereuse qui répand la culture, la réflexion, le doute, la tristesse, la joie, le doute, l’esprit critique. Bref, l’instabilité.
Intolérable pour un État qui s’attache à maintenir, par la consommation et les technologies, la société totalement endormie.
La vie de Guy Montag poursuit tranquillement son cours jusqu’à la rencontre de Clarisse. Cette jeune fille va l’amener à réfléchir sur le sens de son existence et le fonctionnement de la société. Bien qu’écrit en 1953, le roman trouve une certaine résonance sur notre époque. Effrayant. Un classique.
Guy Montag est un pompier, mais dans Farenheit 451(température à laquelle le papier s’enflamme et se consume), les pompiers ont pour mission de brûler les livres ainsi que les maisons de leurs détenteurs. En effet, dans cette société dystopique, la détention de livre est un délit. Il représente une arme dangereuse qui répand la culture, la réflexion, le doute, la tristesse, la joie, le doute, l’esprit critique. Bref, l’instabilité.
Intolérable pour un État qui s’attache à maintenir, par la consommation et les technologies, la société totalement endormie.
La vie de Guy Montag poursuit tranquillement son cours jusqu’à la rencontre de Clarisse. Cette jeune fille va l’amener à réfléchir sur le sens de son existence et le fonctionnement de la société. Bien qu’écrit en 1953, le roman trouve une certaine résonance sur notre époque. Effrayant. Un classique.

Charlotte Wn— Decitre Levallois-Perret
5/5
“ UN CLASSIQUE INCONTOURNABLE ”
Écrit dans les années 50, ce roman d'anticipation est intemporel. On le croirait écrit aujourd'hui tant les thèmes abordés répondent à l'actualité.
Un livre à mettre entre toutes les mains.
Écrit dans les années 50, ce roman d'anticipation est intemporel. On le croirait écrit aujourd'hui tant les thèmes abordés répondent à l'actualité.
Un livre à mettre entre toutes les mains.
Avis des lecteursCommentaires laissés par nos lecteurs
4.3/5

4/5
“ Belle histoire ”
Je n'étais pas très emballé à l'idée de lire ce livre, j'ai eu un peu de mal à comprendre pourquoi les pompiers brulaient les maisons..
Mais j'ai très vite compris, en lisant le livre, et je le recommande.
On se met très vite dans la peau de Guy Montag.
Le livre est bien écrit.
Je n'étais pas très emballé à l'idée de lire ce livre, j'ai eu un peu de mal à comprendre pourquoi les pompiers brulaient les maisons..
Mais j'ai très vite compris, en lisant le livre, et je le recommande.
On se met très vite dans la peau de Guy Montag.
Le livre est bien écrit.
- Guy Montag

5/5
“ Classique intemporel ”
Il n'y a pas de plaisir plus intense pour Guy Montag que de voir un livre au bout de son lance-flammes. Pompier d'élite, il a pour tâche de brûler les livres, devenus illégaux car possiblement subversifs. Montag jouit donc du plaisir d'incendier sans se poser de questions, sûr de son bon droit et adhérant totalement aux lois d'une société qui a banni l'écrit et la réflexion au profit du divertissement pur. C'est une voisine fraîchement installée dans son quartier qui va troubler sa sérénité. La jeune fille d'à peine 17 ans lui pose un simple question : "C'est vrai qu'autrefois les pompiers éteignaient le feu au lieu de l'allumer ?". Montag commence par rire de cette aberration, mais la graine du doute s'est plantée dans sa conscience. Le soir quand il rentre chez lui, Clarisse semble l'attendre pour lui faire la conversation, évoquant les joies simples d'une promenade, la contemplation de la lune, parlant des livres qu'il brûle avec de moins en moins de conviction. Il lui semble qu'il communique plus et mieux avec cette inconnue qu'avec l'épouse qu'il retrouve chez lui plantée devant ses écrans géants. Quand elle disparaît soudainement, Montag perd pied et passe dans l'illégalité en cachant des livres.
D'une écriture presque froide, Ray BRADBURY raconte une société futuriste où la lecture est interdite. Synonymes d'un savoir devenu inutile, les livres sont brûlés et leur détention formellement interdite. Ils ne sont pas nombreux ceux qui s'élèvent contre cette loi liberticide. D'autres divertissements bien plus grisants sont venus remplacés l'acte de lire. Dans chaque foyer, les écrans géants déversent des fictions interactives réduites à leur plus simple expression. Partie prenante dans ces scénarios minimaliste, l'individu se grise de bruit et de fureur, croit trouver là une famille. A l'extérieur non plus on ne flâne pas. Se promener est tout aussi répréhensible que lire, on préfère rouler sans limitation de vitesse, parcourir à toute allure des centaines de kilomètres pour se vider la tête. Aucun répit, jamais. Même la nuit, on peut rester connecté grâce à une prothèse auditive. Sans cesse sollicité, l'homme n'a plus le temps pour la réflexion, donc la critique.
