Et j'ai entendu les vieux dragons battre sous la peau

Par : Territoires
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages113
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-89419-629-8
  • EAN9782894196298
  • Date de parution10/10/2017
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurÉditions Les Herbes rouges

Résumé

Et j'ai entendu les vieux dragons battre sous la peau Entre colère et ironie, c'est à l'exultation que nous convie ce long poème. Prônant le cataclysme de l'amour, défiant toute forme de sécurité, celui qui dit je ramène le moi à ses sources. Tourné vers ce qui bouleverse, le garçon turbulent choisit de trembler, de tomber, d'aller à corps perdu pour faire jaillir l'émotion dans l'attaque, le déchirement. Et j'ai entendu les vieux dragons battre sous la peau : un excès du réel, un talent imprévu, un vertige essentiel. Voilà Il ne sert à rien de vouloir nier l'évidence : « nous ne savons pas vivre ».
Et puisque « je suis né d'une traite », le poème s'accomplit de même, dans une coulée unique, haletante, accrochant au passage les débris d'un amour, ceux de la mémoire et de l'oubli. Et lorsqu'il ne reste que le muscle de vivre, « je continue », car on le sait, « c'est un poème de vivre encore ».
Et j'ai entendu les vieux dragons battre sous la peau Entre colère et ironie, c'est à l'exultation que nous convie ce long poème. Prônant le cataclysme de l'amour, défiant toute forme de sécurité, celui qui dit je ramène le moi à ses sources. Tourné vers ce qui bouleverse, le garçon turbulent choisit de trembler, de tomber, d'aller à corps perdu pour faire jaillir l'émotion dans l'attaque, le déchirement. Et j'ai entendu les vieux dragons battre sous la peau : un excès du réel, un talent imprévu, un vertige essentiel. Voilà Il ne sert à rien de vouloir nier l'évidence : « nous ne savons pas vivre ».
Et puisque « je suis né d'une traite », le poème s'accomplit de même, dans une coulée unique, haletante, accrochant au passage les débris d'un amour, ceux de la mémoire et de l'oubli. Et lorsqu'il ne reste que le muscle de vivre, « je continue », car on le sait, « c'est un poème de vivre encore ».