En cours de chargement...
Ça commence par la mort d'un chien, par des bruits de pas étouffés, par la confiscation de livres. Par le sac de la National Gallery, purgée de ses ouvres. Puis viennent les miradors, érigés pour surveiller les côtes, et des hommes armés, qui parcourent les campagnes en détruisant chaque ouvre d'art qu'ils dénichent. et ceux qui cherchent à les protéger. Ils capturent les dissidents - les écrivains, les peintres, les musiciens et même les célibataires et les couples sans enfants - lors de vastes rafles.
Ils veulent soigner la société des personnalités subversives. Mais quelques survivants ont réussi à fonder en secret un havre de paix pour les réfugiés culturels, leur permettant de préserver leur art, de créer, d'aimer et de se souvenir. Du moins, jusqu'à ce qu'on les découvre, ou qu'on les dénonce. Traduit de l'anglais par Patrick Imbert.
Bon recueil de nouvelles
Ça n'est pas évident au premier abord mais il s'agit d'un recueil de textes, et non de chapitres qui se suivent. Ce n'était pas très clair pour moi !
Passé ce moment de flottement, j'ai plutôt apprécié ce livre, bien que j'ai pu trouver cela un peu plat par moment, il y a une légère ambiance de tension tout du long mais je ne suis pas arrivée à identifier correctement les messages que voulait nous faire passer l'auteur.