Et le peuple eut soif. Lettre à celles et ceux qui ne sont pas indifférents à l'avenir de la trad
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- Nombre de pages160
- FormatePub
- ISBN978-2-227-49952-2
- EAN9782227499522
- Date de parution06/01/2021
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille451 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurBayard
Résumé
Le grand théologien Christoph Theobald écrit ce texte comme on jette une bouteille à la mer. Il s'adresse à ceux qui ne sont pas indifférents au christianisme, mais qui se sont éloignés de l'Église et de la tradition chrétienne. Dans cette méditation d'une grande puissance théologique, il affirme que la pandémie, en creusant un manque, a pu faire naître une soif spirituelle. En nous tournant vers les textes bibliques, nous trouvons une aide pour désigner ce qui nous manque : l'énergie intérieure pour oeuvrer pour l'avenir, en faveur d'une vie humaine digne de ce nom sur une planète terre gardée habitable.
Il en appelle à une « mystique de la fraternité », pour adopter la seule attitude possible pour les chrétiens : accepter l'incertitude par rapport à l'avenir et en faire un lieu de confiance, à la suite de Jésus. Il rappelle la nécessité de l'Église, mais interroge : comment la rejoindre si elle se défend en tant qu'institution et ne parvient plus à annoncer l'Évangile de telle manière qu'il puisse rejoindre les coeurs humains ? L'auteur nous enjoint à ne pas oublier l'art de Jésus et de ses disciples d'ouvrir les « portes » grâce à leur manière de se rendre proches de leurs contemporains.
Ainsi, l'Église, en proie à une terrible crise, pourrait retrouver sa capacité à faire que l'Évangile rejoigne les coeurs de nos contemporains, en revenant à un travail de proximité, surtout auprès des plus nécessiteux. Un texte magnifique, qui résonne longtemps après sa lecture et amène tout lecteur, chrétien ou pas, à une introspection positive.
Il en appelle à une « mystique de la fraternité », pour adopter la seule attitude possible pour les chrétiens : accepter l'incertitude par rapport à l'avenir et en faire un lieu de confiance, à la suite de Jésus. Il rappelle la nécessité de l'Église, mais interroge : comment la rejoindre si elle se défend en tant qu'institution et ne parvient plus à annoncer l'Évangile de telle manière qu'il puisse rejoindre les coeurs humains ? L'auteur nous enjoint à ne pas oublier l'art de Jésus et de ses disciples d'ouvrir les « portes » grâce à leur manière de se rendre proches de leurs contemporains.
Ainsi, l'Église, en proie à une terrible crise, pourrait retrouver sa capacité à faire que l'Évangile rejoigne les coeurs de nos contemporains, en revenant à un travail de proximité, surtout auprès des plus nécessiteux. Un texte magnifique, qui résonne longtemps après sa lecture et amène tout lecteur, chrétien ou pas, à une introspection positive.
Le grand théologien Christoph Theobald écrit ce texte comme on jette une bouteille à la mer. Il s'adresse à ceux qui ne sont pas indifférents au christianisme, mais qui se sont éloignés de l'Église et de la tradition chrétienne. Dans cette méditation d'une grande puissance théologique, il affirme que la pandémie, en creusant un manque, a pu faire naître une soif spirituelle. En nous tournant vers les textes bibliques, nous trouvons une aide pour désigner ce qui nous manque : l'énergie intérieure pour oeuvrer pour l'avenir, en faveur d'une vie humaine digne de ce nom sur une planète terre gardée habitable.
Il en appelle à une « mystique de la fraternité », pour adopter la seule attitude possible pour les chrétiens : accepter l'incertitude par rapport à l'avenir et en faire un lieu de confiance, à la suite de Jésus. Il rappelle la nécessité de l'Église, mais interroge : comment la rejoindre si elle se défend en tant qu'institution et ne parvient plus à annoncer l'Évangile de telle manière qu'il puisse rejoindre les coeurs humains ? L'auteur nous enjoint à ne pas oublier l'art de Jésus et de ses disciples d'ouvrir les « portes » grâce à leur manière de se rendre proches de leurs contemporains.
Ainsi, l'Église, en proie à une terrible crise, pourrait retrouver sa capacité à faire que l'Évangile rejoigne les coeurs de nos contemporains, en revenant à un travail de proximité, surtout auprès des plus nécessiteux. Un texte magnifique, qui résonne longtemps après sa lecture et amène tout lecteur, chrétien ou pas, à une introspection positive.
Il en appelle à une « mystique de la fraternité », pour adopter la seule attitude possible pour les chrétiens : accepter l'incertitude par rapport à l'avenir et en faire un lieu de confiance, à la suite de Jésus. Il rappelle la nécessité de l'Église, mais interroge : comment la rejoindre si elle se défend en tant qu'institution et ne parvient plus à annoncer l'Évangile de telle manière qu'il puisse rejoindre les coeurs humains ? L'auteur nous enjoint à ne pas oublier l'art de Jésus et de ses disciples d'ouvrir les « portes » grâce à leur manière de se rendre proches de leurs contemporains.
Ainsi, l'Église, en proie à une terrible crise, pourrait retrouver sa capacité à faire que l'Évangile rejoigne les coeurs de nos contemporains, en revenant à un travail de proximité, surtout auprès des plus nécessiteux. Un texte magnifique, qui résonne longtemps après sa lecture et amène tout lecteur, chrétien ou pas, à une introspection positive.