Evaluations en placement familial. Démarches normatives ? Valorisation des pratiques ?
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- Nombre de pages144
- FormatPDF
- ISBN2-296-41132-0
- EAN9782296411326
- Date de parution01/09/2005
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille5 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
La loi du 2 janvier 2002 rénovant l'action sociale et médico-sociale impose aux établissements et services une évaluation des activités et de la qualité des prestations, ceci sous deux formes : interne, par les équipes elles-mêmes ; externe, par des organismes accrédités. S'il ne s'agissait que d'évaluer les techniques et les procédures mises en œuvre par les équipes professionnelles, on peut supposer que la question serait réglée depuis longtemps par des grilles normatives faisant plus ou moins accord entre tous.
Ce qui rend les choses plus délicates, c'est que l'évaluation en travail social porte sur des aspects sensibles de la vie sociale (le handicap, la maltraitance, la délinquance...), voire sociétale (l'exclusion, la citoyenneté...) ou politique et culturelle (projet de société, valeurs, références communautaires...). L'évaluation est une " construction sociale " : elle se structure et se conduit en fonction de différentes représentations, en fonction de l'idée que les uns et les autres se font de ce qu'il faudrait évaluer et des objectifs visés.
Les normes construites par le secteur de la production marchande peuvent-elles être transposées aux activités de service social, et plus particulièrement au placement familial d'enfants à protéger ou handicapés ? Le champ de l'action sociale et médico-sociale peut-il se soustraire à cette tendance actuelle qui consiste à soumettre les pratiques au regard public et à l'envahissement de référentiels et de règles concurrentielles ? La diversité des actions, la complexité des interventions permettent-elles de parler d'évaluation au singulier ? Elles incitent à s'ouvrir sur des démarches exigeantes qui prennent le parti de la diversité des approches.
Après avoir réfléchi aux fondamentaux du placement familial lors des journées 2003, l'A.N.P.F. vous propose de mieux cerner l'évaluation telle qu'elle se présente aujourd'hui et d'en comprendre les tenants et les aboutissants.
Ce qui rend les choses plus délicates, c'est que l'évaluation en travail social porte sur des aspects sensibles de la vie sociale (le handicap, la maltraitance, la délinquance...), voire sociétale (l'exclusion, la citoyenneté...) ou politique et culturelle (projet de société, valeurs, références communautaires...). L'évaluation est une " construction sociale " : elle se structure et se conduit en fonction de différentes représentations, en fonction de l'idée que les uns et les autres se font de ce qu'il faudrait évaluer et des objectifs visés.
Les normes construites par le secteur de la production marchande peuvent-elles être transposées aux activités de service social, et plus particulièrement au placement familial d'enfants à protéger ou handicapés ? Le champ de l'action sociale et médico-sociale peut-il se soustraire à cette tendance actuelle qui consiste à soumettre les pratiques au regard public et à l'envahissement de référentiels et de règles concurrentielles ? La diversité des actions, la complexité des interventions permettent-elles de parler d'évaluation au singulier ? Elles incitent à s'ouvrir sur des démarches exigeantes qui prennent le parti de la diversité des approches.
Après avoir réfléchi aux fondamentaux du placement familial lors des journées 2003, l'A.N.P.F. vous propose de mieux cerner l'évaluation telle qu'elle se présente aujourd'hui et d'en comprendre les tenants et les aboutissants.
La loi du 2 janvier 2002 rénovant l'action sociale et médico-sociale impose aux établissements et services une évaluation des activités et de la qualité des prestations, ceci sous deux formes : interne, par les équipes elles-mêmes ; externe, par des organismes accrédités. S'il ne s'agissait que d'évaluer les techniques et les procédures mises en œuvre par les équipes professionnelles, on peut supposer que la question serait réglée depuis longtemps par des grilles normatives faisant plus ou moins accord entre tous.
Ce qui rend les choses plus délicates, c'est que l'évaluation en travail social porte sur des aspects sensibles de la vie sociale (le handicap, la maltraitance, la délinquance...), voire sociétale (l'exclusion, la citoyenneté...) ou politique et culturelle (projet de société, valeurs, références communautaires...). L'évaluation est une " construction sociale " : elle se structure et se conduit en fonction de différentes représentations, en fonction de l'idée que les uns et les autres se font de ce qu'il faudrait évaluer et des objectifs visés.
Les normes construites par le secteur de la production marchande peuvent-elles être transposées aux activités de service social, et plus particulièrement au placement familial d'enfants à protéger ou handicapés ? Le champ de l'action sociale et médico-sociale peut-il se soustraire à cette tendance actuelle qui consiste à soumettre les pratiques au regard public et à l'envahissement de référentiels et de règles concurrentielles ? La diversité des actions, la complexité des interventions permettent-elles de parler d'évaluation au singulier ? Elles incitent à s'ouvrir sur des démarches exigeantes qui prennent le parti de la diversité des approches.
Après avoir réfléchi aux fondamentaux du placement familial lors des journées 2003, l'A.N.P.F. vous propose de mieux cerner l'évaluation telle qu'elle se présente aujourd'hui et d'en comprendre les tenants et les aboutissants.
Ce qui rend les choses plus délicates, c'est que l'évaluation en travail social porte sur des aspects sensibles de la vie sociale (le handicap, la maltraitance, la délinquance...), voire sociétale (l'exclusion, la citoyenneté...) ou politique et culturelle (projet de société, valeurs, références communautaires...). L'évaluation est une " construction sociale " : elle se structure et se conduit en fonction de différentes représentations, en fonction de l'idée que les uns et les autres se font de ce qu'il faudrait évaluer et des objectifs visés.
Les normes construites par le secteur de la production marchande peuvent-elles être transposées aux activités de service social, et plus particulièrement au placement familial d'enfants à protéger ou handicapés ? Le champ de l'action sociale et médico-sociale peut-il se soustraire à cette tendance actuelle qui consiste à soumettre les pratiques au regard public et à l'envahissement de référentiels et de règles concurrentielles ? La diversité des actions, la complexité des interventions permettent-elles de parler d'évaluation au singulier ? Elles incitent à s'ouvrir sur des démarches exigeantes qui prennent le parti de la diversité des approches.
Après avoir réfléchi aux fondamentaux du placement familial lors des journées 2003, l'A.N.P.F. vous propose de mieux cerner l'évaluation telle qu'elle se présente aujourd'hui et d'en comprendre les tenants et les aboutissants.