ETHIQUE ET MODERNITE.. Tome 5, Ethique du partage
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- Nombre de pages120
- FormatePub
- ISBN978-2-7492-6024-2
- EAN9782749260242
- Date de parution24/10/2018
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEres
Résumé
Entre la chute des idéologies, le recul des religions et la complète absence de toute connotation éthique ou morale de I'économisme dominant, l'homme de la dernière modernité est en quête de sens. Mais fournir des indications utilisables pour bâtir une nouvelle éthique, tenant compte des caractéristiques de la modernité, implique un important travail de déblayage auquel s'attelle l'auteur, au fil des cinq tomes d'Ethique et modernité (1.
Le cadre d'une nouvelle éthique ; 2. Ethique du travail et de la production ; 3. La bataille des éthiques ; 4. Athéisme et religion ; 5. Ethique du partage). ATHÉISME ET RELIGION (Ethique et modernité 5) Le partage (de la richesse, du pouvoir, de la pensée) est aujourd'hui la seule perspective acceptable. Non par charité ou parce que la loi l'ordonnerait mais parce que ce sera bientôt la seule possibilité de survie.
C'est par le partage du pouvoir que le partage de la richesse pourra s'opérer. La première tâche de l'éthique doit être d'organiser le partage du pouvoir au même échelon que l'économie, soit à l'échelon mondial. Le modèle proposé ici n'est pas dictatorial, il est au contraire le plus démocratique qui soit. ll ne s'agit pas de déboucher sur une dictature des exclus comme on prônait autrefois une dictature du prolétariat.
Simplement, tout pouvoir doit être contrôlé par un autre I pouvoir qui lui fait face. La nouvelle éthique est une éthique de l'équilibre. Qu'elle débouche sur un projet politique n'est pas une dérive, mais une preuve de réalisme.
Le cadre d'une nouvelle éthique ; 2. Ethique du travail et de la production ; 3. La bataille des éthiques ; 4. Athéisme et religion ; 5. Ethique du partage). ATHÉISME ET RELIGION (Ethique et modernité 5) Le partage (de la richesse, du pouvoir, de la pensée) est aujourd'hui la seule perspective acceptable. Non par charité ou parce que la loi l'ordonnerait mais parce que ce sera bientôt la seule possibilité de survie.
C'est par le partage du pouvoir que le partage de la richesse pourra s'opérer. La première tâche de l'éthique doit être d'organiser le partage du pouvoir au même échelon que l'économie, soit à l'échelon mondial. Le modèle proposé ici n'est pas dictatorial, il est au contraire le plus démocratique qui soit. ll ne s'agit pas de déboucher sur une dictature des exclus comme on prônait autrefois une dictature du prolétariat.
Simplement, tout pouvoir doit être contrôlé par un autre I pouvoir qui lui fait face. La nouvelle éthique est une éthique de l'équilibre. Qu'elle débouche sur un projet politique n'est pas une dérive, mais une preuve de réalisme.
Entre la chute des idéologies, le recul des religions et la complète absence de toute connotation éthique ou morale de I'économisme dominant, l'homme de la dernière modernité est en quête de sens. Mais fournir des indications utilisables pour bâtir une nouvelle éthique, tenant compte des caractéristiques de la modernité, implique un important travail de déblayage auquel s'attelle l'auteur, au fil des cinq tomes d'Ethique et modernité (1.
Le cadre d'une nouvelle éthique ; 2. Ethique du travail et de la production ; 3. La bataille des éthiques ; 4. Athéisme et religion ; 5. Ethique du partage). ATHÉISME ET RELIGION (Ethique et modernité 5) Le partage (de la richesse, du pouvoir, de la pensée) est aujourd'hui la seule perspective acceptable. Non par charité ou parce que la loi l'ordonnerait mais parce que ce sera bientôt la seule possibilité de survie.
C'est par le partage du pouvoir que le partage de la richesse pourra s'opérer. La première tâche de l'éthique doit être d'organiser le partage du pouvoir au même échelon que l'économie, soit à l'échelon mondial. Le modèle proposé ici n'est pas dictatorial, il est au contraire le plus démocratique qui soit. ll ne s'agit pas de déboucher sur une dictature des exclus comme on prônait autrefois une dictature du prolétariat.
Simplement, tout pouvoir doit être contrôlé par un autre I pouvoir qui lui fait face. La nouvelle éthique est une éthique de l'équilibre. Qu'elle débouche sur un projet politique n'est pas une dérive, mais une preuve de réalisme.
Le cadre d'une nouvelle éthique ; 2. Ethique du travail et de la production ; 3. La bataille des éthiques ; 4. Athéisme et religion ; 5. Ethique du partage). ATHÉISME ET RELIGION (Ethique et modernité 5) Le partage (de la richesse, du pouvoir, de la pensée) est aujourd'hui la seule perspective acceptable. Non par charité ou parce que la loi l'ordonnerait mais parce que ce sera bientôt la seule possibilité de survie.
C'est par le partage du pouvoir que le partage de la richesse pourra s'opérer. La première tâche de l'éthique doit être d'organiser le partage du pouvoir au même échelon que l'économie, soit à l'échelon mondial. Le modèle proposé ici n'est pas dictatorial, il est au contraire le plus démocratique qui soit. ll ne s'agit pas de déboucher sur une dictature des exclus comme on prônait autrefois une dictature du prolétariat.
Simplement, tout pouvoir doit être contrôlé par un autre I pouvoir qui lui fait face. La nouvelle éthique est une éthique de l'équilibre. Qu'elle débouche sur un projet politique n'est pas une dérive, mais une preuve de réalisme.