Montag, pompier comme son père, aime incendier les bibliothèques. Pourtant, sans qu'il en soit lui-même conscient, il abrite un terreau contestataire. N'a-t-il pas caché un livre dans un conduit d'aération de sa maison ? Début de rébellion ou simple curiosité envers cet objet controversé dont il ignore tout ? Une rencontre va changer le cours de son existence, sa première rencontre avec un être humain doué de raison. En de brèves rencontres, la jeune Clarisse va lui faire entrevoir un autre monde possible, un monde où l'on prendrait le temps de discuter, d'apprendre, de s'émerveiller. Pour Montag, c'est une révélation. Désormais, il veut savoir, connaitre, trouver des réponses et surtout sauver les livres. Hors-la-loi, il fuit sa vie, sa femme, ses collègues et rejoint les hommes-livres, hommes-libres, qui apprennent par coeur le contenu des ouvrages les plus précieux pour en garder une trace malgré les autodafés.
Bien qu'écrit en 1953, Fahrenheit 451 n'a rien perdu de son côté visionnaire. Soixante ans après, les livres sont toujours en danger. C'est par la culture que les sociétés totalitaires asservissent les peuples. En brûlant des livres, en les censurant, les interdisant pour ne montrer que ce qui sert et justifie l'autorité. Les écrans ont bien envahi les foyers : les portables, ordinateurs, tablettes qui remplacent les vraies conversations, les programmes télévisés indigents qui ne nécessitent pas de réfléchir, les informations mises en scène comme des productions hollywoodiennes. La famille évoquée par BRADBURY est étrangement proche des amis que l'on se fait sur les réseaux sociaux : des liens sans profondeur, interchangeables à l'infini.
Une lecture nécessaire, ode à la liberté de penser et bien sûr à la littérature qui en est l'un des vecteurs.
Il n'y a pas de plaisir plus intense pour Guy Montag que de voir un livre au bout de son lance-flammes. Pompier d'élite, il a pour tâche de brûler les livres, devenus illégaux car possiblement subversifs. Montag jouit donc du plaisir d'incendier sans se poser de questions, sûr de son bon droit et adhérant totalement aux lois d'une société qui a banni l'écrit et la réflexion au profit du divertissement pur. C'est une voisine fraîchement installée dans son quartier qui va troubler sa sérénité. La jeune fille d'à peine 17 ans lui pose un simple question : "C'est vrai qu'autrefois les pompiers éteignaient le feu au lieu de l'allumer ?". Montag commence par rire de cette aberration, mais la graine du doute s'est plantée dans sa conscience. Le soir quand il rentre chez lui, Clarisse semble l'attendre pour lui faire la conversation, évoquant les joies simples d'une promenade, la contemplation de la lune, parlant des livres qu'il brûle avec de moins en moins de conviction. Il lui semble qu'il communique plus et mieux avec cette inconnue qu'avec l'épouse qu'il retrouve chez lui plantée devant ses écrans géants. Quand elle disparaît soudainement, Montag perd pied et passe dans l'illégalité en cachant des livres.
D'une écriture presque froide, Ray BRADBURY raconte une société futuriste où la lecture est interdite. Synonymes d'un savoir devenu inutile, les livres sont brûlés et leur détention formellement interdite. Ils ne sont pas nombreux ceux qui s'élèvent contre cette loi liberticide. D'autres divertissements bien plus grisants sont venus remplacés l'acte de lire. Dans chaque foyer, les écrans géants déversent des fictions interactives réduites à leur plus simple expression. Partie prenante dans ces scénarios minimaliste, l'individu se grise de bruit et de fureur, croit trouver là une famille. A l'extérieur non plus on ne flâne pas. Se promener est tout aussi répréhensible que lire, on préfère rouler sans limitation de vitesse, parcourir à toute allure des centaines de kilomètres pour se vider la tête. Aucun répit, jamais. Même la nuit, on peut rester connecté grâce à une prothèse auditive. Sans cesse sollicité, l'homme n'a plus le temps pour la réflexion, donc la critique.
