Et j'ai entendu les vieux dragons battre sous la peau
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- Nombre de pages113
- FormatPDF
- ISBN978-2-89419-629-8
- EAN9782894196298
- Date de parution10/10/2017
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurÉditions Les Herbes rouges
Résumé
Et j'ai entendu les vieux dragons battre sous la peau
Entre colère et ironie, c'est à l'exultation que nous convie ce long poème. Prônant le cataclysme de l'amour, défiant toute forme de sécurité, celui qui dit je ramène le moi à ses sources. Tourné vers ce qui bouleverse, le garçon turbulent choisit de trembler, de tomber, d'aller à corps perdu pour faire jaillir l'émotion dans l'attaque, le déchirement.
Et j'ai entendu les vieux dragons battre sous la peau : un excès du réel, un talent imprévu, un
vertige essentiel.
Voilà
Il ne sert à rien de vouloir nier l'évidence : « nous ne savons pas vivre ».
Et puisque « je suis né d'une traite », le poème s'accomplit de même, dans une coulée unique, haletante, accrochant au passage les débris d'un amour, ceux de la mémoire et de l'oubli. Et lorsqu'il ne reste que le muscle de vivre, « je continue », car on le sait, « c'est un poème de vivre encore ».
Et puisque « je suis né d'une traite », le poème s'accomplit de même, dans une coulée unique, haletante, accrochant au passage les débris d'un amour, ceux de la mémoire et de l'oubli. Et lorsqu'il ne reste que le muscle de vivre, « je continue », car on le sait, « c'est un poème de vivre encore ».
Et j'ai entendu les vieux dragons battre sous la peau
Entre colère et ironie, c'est à l'exultation que nous convie ce long poème. Prônant le cataclysme de l'amour, défiant toute forme de sécurité, celui qui dit je ramène le moi à ses sources. Tourné vers ce qui bouleverse, le garçon turbulent choisit de trembler, de tomber, d'aller à corps perdu pour faire jaillir l'émotion dans l'attaque, le déchirement.
Et j'ai entendu les vieux dragons battre sous la peau : un excès du réel, un talent imprévu, un
vertige essentiel.
Voilà
Il ne sert à rien de vouloir nier l'évidence : « nous ne savons pas vivre ».
Et puisque « je suis né d'une traite », le poème s'accomplit de même, dans une coulée unique, haletante, accrochant au passage les débris d'un amour, ceux de la mémoire et de l'oubli. Et lorsqu'il ne reste que le muscle de vivre, « je continue », car on le sait, « c'est un poème de vivre encore ».
Et puisque « je suis né d'une traite », le poème s'accomplit de même, dans une coulée unique, haletante, accrochant au passage les débris d'un amour, ceux de la mémoire et de l'oubli. Et lorsqu'il ne reste que le muscle de vivre, « je continue », car on le sait, « c'est un poème de vivre encore ».