Et mon fantôme en rit encore. Carnet d’un écrivain - Journal 1892-1944
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- Nombre de pages424
- FormatePub
- ISBN978-2-251-91970-6
- EAN9782251919706
- Date de parution05/04/2024
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLes Belles Lettres
- TraducteurCorinne Derblum
- PréfacierSamuel Brussell
Résumé
« Il m'aurait paru impertinent de faire paraître un tel livre alors que j'étais en pleine activité littéraire ; j'aurais eu l'air de m'attribuer une importance offensante pour mes confrères ; mais je suis un vieillard, désormais, et ne puis être un rival pour personne car je me suis retiré du tumulte et de la confusion pour m'installer dans une retraite confortable. » Lorsqu'il publie ses Carnets, en 1949, Somerset Maugham est au faîte de sa carrière d'écrivain.
Durant plus d'un demi-siècle, de 1892 à 1944, il a consigné dans ces pages les analyses les plus lucides et les plus féroces sur la société post-victorienne, sur lui-même et sur son oeuvre. Il n'a plus rien à perdre et se livre à un règlement de comptes très anglais avec le milieu littéraire de son époque. Somerset Maugham excelle dans la confession.
Durant plus d'un demi-siècle, de 1892 à 1944, il a consigné dans ces pages les analyses les plus lucides et les plus féroces sur la société post-victorienne, sur lui-même et sur son oeuvre. Il n'a plus rien à perdre et se livre à un règlement de comptes très anglais avec le milieu littéraire de son époque. Somerset Maugham excelle dans la confession.
« Il m'aurait paru impertinent de faire paraître un tel livre alors que j'étais en pleine activité littéraire ; j'aurais eu l'air de m'attribuer une importance offensante pour mes confrères ; mais je suis un vieillard, désormais, et ne puis être un rival pour personne car je me suis retiré du tumulte et de la confusion pour m'installer dans une retraite confortable. » Lorsqu'il publie ses Carnets, en 1949, Somerset Maugham est au faîte de sa carrière d'écrivain.
Durant plus d'un demi-siècle, de 1892 à 1944, il a consigné dans ces pages les analyses les plus lucides et les plus féroces sur la société post-victorienne, sur lui-même et sur son oeuvre. Il n'a plus rien à perdre et se livre à un règlement de comptes très anglais avec le milieu littéraire de son époque. Somerset Maugham excelle dans la confession.
Durant plus d'un demi-siècle, de 1892 à 1944, il a consigné dans ces pages les analyses les plus lucides et les plus féroces sur la société post-victorienne, sur lui-même et sur son oeuvre. Il n'a plus rien à perdre et se livre à un règlement de comptes très anglais avec le milieu littéraire de son époque. Somerset Maugham excelle dans la confession.