Montag, pompier comme son père, aime incendier les bibliothèques. Pourtant, sans qu'il en soit lui-même conscient, il abrite un terreau contestataire. N'a-t-il pas caché un livre dans un conduit d'aération de sa maison ? Début de rébellion ou simple curiosité envers cet objet controversé dont il ignore tout ? Une rencontre va changer le cours de son existence, sa première rencontre avec un être humain doué de raison. En de brèves rencontres, la jeune Clarisse va lui faire entrevoir un autre monde possible, un monde où l'on prendrait le temps de discuter, d'apprendre, de s'émerveiller. Pour Montag, c'est une révélation. Désormais, il veut savoir, connaitre, trouver des réponses et surtout sauver les livres. Hors-la-loi, il fuit sa vie, sa femme, ses collègues et rejoint les hommes-livres, hommes-libres, qui apprennent par coeur le contenu des ouvrages les plus précieux pour en garder une trace malgré les autodafés.
Bien qu'écrit en 1953, Fahrenheit 451 n'a rien perdu de son côté visionnaire. Soixante ans après, les livres sont toujours en danger. C'est par la culture que les sociétés totalitaires asservissent les peuples. En brûlant des livres, en les censurant, les interdisant pour ne montrer que ce qui sert et justifie l'autorité. Les écrans ont bien envahi les foyers : les portables, ordinateurs, tablettes qui remplacent les vraies conversations, les programmes télévisés indigents qui ne nécessitent pas de réfléchir, les informations mises en scène comme des productions hollywoodiennes. La famille évoquée par BRADBURY est étrangement proche des amis que l'on se fait sur les réseaux sociaux : des liens sans profondeur, interchangeables à l'infini.
Une lecture nécessaire, ode à la liberté de penser et bien sûr à la littérature qui en est l'un des vecteurs.
“ En un extrait ”
Oeuvre magistrale.
Rien ne résumera ou ne critiquera mieux le livre qu'une citation;
"Un livre est un fusil chargé dans la maison d’à côté. Brûlons-le. Déchargeons l’arme[…]
Si vous ne voulez pas qu’un homme se rende malheureux avec de la politique, n’allez pas lui casser la tête en lui proposant deux points de vue sur une question ; proposez-lui-en un seul. Mieux encore, ne lui en proposez aucun. Qu’il oublie jusqu’à l’existence de la guerre. Si le gouvernement est inefficace, pesant, gourmand en matière d’impôt, cela vaut mieux que d’embêter les gens avec ça. La paix, Montag. Proposez des concours où l’on gagne en se souvenant des paroles d’une chanson populaire, du nom de la capitale de tel ou tel état ou de la quantité de maïs récoltée dans l’Iowa l’année précédente. Bourrez les gens de données combustibles, gorgez les de « faits », qu’ils se sentent gavés, mais absolument « brillants » côté information. Ils auront l’impression de penser, ils auront le sentiment du mouvement tout en faisant du sur-place. Et ils seront heureux parce que de tels faits ne changent pas. Ne les engagez pas sur des terrains glissants comme la philosophie ou la sociologie pour relier les choses entre elles. C’est la porte ouverte à la mélancolie. "
Oeuvre magistrale.
Rien ne résumera ou ne critiquera mieux le livre qu'une citation;
"Un livre est un fusil chargé dans la maison d’à côté. Brûlons-le. Déchargeons l’arme[…]
Si vous ne voulez pas qu’un homme se rende malheureux avec de la politique, n’allez pas lui casser la tête en lui proposant deux points de vue sur une question ; proposez-lui-en un seul. Mieux encore, ne lui en proposez aucun. Qu’il oublie jusqu’à l’existence de la guerre. Si le gouvernement est inefficace, pesant, gourmand en matière d’impôt, cela vaut mieux que d’embêter les gens avec ça. La paix, Montag. Proposez des concours où l’on gagne en se souvenant des paroles d’une chanson populaire, du nom de la capitale de tel ou tel état ou de la quantité de maïs récoltée dans l’Iowa l’année précédente. Bourrez les gens de données combustibles, gorgez les de « faits », qu’ils se sentent gavés, mais absolument « brillants » côté information. Ils auront l’impression de penser, ils auront le sentiment du mouvement tout en faisant du sur-place. Et ils seront heureux parce que de tels faits ne changent pas. Ne les engagez pas sur des terrains glissants comme la philosophie ou la sociologie pour relier les choses entre elles. C’est la porte ouverte à la mélancolie. "
- Inattendu
- Futuriste
- Etats-Unis
- Vibrant
- Intriguant
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