Nouveauté
Etudes d'histoire du droit et des idées politiques N° 35
L'évolution de la lettre de change pendant la seconde modernité. Etude conjointe des actes de la pratique, des réglementations royales et des discours à travers le port de Bordeaux (1673-1789)
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- Nombre de pages855
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-37928-138-9
- EAN9782379281389
- Date de parution25/09/2025
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPresses de l’Université Toulouse...
- PréfacierLuisa Brunori
- PréfacierXavier Prévost
Résumé
L'histoire de la lettre de change reflète l'émergence d'une innovation commerciale pour élaborer un instrument de paiement, de crédit et de spéculation sans déplacement matériel de l'argent. La traite apparaît ainsi dès la fin du Moyen Âge et devient rapidement un moyen incontournable pour le commerce sur de longues distances. Elle connaît son apogée sous l'influence des échanges transatlantiques et européens à partir du XVIe siècle, notamment avec la technique de I'endossement.
L'instrument cambiaire gagne alors progressivement les traits d'une monnaie fiduciaire auxiliaire pour répondre aux transactions quotidiennes tout en contribuant à de vastes mouvements spéculatifs au service du capitalisme commercial naissant. La consolidation des principales caractéristiques de la lettre de change demeure néanmoins méconnue pour les XVIIe et XVIIIe siècles. L'évolution des opérations cambiaires soulève de nouveaux défis, des problématiques inédites à la fois dans le domaine juridique et économique.
L'influence de secteurs d'activités diversifiés, l'apparition de règlementations publiques particulièrement ambitieuses et les transformations de la science juridique impliquent des relations particulièrement complexes entre le droit et les affaires, relations dont les contours restent encore à déterminer. L'étude conjointe des actes de la pratique, des règlementations royales et des discours sur la question cambiaire permet d'apporter de nouveaux éclaircissements à cet égard.
Elle offre une visibilité plus large sur le sujet grâce à la mobilisation de sources multiples et complémentaires dans le cadre d'une approche interdisciplinaire. L'activité commerciale de Bordeaux, l'un des principaux ports français de la seconde modernité, offre un terreau fertile pour révéler la présence de situations dialogiques, de tensions ou d'ignorances qui concourent selon différentes configurations à la consécration des singularités essentielles du droit cambiaire selon des influences locales, « nationales », mais aussi européennes.
L'instrument cambiaire gagne alors progressivement les traits d'une monnaie fiduciaire auxiliaire pour répondre aux transactions quotidiennes tout en contribuant à de vastes mouvements spéculatifs au service du capitalisme commercial naissant. La consolidation des principales caractéristiques de la lettre de change demeure néanmoins méconnue pour les XVIIe et XVIIIe siècles. L'évolution des opérations cambiaires soulève de nouveaux défis, des problématiques inédites à la fois dans le domaine juridique et économique.
L'influence de secteurs d'activités diversifiés, l'apparition de règlementations publiques particulièrement ambitieuses et les transformations de la science juridique impliquent des relations particulièrement complexes entre le droit et les affaires, relations dont les contours restent encore à déterminer. L'étude conjointe des actes de la pratique, des règlementations royales et des discours sur la question cambiaire permet d'apporter de nouveaux éclaircissements à cet égard.
Elle offre une visibilité plus large sur le sujet grâce à la mobilisation de sources multiples et complémentaires dans le cadre d'une approche interdisciplinaire. L'activité commerciale de Bordeaux, l'un des principaux ports français de la seconde modernité, offre un terreau fertile pour révéler la présence de situations dialogiques, de tensions ou d'ignorances qui concourent selon différentes configurations à la consécration des singularités essentielles du droit cambiaire selon des influences locales, « nationales », mais aussi européennes.
L'histoire de la lettre de change reflète l'émergence d'une innovation commerciale pour élaborer un instrument de paiement, de crédit et de spéculation sans déplacement matériel de l'argent. La traite apparaît ainsi dès la fin du Moyen Âge et devient rapidement un moyen incontournable pour le commerce sur de longues distances. Elle connaît son apogée sous l'influence des échanges transatlantiques et européens à partir du XVIe siècle, notamment avec la technique de I'endossement.
L'instrument cambiaire gagne alors progressivement les traits d'une monnaie fiduciaire auxiliaire pour répondre aux transactions quotidiennes tout en contribuant à de vastes mouvements spéculatifs au service du capitalisme commercial naissant. La consolidation des principales caractéristiques de la lettre de change demeure néanmoins méconnue pour les XVIIe et XVIIIe siècles. L'évolution des opérations cambiaires soulève de nouveaux défis, des problématiques inédites à la fois dans le domaine juridique et économique.
L'influence de secteurs d'activités diversifiés, l'apparition de règlementations publiques particulièrement ambitieuses et les transformations de la science juridique impliquent des relations particulièrement complexes entre le droit et les affaires, relations dont les contours restent encore à déterminer. L'étude conjointe des actes de la pratique, des règlementations royales et des discours sur la question cambiaire permet d'apporter de nouveaux éclaircissements à cet égard.
Elle offre une visibilité plus large sur le sujet grâce à la mobilisation de sources multiples et complémentaires dans le cadre d'une approche interdisciplinaire. L'activité commerciale de Bordeaux, l'un des principaux ports français de la seconde modernité, offre un terreau fertile pour révéler la présence de situations dialogiques, de tensions ou d'ignorances qui concourent selon différentes configurations à la consécration des singularités essentielles du droit cambiaire selon des influences locales, « nationales », mais aussi européennes.
L'instrument cambiaire gagne alors progressivement les traits d'une monnaie fiduciaire auxiliaire pour répondre aux transactions quotidiennes tout en contribuant à de vastes mouvements spéculatifs au service du capitalisme commercial naissant. La consolidation des principales caractéristiques de la lettre de change demeure néanmoins méconnue pour les XVIIe et XVIIIe siècles. L'évolution des opérations cambiaires soulève de nouveaux défis, des problématiques inédites à la fois dans le domaine juridique et économique.
L'influence de secteurs d'activités diversifiés, l'apparition de règlementations publiques particulièrement ambitieuses et les transformations de la science juridique impliquent des relations particulièrement complexes entre le droit et les affaires, relations dont les contours restent encore à déterminer. L'étude conjointe des actes de la pratique, des règlementations royales et des discours sur la question cambiaire permet d'apporter de nouveaux éclaircissements à cet égard.
Elle offre une visibilité plus large sur le sujet grâce à la mobilisation de sources multiples et complémentaires dans le cadre d'une approche interdisciplinaire. L'activité commerciale de Bordeaux, l'un des principaux ports français de la seconde modernité, offre un terreau fertile pour révéler la présence de situations dialogiques, de tensions ou d'ignorances qui concourent selon différentes configurations à la consécration des singularités essentielles du droit cambiaire selon des influences locales, « nationales », mais aussi européennes.