Ethique du refus. Une geste politique

Par : Christian Savès

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  • Nombre de pages160
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-46490-2
  • EAN9782296464902
  • Date de parution01/09/2011
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

L'acte de penser a souvent conduit les hommes au refus. Il est vrai que le refus reste le propre de l'homme, son signe distinctif. Refuser, c'est affirmer son "être au monde" par une forme de négation qui est aussi (et surtout) une affirmation existentielle. Le refus exprime cette attitude qui pousse l'homme à penser que les choses peuvent et doivent être autrement, nécessairement autrement. Au terme d'un cheminement intérieur, il est ce qui permet à l'être de se réconcilier avec lui-même et avec le monde.
Parce qu'il est le produit d'une expérience humaine, transformée en conscience, le refus s'impose également comme le produit d'une exigence éthique. Plus que cela, il est en soi une éthique. Il y a une éthique du refus, a fortiori dans la sphère politique, aiguillant les esprits et les comportements. Si on ne fait pas de politique avec la morale, on n'en fait pas davantage sans. Le refus est une aventure, une geste politique, une insurrection de la conscience qui fait l'effort de se penser dans un monde tourmenté et implacable.
Il est, tout à la fois, sagesse et déraison. Le refus, c'est la vie...
L'acte de penser a souvent conduit les hommes au refus. Il est vrai que le refus reste le propre de l'homme, son signe distinctif. Refuser, c'est affirmer son "être au monde" par une forme de négation qui est aussi (et surtout) une affirmation existentielle. Le refus exprime cette attitude qui pousse l'homme à penser que les choses peuvent et doivent être autrement, nécessairement autrement. Au terme d'un cheminement intérieur, il est ce qui permet à l'être de se réconcilier avec lui-même et avec le monde.
Parce qu'il est le produit d'une expérience humaine, transformée en conscience, le refus s'impose également comme le produit d'une exigence éthique. Plus que cela, il est en soi une éthique. Il y a une éthique du refus, a fortiori dans la sphère politique, aiguillant les esprits et les comportements. Si on ne fait pas de politique avec la morale, on n'en fait pas davantage sans. Le refus est une aventure, une geste politique, une insurrection de la conscience qui fait l'effort de se penser dans un monde tourmenté et implacable.
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