Etincelles d'humanité. Chroniques
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- Nombre de pages230
- FormatePub
- ISBN978-2-251-92026-9
- EAN9782251920269
- Date de parution13/09/2024
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLes Belles Lettres
- TraducteurAnne Plantagenet
Résumé
Il faut que tout change pour que rien ne change. C'est ce qu'Irene Vallejo, dans ces brèves chroniques, pointe avec son savoir de philologue, sa plume sans pareille et son ironie aimable. Convoquant voix et mythes du passé, elle décrypte en virtuose notre époque : clientélisme, exhibitionnisme des réseaux sociaux, oisiveté, indignés, impunité, fragile démocratie, expérience du chagrin ou autres idées contagieuses, sans oublier les ingrédients du bonheur.
Elle questionne les tristesses et les espoirs qui peuplent notre quotidien, avec sa générosité et son désir de comprendre, et nous fait entrevoir cette permanence des choses comme des êtres qui engage notre avenir : les idées changent de peau pour continuer de palpiter : c'est l'art d'unir des univers, une tâche accomplie en coulisses, dans la pénombre. La proximité des êtres humains, au-delà du temps qui passe, voilà ce à quoi ces instantanés situés mais intemporels nous invitent à réfléchir.
La Bruyère appelait cela des Caractères. Irene Vallejo leur donne le nom d'Étincelles : il est, encore et toujours, nécessaire de souffler sur la flamme pour bien distinguer la misère et la grandeur du genre humain.
Elle questionne les tristesses et les espoirs qui peuplent notre quotidien, avec sa générosité et son désir de comprendre, et nous fait entrevoir cette permanence des choses comme des êtres qui engage notre avenir : les idées changent de peau pour continuer de palpiter : c'est l'art d'unir des univers, une tâche accomplie en coulisses, dans la pénombre. La proximité des êtres humains, au-delà du temps qui passe, voilà ce à quoi ces instantanés situés mais intemporels nous invitent à réfléchir.
La Bruyère appelait cela des Caractères. Irene Vallejo leur donne le nom d'Étincelles : il est, encore et toujours, nécessaire de souffler sur la flamme pour bien distinguer la misère et la grandeur du genre humain.
Il faut que tout change pour que rien ne change. C'est ce qu'Irene Vallejo, dans ces brèves chroniques, pointe avec son savoir de philologue, sa plume sans pareille et son ironie aimable. Convoquant voix et mythes du passé, elle décrypte en virtuose notre époque : clientélisme, exhibitionnisme des réseaux sociaux, oisiveté, indignés, impunité, fragile démocratie, expérience du chagrin ou autres idées contagieuses, sans oublier les ingrédients du bonheur.
Elle questionne les tristesses et les espoirs qui peuplent notre quotidien, avec sa générosité et son désir de comprendre, et nous fait entrevoir cette permanence des choses comme des êtres qui engage notre avenir : les idées changent de peau pour continuer de palpiter : c'est l'art d'unir des univers, une tâche accomplie en coulisses, dans la pénombre. La proximité des êtres humains, au-delà du temps qui passe, voilà ce à quoi ces instantanés situés mais intemporels nous invitent à réfléchir.
La Bruyère appelait cela des Caractères. Irene Vallejo leur donne le nom d'Étincelles : il est, encore et toujours, nécessaire de souffler sur la flamme pour bien distinguer la misère et la grandeur du genre humain.
Elle questionne les tristesses et les espoirs qui peuplent notre quotidien, avec sa générosité et son désir de comprendre, et nous fait entrevoir cette permanence des choses comme des êtres qui engage notre avenir : les idées changent de peau pour continuer de palpiter : c'est l'art d'unir des univers, une tâche accomplie en coulisses, dans la pénombre. La proximité des êtres humains, au-delà du temps qui passe, voilà ce à quoi ces instantanés situés mais intemporels nous invitent à réfléchir.
La Bruyère appelait cela des Caractères. Irene Vallejo leur donne le nom d'Étincelles : il est, encore et toujours, nécessaire de souffler sur la flamme pour bien distinguer la misère et la grandeur du genre humain.